Denrées de première nécessité pendant le mois de ramadan : La stabilité des prix annoncée par les autorités n’est pas au rendez-vous

85

Pour le mois de Ramadan, les plus hautes autorités du pays avaient annoncé, souvent dans des shows médiatiques, que les prix des produits de première nécessité ne connaitront pas une hausse, contrairement aux années précédentes. Mais, selon notre constat sur le terrain au niveau de certains marchés de la capitale, le prix des produits comme du kilogramme de sucre local connait une hausse, par rapport au prix de 450 F CFA fixé par le ministère du Commerce et de l’Industrie. Quant à la viande, le prix par kilogramme fixé par le département en charge du Commerce, à savoir 2000 F CFA pour la viande avec os et 2300 F CFA pour la viande sans os,  n’est pas respecté sur les marchés. Il ressort aussi de notre enquête que les prix des produits comme le mil, le riz, le haricot, le fonio, le maïs,  l’huile et le lait en poudre connaissent une relative stabilité. En ce qui concerne les  prix des produits comme la tomate, l’oignon et la pomme de terre, ils ont également connu une hausse. Comme quoi, la stabilité des produits de première nécessité tant annoncée par les autorités n’est donc pas au rendez-vous. 

 

Notre descente sur certains marchés de la capitale révèle que les prix du riz, du lait en poudre, de l’huile sont relativement stables. Ainsi, au marché de Torokorobougou en commune V du District de Bamako, le sac de 50 Kg du riz local est cédé à 18.500 F CFA contre 17.500 en 2015 à la même période. Ici, le prix du kg du lait en poudre a connu aussi une baisse par rapport à celui de l’an dernier, en passant de 3400 à 3000 F CFA cette année.  De même pour l’huile qui était de 850 F CFA le litre, est aujourd’hui à 800 F CFA. Au marché de Magnambougou, en commune VI, Seydou Doumbia cède les sacs de 50 kg de riz importé parfumé à 21 000 F CFA, non parfumé à 16 500 F CFA et local Gambiaka à 17 500 F CFA. Le bidon de 20 litres d’huile, lui, vaut 13 500.  Le sac de 25 kg de lait en poudre est à 47 000 F CFA, soit 2000 F CFA/kg. Même constat sur les prix des produits, avec une légère nuance, au marché de Banconi en commune I du District de Bamako. Ici, notre commerçant détaillant cède le riz local Gambiaka à 17 000 F CFA le sac de 50 kg, contre 16 000 à 16 500 pour les riz importés, selon la qualité. Le litre d’huile s’y vend entre 650 et 700 F CFA. Tandis que le lait en poudre atteint 2200 F CFA/kg et la farine de blé 350 F CFA.

Egalement, le prix du kg de sucre local est sujet à l’inflation, comparé au plafond de 450 F CFA fixé par le ministère du Commerce et de l’Industrie. Ainsi, il est de 450 au marché de Torokorobougou et 500 au marché de Médina Coura en commune II du District de Bamako où le boutiquier, M. Idrissa Karembé, nous indique qu’il achète le sucre chez les grossistes à raison de 490 F CFA le Kilo. Chez lui, le litre d’huile est vendu à 750 F CFA, le kilogramme de lait en poudre est de 2400 F CFCA contre 2600 l’an dernier. Il nous souligne par ailleurs que, selon son constat, les prix des produits grimpent après le passage pour vérification des autorités ou des hommes de médias. Il invite les autorités de tout faire pour donner un prix presque unique des produits au niveau des marchés.

En ce qui concerne la viande, les prix fixés par le ministère en charge du Commerce ne sont pas respectés. Ainsi, au marché de Médina Coura, le kilogramme de la viande avec os est de 2200 F CFA, contre 2000 F CFA annoncé par les autorités. Quant à celui sans os, il est vendu à 2400 F CFA, contrairement au prix conventionnel de 2300 F CFA. Selon le constat, le prix de ce produit varie d’un marché à un autre. Au marché de Lafiabougou, le kilogramme de la viande sans os est vendu jusqu’à 2500 F CFA.

Au marché de Hamdallaye en commune IV, notre interlocuteur nous fait savoir qu’il vend le riz moyen à 375 FCFA le kilo, le super à 400 F, le parfumé entre 450 et 475 F CFA. Ici, le kilo de maïs est cédé à 200 F CFA, celui du haricot entre 450 et 500 F CFA, le mil à 200 FCFA et le fonio à 550 F CFA. Notre commerçant nous avoue que comparativement à l’année dernière, les prix de ces produits sont relativement stables.

