Un seul nom de famille nous suffit désormais ! Lequel s’il vous plait ? Si vous refusez ma proposition, et que Dieu vous dise ceci demain : ” Je ne vais vous mettre dans mon paradis qu’avec un seul nom de famille ” ?
![Dr SANOGO](http://www.maliweb.net/news_images/sanogo002.jpg)
Croire un seul instant que celui qui a tout créé est indifférent à nos plaisanteries de cousinage, c’est mal connaître celui qui a créé le plus malin des malins, le plus intelligent des intelligents. C’est ne pas être averti à l’étendue des pièges de celui-la même plus vieux que le temps, plus vaste que l’espace. N’est-il pas inspirateur du meilleur rêveur des scénaristes qui soit, comme moi ? Ce que nous nommons temps, avec lui c’est cela espace, ce que nous nommons espace c’est cela temps. Comment ? Et bien sûr que oui, temps et espace se sont échangé les affaires comme d’aimables frères, pour vouloir s’éprouver comme cousins. Voilà le cousinage à l’origine, que ceci soit pris solidement avec les pinces !
Peut-on comprendre ces deux entités, Iblis et Gabriel, comme temps et espace, que seuls les mots décrivent sans les nombres ? Que savons-nous des mots et des nombres, autres cousins ? Attention à nos cœurs pour ne pas êtres victimes de la plaisanterie civilisée des êtres suprêmes (espace, temps) ! Il n’y a que l’amour en haut avec douces larmes. Comment sait-il ces choses ce monsieur ? Comment ne le saura-t-il pas étant du Gondwana ? C’est d’abord à Nyamina chez eux, où tout fut mélangé irrémédiablement, et que Iblissa ex-chef et Gabriel nouveau chef commencèrent à s’accuser, c’est là que tout fut mis dans l’enclot : Sisani ou Sansanding en konsongué. Voilà les deux célèbres cousins Nyamina-Sisani ou Nyamina dans l’enclot) !
Attention encore à vous pour ne pas vous railler inutilement, si c’est pour détruire et non pour construire (Coran S49V11). Le cousinage peut mettre le Mali débout, le mettre au devant de la scène internationale si vous faites vite appel à mon grand cousin Bakary Koniba Traoré.
Un Traoré vaut-il trois gaillards Diarra ?
Traoré vient de Koné, c’est le titre de notre dernier article dans le journal Bamako Hebdo. Quand nous avions reçu le titre et que nous étions en train de le lire, c’est une femme du nom de Djénèba Traoré du village Tièrè (Koutiala), qui se présente à nous avec sa fille de quatre ans Wassa Diarra. Celle que nous croyons une mendiante se révèle porteuse d’un message à nous transmettre de la part du très célèbre prophète Mohamed (PBSL). Ce message lui est arrivé, dit-elle, pour casser d’abord son mariage de vingt ans avec les Diarra.
Quand Diénèba arrivait chez les Diarra, c’était déjà sur un terrain dangereusement miné. C’est comme de nos jours où on suit ces fabuleux acteurs, toujours casseurs des os, sur nos écrans avec les coups bas dans le film ‘les «rois de Ségou» :
Diénèba, fut en quelque sorte la convoitise victime de trois lionceaux cousins, véritables harceleurs de femme, dont les pères sont de même père et de même mère. Les deux premiers dont les pères sont vivants, se sont retrouvés miraculeusement concurrents, coïncidence provoquée ou non, aucun d’eux n’a voulu céder la biche à l’autre, chacun étant appuyé dans l’ombre par son père. Etait-elle la femme à la baraka révélée à la famille, il fallait coûte que coûte avoir Djénèba chez les lions affamés. Le compromis qui fut trouvé a été de donner Diénèba au troisième larron, le cousin dont le père était décédé. D’une belle fiction à une histoire réelle à vue, la poudrière ne tarda pas à exploser. Vite après le mariage, le chef de famille n’arrêta plus de pousser son neveu, nommé Daouda, au divorce avec sa femme. Il usa de tous les moyens, et comme on peut s’imaginer à Koutiala plus qu’ailleurs, Dieu est en haut, les fétiches contrôlent le bas. Le vieux finit par atteindre son dessein mal sain. Si Djénèba a survécu, ce ne fut pas le cas pour son mariage, qui a volé tout en éclat après les vingt années, laissant derrière elle des enfants durement sevrés. Djénèba traîne dernière elle aujourd’hui sa petite fille dans les rues de Ségou, pour transmettre son message. ” Tu es folle, tu mens sur le prophète Mohamed, c’est le dernier messager…”. Voilà comme l’éprouvée du Coran (S60V10), ce qu’elle entend presque à chaque passage de son message.
