Diadie dit Amadou Sankaré : “Mes ambitions pour le secteur privé malien”

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Candidat au poste de président du Conseil national du patronat malien (CNPM), Diadié dit Amadou Sankaré a produit un document qui peut être considéré comme un bréviaire et un viatique pour le développement du secteur privé malien, et, partant, de l’économie malienne. Une candidature d’espoir.

Le secteur privé est le moteur de la croissance économique. Il génère des opportunités pour une croissance plus inclusive. A ce titre, il est l’un des vecteurs pour un épanouissement individuel et collectif. Notre choix, c’est de transformer le CNPM pour aider à transformer le Mali. Il s’agira de bâtir un secteur privé dynamique soutenu par un Etat fort pour une croissance économique durable, dans un environnement caractérisé par un dialogue social constructif et responsable, c’est là le crédo du candidat.

Pour soutenir sa démarche, Diadié a rencontré toutes les faîtières et les patrons. Il a entrepris une démarche inclusive et produit un mémoire retraçant les grandes lignes de son projet, de ses ambitions pour le secteur privé malien.

Pour que cette vision soit, il faut faire nôtres certaines valeurs fondamentales : La Culture d’entreprise, le patriotisme et la souveraineté économique, l’égalité des chances et la transparence, la Solidarité nationale.

“La défense des entreprises est l’un des devoirs régaliens de tout Etat. Elle se fait dans l’espace national, régional et international. Le CNPM se doit d’être le creuset de nouvelles idées soutenues par une diplomatie économique pour promouvoir les grands projets intégrateurs en Afrique de l’Ouest. Il s’agira pour l’Etat et le CNPM de : Renforcer les échanges entre les opérateurs économiques de la sous-région dans le cadre de la coopération sous régionale et régionale, à travers des Organisations telles que l’Uémoa, la Cédéao et l’UA), Défendre les intérêts des opérateurs économiques maliens par une meilleure coopération commerciale en initiant avec les pays partenaires des conventions de réciprocité en matière d’échanges, de protection et de préservation des intérêts réciproques, accélérer et approfondir la coopération entre les organisations patronales mais aussi des producteurs et des investisseurs de l’Afrique de l’Ouest, créer un cadre stratégique pour l’investissement direct étranger, surtout en provenance des grands Pays industrialisés, tenant compte des alliances nécessaires avec le secteur privé national et d’autre part, garantissant la formation et les transferts de technologies et les transferts de technologies”.

Alexis Kalambry

 

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