Quant au prix du poulet, il varie entre 1500 et 5000 F CFA. Ainsi, au marché de N’Golonina, M. Boubacar Ballo, nous signale que le prix du poulet change en fonction de l’offre sur le marché. Car, explique-t-il, «s’il y a beaucoup de poulets sur le marché, les prix baissent, mais s’il y a moins, les prix augmentent». Il indiquera que cette année, les poulets sont un peu plus chers comparé à 2015. Même constat au marché de volailles de Hamdallaye où M. Zoumana Samaké nous avoue que les poulets n’ont pas un prix fixe. Cela, pour dire aussi que leur coût varie selon l’offre sur le marché et leur provenance.

Les prix des produits comme la tomate, l’oignon et la pomme de terre ont connu une hausse en cette période de Ramadan. Ainsi, au marché de Médina Coura, le prix du kilo de l’oignon est passé de 200 à 300, la pomme de terre de 400 FCFA à 500. Quant à la tomate, son prix demeure stable.

En somme, le constat est clairement établi que les prix des produits donnés par les autorités pour ce mois de Ramadan n’est pas respecté par les commerçants, qui pour la plupart se disent être de fidèles musulmans. Et, sur certains produits comme les légumes où aucune augmentation de transport ou autres frais n’a été enregistrée, on constate des hausses vertigineuses. A ce jour, tous les produits dont la ménagère a besoin ont connu une hausse. Les consommateurs ne savent plus à quel Saint se vouer. Les autorités doivent prendre des mesures pour que leurs décisions soient respectées par les commerçants qui fixent les prix comme bon leur semble et même sur des produits subventionnés. Et dans tout cela, où sont les Associations dites de défense des consommateurs ?

Dieudonné Tembely

Commentaires via Facebook :

85 COMMENTAIRES

  1. L’état pourra bien prendre des mesures; il y aura toujours des personnes qui font trouver les moyens de les mettre à mal. Il faut donc qu’il y est une plateforme consommateur-structure de contrôle de l’état- associations des commerçants afin de fixer les prix, de permettre le contrôle et de punir les personnes responsables des prescriptions gouvernementales.

  2. Il faut vraiment que les autorités chargées du contrôle des prix prennent des mesures répressives contre les personnes qui ne respectent pas les prix fixés par le gouvernement et aussi ceux qui font de la concurrence déloyale.

  3. Il faut vraiment que les commerçants arrêtent la spéculation; il faut qu’ils arrêtent de retenir les marchandises et faire croire à de pénuries pour augmenter les prix; en un mot il faut qu’ils arrêtent d’augmenter illégalement les prix.
    Je suis désolé de le dire mais des personnes qui prétendent être musulmans qui savent les contraintes de ce mois et qui ne cherchent pas à atténuer les souffrances des populations mais qui ne font qu’en rajouter.
    C’est vraiment triste mais il faut le dire.

  4. Ne cherchons pas de bouc émissaire lorsque les prix des denrées augmentent de manière incontrôlées; ce sont nos commerçants et vendeurs qui sont à la base de cette situation. Il faut donc punir par des amendes ceux qui se rendront coupables de spéculations car l’état fait déjà sa part à travers les subventions de certains produits.

  5. Les dispositions sont prises par l’état en subventionnant certains produits de premières nécessités afin ceux-ci puissent revenir moins chers aux populations. Mais les commerçants qui veulent se faire des profils allant souvent jusqu’à 150% sont les responsables de cette situation.
    Comment comprendre par exemple qu’on achète 1 kilo de tomates au paysan pour des prix souvent dérisoires et les revendre à 500, 600 voire plus de 1000 frs?
    Il faut vraiment que ça cesse pour notre bien-être.

  6. Malgré les normes que posent l’état concernant la fixation des prix; chaque commerçant impose le prix qui lui sied prétendant qu’il a obtenu les marchandise à un coup élevé pourtant souvent il s’agit des produits subventionnés par l’état. Il faut donc que les instruments de contrôle étatiques soient plus actifs sur le terrain pour redresser la barre.