C’est comme cela que Djénèba nous raconta son histoire. Lorsqu’elle nous a transmis son message, c’est ensuite que nous lui avons posé, comme journaliste, la question de savoir comment il a vu le prophète, qu’elle était son teint… Que retenir de ce message ? Deux enseignements à ne pas négliger un seul instant :
-Le message divin : ” J’ai vu plus de quatre fois le prophète, un vendredi, un mardi, un jeudi, un autre vendredi, une fois je l’ai vu sur le goudron à Ségou, j’ai vu le prophète avec un teint entre le blanc et le noir, non pas comme du Réal, les noirs et blancs de Bamako. Je l’ai vu avec sa fille Fatima, très belle mais noire…Sa grand-mère Sarata la femme d’Abraham a pris ma fille et l’a lavée dans le marigot béni d’Alkaoussar. Le message de Djénèba est inquiétant mais plein d’espoir, nous préférons la voir dire elle-même sur les antennes, aux journalistes. Voilà de ce que lui a dit le prophète déçu : l’enfer a plus de partisans aujourd’hui que le paradis qui n’a pratiquement plus rien, arrêtez de mentir, ne vous tuez pas, priez pour éviter l’enfer. Dieu pardonne à tout sauf à l’homicide… Nous sommes à mesure de comprendre un tel message, car nous savons que Dieu pardonne plus que ça. Dieu pardonne tous les péchés Coran (S39V53).
-Le message du cousinage. Comme nous avions dit le cousinage peut nous faire avancer miraculeusement notre Mali ; le monde va nous l’envier, avec le cousinage nous pouvons éteindre toutes les guerres et querelles possibles sur terre. Et nous récolterons les retombées financières. L’histoire de l’humanité, comme une mythologie dans la Bible et dans le Coran, nous suffit pour faire tout voir avec l’œil du cousinage, pour dépassionner nos échanges qui mutent mal en conflits. C’est possible la paix avec le cousinage, moi je le jure !
Elimination des noms et des ethnies au Mali : Hé Coulibaly, tiè dégage !
Dieu tranche, déjà entre Traoré et Koné, une Traoré vaut au moins trois amoureux lions (Koné, Diarra, Mallé), leur élimination à son profit est logique sans détour. Plus aisé il le sera pour les peuls : ces noms monosyllabiques (Thall, Sow, Sy, Ly, Sall, Dem…), seraient venus du seul Thiam, devenu Thiama encore plus long, seul à l’origine des peuls depuis le Yémen. Ma femme me l’a dit j’y crois aveuglement. C’est vrai mon ami Omar Sangaré, Jimi, argue le contraire, que l’origine des peuls c’est bien Sangaré, maître des Sidibé et consort. Je veux bien le croire, mais je sais qu’il n’a aucune preuve sérieuse à m’apporter, la convention étant aujourd’hui : que chacun ait peur de sa femme. C’est comme cela nos pères disent ; ça ne date pas d’aujourd’hui, répliquent nos mamans. Dans tous les cas tous ces bergers doivent se retrouvés vite Sarakolés, leur unique provenance, les historiens informés le savent. Je dois préciser que Sarkozy est Sarakolé, Dominique Strauss Khan est Kane Diallo. Ce sont eux donc les Sarakolés qui ont mis les malinkés avec les arachides, qui ont mis par-ci par-là, les bambaras, les sénoufos, les miniankas, les bobos, et tous ces bavards de la forêt,…C’est eux que l’on a retrouvés à la lune, qui ont fait ceci qui ont fait cela, que tout le monde imite d’ailleurs, même les chérifs. Des Sarakolés, il y en a qui sont Maiga, Touré, comme sonrai ou songhay (Sanogo). Imaginez que tout le Nord Mali se retrouve avec ce nom Maiga phagocytant tous les figurants Touré et autres ; c’est le nom de notre grand maître à Ségou, Maiga il est grand marabout de surcroît ; c’est sûr qu’il fera pleuvoir de la richesse, fera pleuvoir les dogons des montagnes et des grottes, pour repeupler tous les espaces devenus alors fertiles dans le désert. Mettre le coco, le cacao, le café partout au nord…, il va le faire en y transférant la FAO, le FMI, la Banque Mondiale. Han ? Akoi ? onhon kossobé !
Et moi j’ai mon plan d’intégration du Mali, de l’Afrique, du monde et même de l’au-delà…S’il faut que tout le monde se retrouve dans l’intestin du serpent ‘Banni’ au paradis, même les anges, je pense qu’il le faudrait. Moi je commence ici déjà par dégager les Coulibaly, de nettoyer les cieux des anges récalcitrants qui, seuls, ont fabriqué ce nom retardataire. Je dis à tous : Allons ! Dégageons-les ensemble ! Allez Moussa Coulibaly ! Tiè dégage avec ce ton pompeux !
Très important pour ceux qui croient que je plaisante encore ! Je suis une force qui va !
On voit que les étoilés sont alignées derrière les Traoré, remportant toutes leurs élections, n’est-ce pas que les marabouts les aiment ? Mais notre amour est plus frivole que celui d’une amazone sûre de ses déhanchements. Le savent-ils ? Que mon futur président le sache vraiment ! Nous sommes maintenant à suivre avec ‘Initiative Africaine de Paix Internationale… !
Mamadou SANOGO
66724599/77331122 (e-mail sanogomamadou47@yahoo.fr)