Direction nationale du commerce et de la concurrence : Rien ne va plus entre la direction et le syndicatLe torchon brule entre la Section Syndicale de la Direction Nationale du Commerce et de la Concurrence et le patron de cette boîte, Modibo Keïta. Ayant décidé d’observer une grève de 72 heures à partir du 15 mars 2017, le secrétaire général de la section syndicale de la DNCC, Nouhoum Sidibé, et sa troupe déclarent que si rien n’est fait, aux termes de ces trois jours de grève annoncée, ils se réservent le droit d’aller en grève illimitée jusqu’à satisfaction de leurs doléances. Les travailleurs de la DNCC accusent leur supérieur hiérarchique d’être l’obstacle à l’amélioration de leurs conditions de vie et de travail. Dans cette affaire, le syndicat accuse le DG, d’être de mauvaise foi dans la satisfaction de leurs revendications qui ont pour noms : « exécuter totalement les points d’accord du procès-verbal de non conciliation du 16 novembre 2016 ; supprimer l’assurance comme l’une des conditions de la levée d’intention d’importation conformément aux dispositions de l’arrêté interministériel n°09-0788/MEIC-MF- SG du 07 avril 2009 fixant les modalités d’application du décret 00- 505/PRM du 16 octobre 2000 portant réglementation du commerce extérieur ; signer le projet de l’arrêté interministériel instituant la redevance sur les intentions d’importation». Pourquoi le directeur national est farouchement opposé au prélèvement 0,25 % sur les intentions des importations ? Comment peut-on comprendre que des mesures aient été prises pour interdire aux agents de la DNCC de contrôler les compagnies d’assurance ? Qu’est ce qui explique le fait que les opérateurs économiques prennent l’assurance avant l’achat de marchandise ? Voilà autant d’interrogations qui suscitent l’indignation des travailleurs de la DNCC. Espérons que le bon sens prévale des deux côtés pour que ce secteur combien vital pour notre pays ne connaisse pas de paralysie. Surtout que le ministère de tutelle se bat tous les jours comme un beau diable pour maîtriser les prix des denrées de consommation. Moussa Koné

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Le torchon brûle entre la Section Syndicale de la Direction Nationale du Commerce et de la Concurrence et le patron de cette boîte, Modibo Keïta. Ayant  décidé d’observer une grève de 72 heures à partir  du 15 mars 2017, le secrétaire général de la section syndicale de la DNCC, Nouhoum Sidibé, et sa troupe déclarent que si rien  n’est fait, aux termes de ces trois jours de grève annoncée, ils se réservent le droit  d’aller en grève illimitée jusqu’à satisfaction de leurs doléances.

Les travailleurs de la DNCC accusent leur supérieur hiérarchique d’être l’obstacle  à l’amélioration de leurs conditions de vie et de travail. Dans cette affaire, le syndicat accuse le DG, d’être de mauvaise foi dans la satisfaction de leurs revendications qui ont pour noms : « exécuter  totalement  les points d’accord du procès-verbal  de non conciliation du 16 novembre 2016 ;  supprimer l’assurance comme l’une des conditions de la levée d’intention d’importation conformément aux dispositions de l’arrêté interministériel n°09-0788/MEIC-MF- SG du 07 avril 2009 fixant les modalités d’application du décret 00- 505/PRM du 16 octobre 2000 portant réglementation du commerce extérieur ; signer le projet de l’arrêté interministériel instituant la redevance sur les intentions d’importation».

Pourquoi le directeur national est  farouchement opposé  au prélèvement 0,25 % sur les intentions des importations ?  Comment peut-on comprendre que des mesures aient été prises  pour interdire aux agents de la DNCC de contrôler les  compagnies d’assurance ? Qu’est ce qui explique le fait que  les opérateurs économiques prennent l’assurance avant l’achat de marchandise ? Voilà autant d’interrogations qui suscitent l’indignation des travailleurs de la DNCC. Espérons que le bon sens prévale des deux côtés pour que ce secteur combien vital pour notre pays ne connaisse pas de paralysie. Surtout que le ministère de tutelle se bat tous les jours comme un beau diable pour maîtriser les prix des denrées de consommation.

Moussa Koné 

 

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