  7. Je crois que dans cette situation même si le gouvernement à une part à jouer; il revient aux associations des consommateurs d’entreprendre des actions en vue de dénoncer toutes augmentations injustifiées et mener des actions afin que des solutions puissent y être trouvé.

  8. Il faut que les agents de la DNCC soit un peu plus créatifs et astucieux car une fois que les commerçants savent que les agents de la structure sont sur le terrain; ils s’informent entre collègues et donnent de faux pris aux agents. Mais une fois ceux ci partis; les commerçants reprennent la vieille habitude qui est la spéculation. Il faut que les agents de la DNCC soit assez créatifs pour démasquer ces imposteurs.

  9. Dans cette situation on doit pouvoir dire sans ambages que l’état subventionne les denrées de premières nécessités mais ce sont nos commerçants qui voulant se remplir les poches à tout prix ne manquent pas d’astuces pour renchérir les prix des marchandises. Il faut donc que la structure chargée du contrôle des prix puisse vraiment sévir.

  10. Pour une fois je tire mon chapeau à cet organe de presse. C’est ce qu’on appelle un bon journalisme d’investigation qui va sur le terrain et récolte des informations dans le but ‘informer te de laisser ces informations à notre jugement. Ce qui n’est pas le cas de certains autres qui restent dans leurs salons pour débiter du n’importe quoi!
    Félicitations Dieudonné Tembely de ” Inf@sept”.

  11. Dans tous les pays d’Afrique la cherté de la vie est devenue presqu’un quotidien. Notre pays traverse l’une des crises les plus pénible de son n’existence. Les marchandes, transporteurs, opérateurs économiques et commerçants grossisses comme détaillants de mauvaise foi profite de la situation.

  12. Certes, le gouvernement est le premier concerner, mais en réalité le gouvernement n’est fautif pas le fautif. C’est la faute de la société civile en particulier, les revendeurs. Le gouvernement n’est en œuvre pour que les couts des denrées soient abordables à la population.

  13. Certes, actuellement la vie est dure, le quotidien de la vie devient de plus en difficile pour plusieurs personne, le gouvernement est au courant de cette situation. Le gouvernement est en train de prendre des dispositions possibles pour que la population malienne puisse au moins être soulagée dans l’obtention de son quotidien.

  14. La cherté alimentaire est un phénomène née lors des régimes passés, le régime actuelle n’est pas le fautif. Le gouvernement depuis un certain moment est en engager dans ce domaine et cela dans le seul but de rendre la vie alimentaire facile à la population.

  15. Tu as raison, le gouvernement malien depuis un certain temps commence à faire des travaux salutaires dans le domaine de la cherté de la vie. Le gouvernement au paravent a reçu à subventionner le prix de plusieurs denrées alimentaires sur le marché, mais ce sont les commerçants de mauvaise foi qui sont en train de transgresser les règlements.

  16. C'est aux maliens eux même de réagir dans les marchés. Il y a des comités de gestion des marchés dans chaque marché au Mali.
    Personne ne joue son rôle.
    Comment et pourquoi faire comprendre aux maliens que tout cela dépend du Président de la République.

  17. Le gouvernement de notre pays est déterminé à trouver le plus rapidement possible une solution à cette crise de la cherté de la vie. La machine est déjà marche car le gouvernement malien depuis un certain a délégué plusieurs éléments sur le terrain pour le respect de l’accord entre les opérateurs économiques et le ministère du Commerce et de l’Industrie

  18. C’est seulement en obligeant chaque fois les commerçants que le DNCC pourra accomplir son travail. La DNCC veille au respect de l’accord, le respect des prix fixés en accord entre les opérateurs économiques et le ministère du Commerce et de l’Industrie est vraiment très avantageux dans la lutte contre la cherté de la vie.

  19. Il faut reconnaitre que le gouvernement malien fait de son mieux en ce qui concerne les prix des denrées de premières sur le marché, les commerçant doivent aussi faire preuve responsabilité, ils doivent respecter l’accord de fixation des prix entre les opérateurs économiques et le ministère du Commerce et de l’Industrie. Pour le non-respect il y aura des sanctions qui suivront.

  20. Le Président et son Gouvernement ont subventionné le sucre et il y a un prix fixé.
    Est-ce que le Président peut fixer un prix sur un produit agricole qu’il n’a pas subventionné?
    Le malien aime toujours la vie chère, alors n’attribuons pas cela au Président de la république.
    Le Président ne peut pas interdire à un malien de vendre ce qu’il a cultivé.

