Les défenseurs des droits des homosexuels ont plus d’un tour dans leur sac. Après avoir subi un échec auprès de certains gouvernements africains quant à la reconnaissance des droits des déviationnistes sexuels dans leur Constitution, voilà qu’ils explorent d’autres pistes pour mordre à leur appât des innocents. Parmi lesquels des jeunes maliens qui poursuivent leurs études dans certains pays occidentaux.
Dans sa politique de domination du monde, l’Occident ne lésine pas sur les moyens pour imposer sa civilisation à certains peuples comme ceux d’Afrique dont une grande majorité croit toujours à la mission civilisatrice que les impérialistes s’étaient données au début du 19e siècle pour coloniser notre continent.
Le Programme d’ajustement structurel (PAS) des années 1980 et la démocratisation du continent au début des années 1990 sont passés par là. La suite, on la connaît. Le PAS a conduit à la fermeture des usines, des sociétés et entreprises d’Etat excédentaires qui employaient des milliers de travailleurs. Alors qu’elles ont été créées par les pères des indépendances pour résoudre le problème du chômage et transformer nos produits locaux pour réduire notre dépendance de consommation vis-à-vis des pays occidentaux.
Le licenciement qui s’en est suivi a provoqué dans notre société le chômage de chefs de famille qui parvenaient à prendre toutes les charges des membres de leur famille grâce au salaire qu’ils percevaient à la fin de chaque mois. Les conséquences, on le sait, ont été dramatiques : chômage, suicide, prostitution, déperdition scolaire, dépravation des mœurs, etc. Et quant à la démocratie, au lieu d’être ce système dans lequel les populations devraient aspirer au bien-être, elle a accentué la haine entre les peuples, creusé un grand fossé entre riches et pauvres et ravivé les tensions ethniques dont la plupart ont abouti à des guerres civiles avec son lot de morts, de déplacés, de réfugiés et de mutilés à vie. Pire, la gestion démocratique de nos pays éveille les sentiments sécessionnistes.
C’est généralement dans ce chaos indescriptible de désolation et de désespoir que l’Occident, à travers ses Organisations non gouvernementales (ONG), met à profit pour véhiculer ses messages et diffuser ses idéologies dévastatrices. Et difficilement, les hommes échappent à la tentation.
Ainsi, la perche tendue est vite saisie par les populations démunies et désespérées de voir un jour leur situation s’améliorer. Les perroquets et les relais ainsi formés deviennent les vecteurs de communication au sein de la population qui voit en eux ses seuls sauveurs dans ce monde ici- bas. Alors qu’il n’en est rien. Mais l’enrichissement rapide à la vitesse d’un éclair pousse pas mal de nos compatriotes à adhérer à ces réseaux mafieux dont la finalité est la destruction de nos valeurs sociétales. Car pour ces gens, l’Afrique, sur le plan des valeurs en un mot de civilisation, n’a rien produit. Donc, pour eux, elle est condamnée à être remorquée à la traîne de l’Europe quel que soit le prix à payer.
Maintenant, l’homosexualité, sous le couvert de la protection des droits humains, s’invite dans tous les débats. Mais, le pire à craindre est l’enrôlement par d’autres moyens de nos concitoyens confrontés à des difficultés dans certains pays européens. Présentement, certains jeunes maliens qui étudient dans les pays ayant accordé tous les droits aux homosexuels sont sous forte pression. Ils subissent, en ces temps qui courent, le matraquage à outrance des lobbies homosexuels qui font le tour des universités, où étudient généralement les jeunes du continent noir dans le but de les entraîner dans le réseau. Ils ne manquent pas d’astuces pour faire tomber ces innocents dans leur piège. Ils leur proposent la régularisation de leurs documents administratifs ou de payer leur frais de scolarité. Et s’ils parviennent à accomplir la mission auprès des autorités de leur pays, le contrat est signé.
C’est le cas de ce fils d’un ancien président d’une de nos institutions. Il est face à un choix cornélien et à la croisée des chemins. Ayant des difficultés à renouveler ses papiers, il a été approché par un groupe d’homosexuels qui lui a proposé ses services. Il explique qu’on lui a proposé un marché de régularisation de ses papiers administratifs mais à condition qu’il soit un membre de leur réseau. Au bord des larmes, au cours de nos échanges, il dit se remettre à Dieu en prononçant cette phrase : «Chacun suit son destin».
Il y a quelques jours, les parents d’un autre étudiant à l’étranger ne savaient plus où donner la tête. Choqués par cette nouvelle, ils sont à la recherche de l’argent pour satisfaire aux besoins de leur enfant afin qu’il ne tombe pas dans ce piège.
Ces cas sont loin d’être isolés. Dans la mesure où tous les étudiants africains dans ces pays sont contactés d’une manière ou d’une autre par les lobbies homosexuels pour adhérer au groupe afin de profiter de leur liberté, confisquée selon eux par des tabous et des interdits en Afrique.
Yoro SOW
ce problème est tout d’abord éducationnel.en effet il y’a un laisse faire au niveau des familles ce qui rend les enfants vulnérables face aux comportements liberticides provenant de l’occident .ce qui a lieu de faire c’est d’inculquer nos valeurs aux enfants dès leur bas age.
Dans la mesure où tous les étudiants africains dans ces pays sont contactés d’une manière ou d’une autre par les lobbies homosexuels …..Du n’importe quoi, A tu cette prevue que TOUS les etudiants Africain sont Concerne???
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