Dans un communiqué rendu public, le 22 juillet 2023, les jeunes de l’Association malienne pour la protection et la promotion de la culture dogon « Ginna Dogon » ont attiré l’attention des autorités de la transition sur la dégradation de la situation sécuritaire au centre du Mali. Selon les jeunes de Ginna Dogon, depuis un certain temps, la zone du pays Dogon fait face à des attaques barbares récurrentes qui ont entrainé de nombreuses pertes en vies humaines, d’importants dégâts matériels, et provoqué des déplacements forcés des populations. A cet effet, ils ont invité le gouvernement du Mali à agir avec détermination et diligence pour mettre fin à cette spirale de violences qui secoue le pays Dogon pour permettre aux populations de mener leurs activités dans la quiétude.
Le Bureau de la Commission Nationale des Jeunes de « Ginna Dogon » vient, par la présente, attirer l’attention des autorités de la transition sur les préoccupations grandissantes concernant la dégradation de la situation sécuritaire au centre de notre pays en général et au pays Dogon en particulier. Les jeunes de Ginna Dogon ont indiqué que les événements récents dans cette partie du pays suscitent de vives inquiétudes quant à la sécurité des populations en cette période de campagne agricole. « En effet, depuis un certain temps, la zone du pays Dogon fait face à des attaques barbares récurrentes qui ont entrainé de nombreuses pertes en vies humaines, d’importants dégâts matériels, et provoqué des déplacements forcés des populations. Parmi ces récentes victimes, nous pouvons citer les cas des villages de Amassagou, Dougara, Parou, Ogossagou, Simikanda, Ouo Djina, Djankoin, qui viennent assombrir la liste déjà tristement longue des villages meurtris par ces violences. Nous condamnons avec la dernière rigueur ces actes inhumains d’une autre époque perpétrés par des groupes d’individus sans foi, ni loi », souligne le communiqué des jeunes de Ginna Dogon, sous la plume de leur président, Bocary Guindo. Malgré les efforts déployés par l’Etat jusqu’ici pour endiguer le mal, les jeunes de Ginna Dogon indiquent qu’il est indéniable que les dispositifs sur le terrain ne sont pas suffisamment efficaces pour assurer la sécurité des personnes et leurs biens.
Pour les jeunes de Ginna Dogon, les conséquences de cette dégradation sécuritaire sont désastreuses, entrainant une détresse humanitaire considérable et sapant la confiance de la population envers les autorités de l’Etat. «Sachant qu’il est de la responsabilité de l’Etat de garantir la sécurité et la protection de tous les citoyens, partout sur le territoire national, nous interpellons le gouvernement du Mali à agir avec détermination et diligence pour mettre fin à cette spirale de violences qui secoue le pays Dogon pour permettre aux populations de mener leurs activités dans la quiétude », révèle le communiqué des jeunes de Ginna Dogon.
Aguibou Sogodogo
Dites à ces petits Dôgôno de ne pas écouter RFI, TV5 et FRANCE24, ils verront que tout va bien au Nord et au Centre. C’est les médias de la maudite France et le Tchapalo Dogôn qui leur font croire à l’insécurité sinon la nouvelle constitution a tout réglé.
First feasible effective action must be planned in steps plus stages format. We must learn who is causing problems plus methods they use. If it is necessary to disarm defense groups plus have FAMA secure area that actions effect on other to be military actions must be determine. This is not to acknowledge it will take long while for government to take action but these are questions that must be answered before total actions to be taken is determined. It is with god speed Malian government will make this determination plus Ginna Dogon should be ready to assist as instructed.
Henry Author Price Jr. aka Kankan
Nous remarquons toutes les remarques , et somme tres satisfait des critiques contre assimi .
Ce qui se passe dans la zone du pays Dogon est très ambigu car nous avons l’impression que le ver est dans le fruit. Car nous constatons que partout où des éléments de la Minusma ont séjourné ( du pays Dogon en passant par Ansongo jusqu’à Kidal) les défis sécuritaires n’ont fait que s’accentuer de même que les autres aspects sociaux.
Les autorités du régime du défunt IBK n’auraient jamais dû permettre aux bataillons de la Minusma de s’installer à Mopti. L’installation de la Minusma à Mopti n’a fait que propager d’avantage le problème du Nord vers le centre et partout au Mali. C’est comme ça que le problème est devenu asymétrique et complexe dans le seul but de fragiliser les institutions du pays et de donner le temps aux rebelles.
La 1ère action serait de renforcer la présence des forces de défense et de sécurité sur le terrain.
Nous demandons aux autorités maliennes de déployer massivement les FAMAS.
2ème : Désarmer les groupes d’autodéfense présents au pays dogon.
3ème : Intégrer les aspects d’urgence sociaux lors du retrait des éléments de la Minusma.
4ème : Mettre en place des bataillons d’escorte des convois de la Minusma.
Les autorités maliennes en doivent en aucun cas attendre le début du retrait progressif des soldats de la Minusma pour déployer massivement les FAMAS sur le terrain.
Le déploiement massif des FAMAS sur le terrain doit se faire Avant, Pendant et Après le retrait du dernier élément de la Minusma.
L’armée a tout neutralisé, mais PM ne peut pas se rendre chez lui à Ansongo.
C’est surprenant ce communiqué, selon les affidés du régime tout est parfait l’armée a tout neutralisé.
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