  21. Bonjour maliennes et maliens.
    Comment pouvez-vous comprendre ces fausses accusations?
    Tout est cher avec IBK :
    Une seule tomate fait 100f
    Un seul piment fait 25f
    Même les feuilles d’oignon sont plus chères
    Un seul citron fait 50f
    Est-ce cela la faute du président de la république?

  22. Les prix des produits de première nécessité sont les fondements de cette cherté. Si le gouvernement arrive à maintenir ce contrôle en faisant revenir les commerçants à la raison pour respecter l’accord conclu, la population malienne passera ce mois dans la solidarité et la cohésion.

  23. Dans certains endroits grâce à la subvention des prix, le prix du lait était d’ailleurs en deçà du prix fixé et affiché. Sans triomphalisme, les autorités indiquent de continuer à suivre comme du lait sur le feu afin que les populations puissent passer ce mois béni dans la paix et dans l’allégresse concernant le panier de la ménagère.

  24. Le gouvernement doit prendre rapidement des décisions pour éradiquer dans nos marche cette hausse des prix des denrées.

  25. Les autorite du pays doivent envoyer des agents sur terrain pour essayer de prendre connaissance de leur de vente sur le marché.

  26. Nous remercions le gouvernement pour cet acte de grande portée surtout en ce mois de Ramadan. Vous avez la bénédictions de l’ensemble des musulmans de répondre à une de leur plus grande préoccupation.si cela pouvait poursuivre après le ramadan sera un bouffé d’air pour le peuple tout entier

  27. Nous pouvons merci au gouvernement pour cet acte de grande portée surtout en ce mois de Ramadan. Vous avez la bénédictions de l’ensemble des musulmans de répondre à une de leur plus grande préoccupation.

  28. Nous remercions le ministre pour la subvention des denrées de première nécessité, le mois de ramadan est un mois béni, vraiment cet acte nous montre la bonne foi du régime en place.

  29. c’est bonne chose que l’état veille a ce que les prix soit respecter dans nos marché cette situation engage tout les agents du commerce a faire preuve d’obéissance au èxigeance du gouvernement

  30. l’état malien emploi des efforts considérable pour rendre le peuple dans les meilleures conditions possible cette mesure pris par le ministère du commerce concernant la baisse des prix des denrées de première nécessité est a saluer a sa juste valeur ce qui prouve que les paniers du ménagère ne sera pas vide

  31. décisions importantes furent prises par l’Etat qui a cédé certaines de ses prérogatives pour l’atteinte des objectifs les produits de première nécessité connaissent une baisse de prix depuis l’entrée en vigueur de la dites décisions

  32. il est ressorti que les prix convenus entre les protagonistes se respectent à la luette l’état veille a ce que le panier du ménagère ne soit pas vide en cette période du mois bénis

  33. Je demande au commerçant de faire un de retenu en ce mois de Ramadan, le gouvernement a subventionné les produits, malgré tout ça il y a des commerçants qui veulent avoir tout ce qu’ils ont perdu durant l’année.

  34. Le gouvernement doit punir tous les commerçants ayant augmenter leur prix et dissoudre la toute nouvelle commission, la DNCC, qui avait été mise en place pour veiller au respect de l’accord entre le gouvernement et les commerçants.

  35. La vie des citoyens maliens devient de plus en plus difficile. Le mois de Ramadan est un mois béni et cher à la fois pour les musulmans. Les prix des produits de première nécessité sont les fondements de cette cherté. Si le gouvernement arrive à maintenir ce contrôle en faisant revenir les commerçants à la raison pour respecter l’accord conclu, la population malienne passera ce mois dans la solidarité et la cohésion.

  36. Le non-respect des prix des denrées alimentaires de première nécessité est une violation de l’accord entre le gouvernement et les commerçants qui s’étaient engagés à respecter cet accord. Des sanctions doivent être prises contre les coupables.

  37. Mr le journaliste il se peut que des individus de mauvaise foi monte leur prix, mais ce qui est tout vendeur qui sera pris en augmentation des prix sera punie conformément à la règle. Si le prix que le gouvernement a donné était la bienvenue ce qui est sur il y a des numéros vert qui sont sur place, si vous voyez un prix qui est supérieur à la norme pafff appeler aux numéros vert.

