Selon Dr. Moussa Coulibaly, sociologue, le Mali a l’opportunité de s’assurer un envol démocratique durable à travers son armée républicaine. A ses yeux, l’élan de déploiement actuel de l’armée pour la reconquête du territoire est rassurant ajoutant qu’il est nécessaire pour le régime de la Transition et la classe politique de faire un état des lieux sincère en envisageant des mesures de confiance.
Notre sociologue affirme que les zones d’ombre sont en train de se dissiper par rapport à la question de la montée en puissance de l’armée. Sur le terrain, au regard des témoignages d’habitants et des rapports des services communication de la Grande muette, Dr. Coulibaly, estime que l’armée monte en puissance. A ses yeux, les dernières acquisitions faites en termes de matériels sont l’illustration que l’armée est en train de mettre toute la puissance de l’Etat au service de la sécurité et de la protection des citoyens et de leurs biens.
Face à la crise sécuritaire et économique, les Maliens ne doivent plus se poser de questions sur l’urgence du moment. Il souligne que ce peuple digne qui a tant souffert depuis 2012 par des intrusions étrangères et des complots en tous genres a compris qu’entre le pacte de la sécurité et celui de la stabilité, il faut opter pour le premier qui est la condition sine qua non du second.
Cependant, notre sociologue reconnait que tout ne marche pas en ce moment comme sur des roulettes vu le front social très agité à plusieurs niveaux (demandes syndicales) mais il reste convaincu que les Maliens ont des raisons d’espérer. Il déplore que l’une des urgences de l’heure tourne autour des dates des échéances électorales.
Pour lui, il faut se donner le temps de créer les conditions sécuritaires minimum pour faire des élections propres tout en favorisant le retour de l’administration sur l’ensemble du territoire. L’histoire nous apprend qu’en Afrique les crises post-électorales ont plombé le décollage économique en fragilisant l’unité nationale.
A ses dires, “les plus pressés diront que le pays a l’habitude d’organiser des élections dans des conditions d’instabilité, mais cette fois-ci il s’agira d’organiser des élections dans les zones sous le contrôle de l’armée et de l’administration. Autant il est nécessaire d’avoir un contact permanent et fécond avec la classe politique, autant il est important de tendre la main à tous les protagonistes désireux désormais de contribuer à l’édification d’un Mali un et indivisible”.
Il invite les autorités de la Transition à redoubler d’efforts pour récupérer les biens détournés tout en poursuivant sans relâche et sans trêve le traitement des dossiers en rapport avec la délinquance financière.
“C’est l’occasion ou jamais pour notre pays de s’extraire du giron impérialiste en optant pour le partenariat gagnant-gagnant. La diversification des partenaires dans un esprit de respect mutuel est loin d’être une fuite en avant patriotique. C’est le point de départ d’une refondation durable”, conclut notre sociologue.
Ibrahima Ndiaye
@Kan le tres jaloux, le tres malheureux et le tres aigri! N’est pas Dr qui le veut! Arrêtes de pleurnicher ici et retournes sur les bancs de l’École pour en devenir un au lieu de t’attaquer a des humbles et dignes hommes et femmes citoyens Maliens tres éduques et qui ont un QI 1000 fois superieur au tien et a celui de ton president Macron qui a eu des bonnes notes de complaisance de Brigitte pour passer a la classe superieure!
@Kan
Et oui un pays abandonné et à la dérive gouverné par des mythomanes et des voleurs
Ici un diplôme s’achète et même si tu as jamais eu un diplôme tu peux te faire appeler DR et personne ne te dira rien
Comme l’a rappelé ceux qui le connaissent ce KInguiranke est un vieux infirme du cerveau inféodé aux colonels , c’est un jaloux mythomane qui n’est pas dangereux car c’est pas le courage qui le caractérise. C’est plutôt un lâche et un peureux qui a chié dans son boubou en 2012. Il ne lui reste que des gros mots impolis et des provocations stériles qui ressasse sans arrêt.
Kan le tres jaloux, le tres malheureux et le tres aigri! N’est pas Dr qui le veut! Arrêtes de pleurnicher ici et retournes sur les bancs de l’École pour en devenir un au lieu de t’attaquer a des humbles et dignes hommes et femmes citoyens Maliens tres éduques et qui ont un QI 1000 fois superieur au tien et a celui de Macron qui a eu des notes de complaisance de Brigitte pour passer a la classe superieure!
Il n’est quand même pas docteur , aucune trace de doctorat
C’est comme toi, un mytho et rien de plus
Suis pas jaloux des mendiants ……ni de ton pays de poussière et de misère
N’importe qui peut s’improviser Dr au Mali , mais de doctorat cet energumen n’en a jamais passé ; quant à la sociologie un master ne fait pas de vous un sociologue.
Voilà comment un pays se retrouve à la dérive avec des professeurs et des docteurs à chaque coin de rues de la capitale……
Sur le fond de cet article ….. un torchon
C EST PARTI!LES FAUX INTELLECTUELS, DES ARTICLES BIDONS, OÙ ÉTIEZ VOUS TOUS QUAND VOS “DEMOCRATES” S AMUSAIENT AVEC LES TESTICULES DE CETTE ARMÉE À “MILLES-ET-UNE -GÉNÉRALE” AUSSI POLITISÉE QUE “DÉMOCRATIQUE “?
LA VÉRITÉ C EST QUE LA DÉMOCRATIE N EST QU UN MOYEN PRATIQUE ET NON UNE IDÉOLOGIE, ET NOUS AU MALI N AVONS BESOIN DE DÉMOCRATIE QU À DES FINS PRATIQUES APPLICABLES À DES PROCÉDURES LOCALES, LA RECHERCHE DE SOLUTIONS LOCALES ET PARFOIS NATIONALES, DE FAÇON ENDOGÈNE, MAIS OUI, UNE ARMÉE FORTE NOUS L AVONS DÉSORMAIS COMPRIS N EST PAS LIÉE À LA DEMOCRATIE AU CONTRAIRE, L ARMÉE DOIT POUVOIR EXISTER INDÉPENDANTE DE TOUT LE RESTE COMME PILIER DE LA NATION, SON EXISTENCE MÊME DÉPEND DE L ARMÉE, L ÉTAT, PSEUDO DÉMOCRATIQUE OU PAS DOIT AVOIR UNE ARMÉE FORTE IDENTIFIÉE AU PEUPLE USANT SÉPARÉMENT DE TOUTES LES RESSOURCES DE LA NATION, SANS SUIVRE LES PROCÉDURES GÉRANT LES POPULATIONS, ET DE CE FAIT, L ARMÉE NE DOIT JAMAIS SUIVRE LA REGLE DÉMOCRATIQUE, MAIS LES DOGMES SOUVERAINISTES ET RÉGALIENNES
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