Djibril Bassolé boude la presse privée malienne

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Djibril Bassolé, le médiateur burkinabé dans la crise malienne
Reuters

C’était lors des réunions du groupe de soutien et de suivi à Bamako. Après avoir accordé une série d’interviews aux télévisions, puis à l’Ortm, le ministre burkinabé des affaires étrangères, Djibril Bassolé s’est brutalement détourné du dictaphone d’un journaliste de la presse écrite malienne.

Le journaliste qui avait juste posé la question : ‘’ quel est votre point de vue sur le délai de 45 jours des Nations unies ? ‘’ a été frustré de sa réponse. Emboîtant le pas au ministre burkinabé, pour lui dire que c’est une seule question, le journaliste a entendu le garde du corps lui rétorquer : ‘’il a un agenda trop chargé. En fait, c’est le garde du corps qui était à la base de ce refus, puisque Djibril Bassolé avait commencé à répondre à la question du journaliste. Est-ce la question qui était gênante ou des cadres du Burkina Faso sont-ils mal à l’aise à Bamako ?

                                  La rédaction

 

 

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3 COMMENTAIRES

  1. 😆 😆 Que va dire le Ministre Bassolé à des ignares indécrottables minables gros journaleux de la trempe de ceux qui pondent des “articles” pourris dont on a un aperçu dur ce site?!

  2. Ce n’est point la question qui était gênante et les cadres burkinabé sont bien à l’aise au Mali. Il n’ y a aucune raison pour que ça ne soit pas ainsi.
    Seulement la presse malienne pilule de journaleux, sans formation professionnelle. Il suffit de lire maliweb pour se rendre compte que les vrais journalistes ne sont pas nombreux.
    Par exemple le fait de dire ” En fait, c’est le garde du corps qui était à la base de ce refus, puisque Djibril Bassolé avait commencé à répondre à la question du journaliste ” devait logiquement t’amener à être plus malin et ne pas poser ces questions ” Est-ce la question qui était gênante ou des cadres du Burkina Faso sont-ils mal à l’aise à Bamako ?”.
    Autrement il ne fallait pas parler du garde de corps…. 😳 😳

    • il faut dire seulement qu’ils sont mal intentionnés, ils voulaient traité la crise au mali à la burkinabé.
      le Bon Dieu n’a pas voulu ça, et les critiques franches que les journalistes maliens lancent à leur endroit les mettent mal en laise.

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