  38. L’accord entre les opérateurs économique et le ministre du commerce et de l’industrie devrait être respecté par les parties. Le gouvernement s’est acquitté de son engagement. Il ne restait qu’aux commerçants de respecter cet accord en respectant les prix fixés des denrées de première nécessité. Malheureusement que ceux ont été cupides de ne pas pu s’acquitter de leur engagement.

  39. Le respect de l’accord sur les prix des denrées de première nécessité était une obligation pour les commerçants. Je ne peux pas comprendre qu’ils ont pu désobéir à cet engagement vis-à-vis du gouvernement qui s’est engagé à fonds pour la réalisation des dispositifs de cet accord.

  40. Il faut vraiment que les commerçants maliens aient la crainte de Dieu et respecter les prix des produits de grande consommation pendant ce mois de jeûne.Le gouvernement ne doit pas faire la police derrière les musulmans pour qu'ils respectent leur mois de jeûne tout de même.Cela n'honore pas la communauté musulmane malienne.

  41. Les autorités maliennes ont fait ce qu’elles pouvaient faire. Ce sont les commerçants, ayant consenti au maintien des prix des denrées de première nécessité fixés, qui n’ont pas respecté leur engagement. Des sanctions seront prises contre toute personne qui a augmenté, augmente et augmentera les prix.

  42. Cette mesure, la mise en place de la DNCC, a été jugée comme une bonne chose en ce mois de Ramadan et après. Les prix des produits de première nécessité ne devraient pas connaître de flambé en ce mois de Ramadan. C’est vraiment dommage.

  43. Je pense que cette situation doit faire objet de sensibilisation auprès des commerçants maliens qui sont des musulmans aussi.Il faut donc que les guides religieux montent au créneau pour dénoncer cette augmentation des prix des produits pendant le mois de jeûne musulman.

  44. Le gouvernement malien a été sage de demander aux commerçants de respecter l’accord conclu pour maintenir les prix des produits de première nécessité pendant le mois de carême. La DNCC qui a été chargée de veiller au respect de l’accord a failli à sa mission.

  45. L’Homme malien aime vendre ses marchandises à un coût cher à ces concitoyens. Déjà qu’une commission d’enquête a été chargée de veiller au respect de ces prix. Le gouvernement doit s’amuser en prenant des sanctions pour rétablir ces prix tels qu’ils étaient.

  46. Les commerçants n’ont pas respecté leur engagement de ne pas augmenter les prix en ce mois de ramadan. Mais si l’information nous parait que les prix connaissent des flambées, et bah le gouvernement doit y prendre acte et sanctionner les responsables.

  47. Le mois de Ramadan est un mois béni, les citoyens ont droit à une vie facile en ce mois. Que ces commerçants respectent leur engagement de ne pas augmenter les prix. La commission qui avait été mise en place doit mener des enquêtes pour démasquer les commerçant qui augment leur prix.

  48. L e problème n’est ni d’IBK, ni de son gouvernement, mais de nous même parce qu’on aime celui qui travaille, sinon IBK fait quel que chose pour le Mali walaye, le gouvernement a subventionné les produits, malgré tout ça il y a des commerçants qui veulent avoir tout ce qu’ils ont perdu durant l’année. :223love: :223love: :223love:

  49. L e problème n’est ni d’IBK, ni de son gouvernement, mais de nous même parce qu’on aime celui qui travaille, sinon IBK fait quel que chose pour le Mali walaye, le gouvernement a subventionné les produits, malgré tout ça il y a des commerçants qui veulent avoir tout ce qu’ils ont perdu durant l’année.

  50. Merci monsieur le ministre Abdel Karim Konaté dit Empé malgre tout ton effort pour ce mois de Ramadan les paniers de nos ménagères crient encore Donc la DNCC doit encore veille au respect de l’accord mise en place.

  51. Par rapport à la flambée des prix ,nous demandons au commerçant qui cherche leur argent du Hadj dans ce mois seul de faire preuve de connaissance de Dieu.Le comportement anti citoyen de certains commerçants qui ont augmenté les prix de leurs produits aussitôt après l’annonce officielle par les autorités du début du mois sacré de Ramadan. Il faut que le gouvernement envoie sur les marchés des contrôleurs de prix.

