« Il ne faut pas permettre que les militaires prennent le pouvoir parce qu’ils ont des déboires sur le front où ils devraient être et que les colonels deviennent des ministres ou des chefs d’État », a déclaré Mohamed Bazoum, lors d’une conférence de presse commune avec son homologue français Emmanuel Macron à Paris. « Qui va faire la guerre à leur place ? Ce serait facile si chaque fois qu’une armée de nos pays a un échec sur le terrain, elle vient prendre le pouvoir ! C’est ce qui s’est passé par deux fois au Mali. (…) Ce ne sont pas des choses acceptables ». Ces propos critiques sont prononcés par le président nigérien lors d’une interview commune avec son homologue français, le samedi dernier, à l’issue du sommet virtuel des pays du G5 et de la France.
Bazoum n’est à sa première bourde contre le Mali, pour avoir déjà dit, lors de son investiture, qu’il va s’atteler à imposer à notre pays l’application de l’Accord d’Alger (dont pourtant une majorité de maliens ne sont pas pour). Serait-il devenu le porte-parole de son maître français, Emmanuel Macron (qui a un malin plaisir de critiquer publiquement ses pairs africains) ? Quel droit en a-t-il vraiment pour s’en prendre publiquement aux dirigeants et à l’armée d’un pays voisin souverain en faisant fi des convenances diplomatiques ? Le président nigérien oublie-t-il que son pays est autant champion que le nôtre en matière de coup d’Etat militaire ? Que son armée perd aussi des batailles ? N’a-t-il pas plusieurs fois applaudi des coups de coups d’Etat dans son pays, notamment celui perpétré, seulement en 2010, par le Colonel Djibo ? Où bien parce que mal élu, est-il dans la hantise d’être renversé par ses propres militaires ?
Sans faire l’apologie des coups d’Etat, de nombreux maliens trouvent, outre son caractère inamical, que ces propos critiques de Mohamed Bazoum envers les militaires maliens putschistes sont inadmissibles et frisent l’insulte du peuple malien. Ils estiment que le Chef de l’Etat nigérien, déjà admirateur de putschistes dans son propre pays, n’a vraiment pas qualité à s’immiscer autant dans les affaires intérieures du Mali. Jusqu’à traiter notre armée nationale de défaitiste. Le ministère malien des Affaires étrangères, dans la même optique, a convoqué l’ambassadeur du Niger au Mali. Pour lui signifier les vives protestations des autorités de Bamako. Mais pour taper plus fort, le Mali doit exiger le rappel de l’ambassadeur du Niger à Bamako.
De toute façon, Bazoum, loin d’être un démocrate exemplaire, n’a de leçons de démocratie à apprendre aux maliens. Lesquels ont, à chaque fois que le système démocratique est défaillant, ont au moins la capacité de se soulever contre les régimes corrompus. La Transition actuelle au Mali est moins issue du coup de force des colonels que de l’insurrection qui en est la cause. Que le Chef d’Etat du Niger cesse d’être le pantin de la France !
Falaye Keïta
Quand on n’a pas atteint l’autre rive, on ne doit pas se moquer de celui qui se noie, le Niger est loin d’être correcte en matière de démocratie aujourd’hui,n il faut le Président nigérien sache que son pays agit en tuant ses anciens Président à part Mamadou TANDJA, Dori HAMANI est mort et MAINASSARA aussi a été tué. Quant au Mali, Moussa TRAORE, ATT, IBK et Bah NDAW ont été tous vivant après leur coup d’état. Qui dit que le Niger ne fera pas un autre coup d’état dans des années à venir.
BAZOUM PARLE SANS SAVOIR POURQUOI IBK EST PARTI
URGENT: Communiqué du Conseil des Ministres, du mercredi 14 juillet 2021
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9 milliards CFA volatilisés : le ministre des Finances aux trousses des voleurs.
Par Canard Déchainé – Date: il ya 10 heures 52 minutes 2 réactions
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9 milliards CFA volatilisés : le ministre des Finances aux trousses des voleurs.
Pour la relance du trafic ferroviaire, promesse faite aux populations de Kayes par IBK, plus de 9 milliards CFA avaient été débloqués par l’ex-président déchu.
EHESP
Mais un an, ces fonds se sont volatilisés dans la nature. Comme par magie. Et les trains, toujours, à l’arrêt.
Face à ce mystère, le ministre de l’Economie et des Finances, Alouséini Sanou vient de saisir sa collègue des Transports et des infrastructures, Mme Dembelé Madina Sissoko, pour faire toute la lumière sur cette affaire.
Depuis, certains cadres de ce département ne dorment plus que d’un œil, voire d’un œil et demi. Les ministres, qui se sont succédés, récemment, à la tête de ce département seraient dans le viseur de la justice. Qui entend, désormais, faire toute la lumière sur la destination de ces 9 milliards CFA.
Affaire à suivre, et à rattraper !
Oumar Babi
Mr Bazoum doit savoir que le pouvoir au Mali n’appartient pas au civil appartient au peuple malien, mr Bazoum n’a pas critiqué nos colonels dans son pays il est venu voir son grand chef à Paris pour critiquer notre pays à son chef à Paris, nos jeunes dirigeants n’ont jamais parlés de Niger ou accuser et pourtant ces terroristes nationaux et internationaux ils sont venus de Libye en passants par le Niger sous les yeux des deux régimes civils corrompus le Mali et le Niger, nos colonels sont nés sous le drapeau du Mali et non le drapeau du colon français .
EH OUI TOUT A FAIT UNE VERITE ABSOLUE BIEN DIT TOURE S QUE L’ETERNEL PRESERVE NOTRE PAYS ET NOUS PEUPLE MALIEN DE TOUTE TRAHISON ORCHESTREE YARABI SI BAZOUM VEUT SE FAIRE AIMER PAR SON FILS MACRON VRAIMENT QU’IL EN SOIT AINSI MAIS DE LAISSER NOS MILITAIRES SOUFFLES NOUS SOMMES DERNIER EUX A BON ENTENDEUR SALUT
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