  52. Concernant le mois de ramadan, le gouvernement a consentit d’énormes efforts en accordant des subventions aux commerçants pour alléger la souffrance des populations.

  53. Je demande sur le point des prix des produits de première nécessité, que chacun joue son rôle afin de mieux accompagner les nombreux musulmans à l’accomplissement de ce devoir religieux, un des 5 piliers de l’islam. L’Etat jouera le sien et présentement les agents de suivi des affaires économiques sont sur le terrain pour sensibiliser malgré la libre fixation de prix qu’exige notre système économique.

  54. C est très bien fait car les certains vendeur ou vendeuse n’aiment augmenter leur prix pendant ce mois béni de Ramadan.Pour juste s’enrichir pendant cette période difficile.Et voici encore qu’ils ont commencé a hausse encore pour mieux profiter

  55. Le problème n’est ni d’IBK, ni de son gouvernement, mais de nous même parce qu’on aime pas celui qui travaille, sinon IBK fait quel que chose pour le Mali walaye, mais au Mali seul les voleurs sont en courageux. IBK fait tout pour la paix et réconciliation, et l’opposition qui ne fait que nous divertir sur le chemin.

  56. Je pense que le président de la république est un homme de bonne foi qui se soucie de la situation du pays, malgré la crise, il fait tout pour que le Ramadan se passe bien et que le marché soit abordable par tout le monde, nous remercions aussi le gouvernement pour tout ce qu’il fait pour le contrôle des prix.

  57. L’avance dans ce processus de la mise en place de cet accord de paix et réconciliation nationale.Le gouvernement fait toute son possible pour que ce processus puisse avance par contre le probleme se trouve au niveau des groupes armes.

  58. Les commerçant doivent avoir la crainte de dieu.Dans ce mis de béni nous les exhortons de ne pas spéculer sur les prix des denrées de grande consommation.Il est vraiment incompréhensible que des commerçants musulmans augmentent le prix de leur produits pendant le mois de jeûne musulman.

  59. C est une très bonne initiative de la part du ministre ministre Abdel Karim Konaté d’avoir distribuer 5627 affiches des prix fixés en accord entre les opérateurs économiques et le ministère du Commerce et de l’Industrie.

  60. Selon M. Thiam, c’est grâce aux efforts du chef de l’Etat, IBK, de remettre l’armée dans les conditions à travers des équipements, que les Fama font aujourd’hui un travail remarquable dans la lutte contre le terrorisme.

  61. Il faut anticiper pour les générations futures, pour les 5 prochaines années ; faire des investissements colossaux qui nous permettront de prévenir la forte pression démographique», a déclaré Racine Thiam.

  62. C’est avec l’aide de tout le monde que nous pouvons arrive a quelque chose de plus concret le gouvernement fait son travail mais d’autres sont là pour le saboter que c’est pour notre bien a tous.

  63. Il faut saluer le gouvernement malien pour ce résultat positif et le soutenir pour que nous allons vite à l’émergence.Nous sommes très fier de notre pays et sommes confiants pour l’avenir.

  64. Il faut faire la police derrière des musulmans pour qu’ils respectent le prix des produits pendant le mois de jeûne musulman.Est ce que les commerçants qui font ces pratiques qui se disent musulmans ont compris l’islam?

  65. Les denrées de première nécessité en ce mois de ramadan, la stabilité des prix annoncée par le gouvernement est abordable dans toutes les marchés, les autorités sont à saluer pour l’effort consentit en ce mois béni de ramadan.

  66. Nous pouvons merci au gouvernement pour cet acte de grande portée surtout en ce mois de Ramadan. Vous avez la bénédictions de l’ensemble des musulmans de répondre à une de leur plus grande préoccupation.

  67. je crois que si les maliens et les maliennes avaient compris leur religion qui invite l’homme à être jute et équitable le gouvernement malien n’aurait pas à faire un contrôle pour faire respecter les prix des produits sur le marcher.
    😎 😎 😎 😎 😎 😎 😎 😎 😎 😎 😎 😎 😎 😎

  68. Le vieux depuis son arrive ne ménage aucun effort pour sortir le Mali de ce trou, en ce qui concerne les services sociaux de base au cœur de sa priorité, SEM est de bonne foi sur la gouvernance mais seulement les imposteurs ne veulent pas lui laisser faire son travail.

  69. Le ministère du commerce doit redoubler de vigilance car nos commerçants sont de mauvaise foi. Il faut un comité de suivi pour accentuer le contrôle dans les différents marchés.

  70. Ce formidable exercice a sans doute permis au Directeur de la communication de la présidence de la République, Racine Thiam, non seulement de convaincre les plus sceptiques parmi les médias sur la pertinence des actions de développement du président Ibrahim Boubacar Kéita mais aussi et surtout la réalité des efforts accomplis.

  71. C’est avec le président IBK que les maliens trouveront leur épanouissement. Il fait tout ce qui est à son pouvoir pour assurer le bien-être de son peuple. L’accord avec les commerçants vient à point nommé pour étayer cette hypothèse.

  72. le président de la république est un homme de bonne foi qui se soucie de la situation du pays, malgré la crise, il fait tout pour que le Ramadan se passe bien et que le marché soit abordable par tout le monde, nous remercions aussi le gouvernement pour tout ce qu’il fait pour le contrôle des prix.

  73. Ce que je dis aux imposteurs c’est que le gouvernement a fait un travail remarquable, pour le Ramadan passe bien chez la population au niveau des produits et des prix, mais les détracteurs veulent tout faire pour salir le nom du gouvernement. Nous remercions le gouvernement les prix sur le marché est abordable le stock est de haut niveau.

  74. Il est vraiment regrettable et honteux qu’on fasse la police derrière des musulmans pour respecter le mois de jeûne musulman en respectant les prix des produits sur le marcher.C’est vraiment inadmissible.Ces personnes qui spéculent pendant ce mois ne savent pas pourquoi elles jeûnent.

  75. Malgré au contrôle de la DNCC qui veille au respect des prix des denrées de grande consommation les commerçants ne respectent pas les prix des produits.Mais je pense que si ceux qui ne respectent pas les prix ne savent pas ce que c’est que l’islam.

  76. Depuis un certain temps le gouvernement est passé à la vitesse supérieure pour éviter la flambée des prix des denrées de première nécessité qui sont importante pour la population en particulier ce mois de Ramadan.

  77. Les opposants savent bien crier comme ils veulent. Mais notre président travaille dans le silence contre la cherté de la vie et autres maux dans notre société. IBK respectera son programme car il a le sens de la parole donnée.

  78. Les commerçants maliens doivent respecter les prix des produits sur le marcher.Je pense qu’en plus du contrôle qui est fait par la DNCC il faut que les commerçants soient sensibilisés quand aux conséquences du non respect des prix des denrées alimentaires.

  79. Dans les différents marchés visités, il est ressorti que les prix convenus entre les protagonistes se respectent à la lettre. Dans certains endroits, le prix du lait était d’ailleurs en deçà du prix fixé et affiché. Tu n’es qu’un minable journaliste qui passe son temps à mentir au pauvre citoyen.

  80. Certains vendeurs sont de mauvaise foi tout simplement l’organisation mis en place des fiches des prix bien fixés par le gouvernement en collaboration avec leaders du secteur de commence pour nous facile ce mois béni de Ramadan.

  81. Je me demande quand est ce qu’ils ont fait leur enquête pour nous dire que les prix ne sont pas respectés alors que les équipes de 116 agents ont été déployés dans les communes que le 16 Mai pour maintenir le cap de ravitaillement en produits de première nécessité et d’œuvrer pour éviter la flambée des prix.

  82. Malgré tous les efforts que le gouvernement a fourni pour lutter contre la hausse des prix pendant ce moi béni de Ramadan mais d’autres ont toujours haussé leur prix encore.Quel cupidité!!!!!!

  83. Des mesures rigoureuses seront prises contre tout commerçants qui respecterait pas les prix imposés par le ministre du commerce. D’énormes sommes ont été dépensées par le gouvernement pour éviter ces situation désagréables pour la population en ce mois de ramadan.

  84. Si nous ne voulons pas nous même, nous facilité les choses dans ce pays nous sommes et nous serons les premiers a être toucher par cette élévation des prix des produits premières nécessites.

  85. C’est de la mauvaise foi de la part des consommateurs. Si le gouvernement a demandé la baisse des produits c’est pour notre bien -être. Il a consenti d’énormes sacrifices en subventionnant ces produits de premières nécessités pour soulager la population durant ce mois.

Comments are closed.