La consommation de viande ne cesse d’augmenter dans la ville de Bamako. Cependant, les consommateurs ne se rendent pas compte qu’ils sont exposés à des risques de cancer, en raison du mauvais transport de la viande bovine, ovine et caprine des abattoirs aux différents marchés des communes de la capitale.
La viande en provenance des différents abattoirs de Bamako est une denrée alimentaire mieux traitée et soumise à un contrôle rigoureux par des vétérinaires spécialistes des viandes avant sa livraison. Il y a lieu de noter qu’on croit être à l’abri de toutes les bactéries vivantes possibles dans la viande destinée à la consommation, mais au bout du rouleau on se rend compte qu’il n’en est absolument rien. Le vrai danger se trouve dans les circuits de distribution. Il n’est pas rare de voir des motocyclistes transporter des quartiers de viande exposés aux poussières des rues sales de Bamako.
Ici, la chaîne de froid est brisée une fois la viande sortie des abattoirs. On se demande même si nos bouchers des marchés de consommation ont une culture de la chaine de froid, qui permet surtout de multiplier les chances pour le consommateur de sortir indemne de la consommation de viande. Le transport sur de longues distances peut occasionner une contamination initiale en ce sens que les micros organismes ont le temps nécessaire de se multiplier à des quantités dangereuses pour le consommateur. Or, si la contamination est trop élevée, la viande pourrait contenir des toxines que la chaleur du feu ou de la cuisson ne pourra pas détruire.
Il revient donc aux structures chargées du contrôle de qualité des produits alimentaires de veiller sur les conditions de distribution et de transport de la viande des abattoirs aux marchés de consommation afin que la santé publique des consommateurs puisse être préservée dans le District de Bamako. Sinon, les Bamakois sont exposés à un danger mortel venant de leur assiette.
La Rédaction
Mais cela ne pose pas un risque du cancer. Cest simplement autre chose. Cest vrai que la viande ne doit pas etre exposee a une temperature au-dela de 5°c pour plus d’une heure de temps. Au Mali les gens survivent au gre de chance…sinon literalement les gens mengent du poison quotidiennement…tout est empoisones a commencer par le pain, les froufrous de la rue, les cuisses de boeuf transportees sur les jakartas, les nourritures emballees en scahet plastique toxiques etc.. les huiles toxiques produites par les unites illegales.
la situation est vraiment déplorable;Les vétérinaires font de leur mieux pour sauver les consommateurs.Il révient alors aux populations de réfuser les viandes exposées à la poussiére;la chaleur les mouches etc…C’est seulement cette seule solution qui decouragera les bouchers fautifs. 😈
Eh ben… Journaliste cancérologue???
Il est vrai que les conditions de transport sont déplorables mais de là à faire établir les risques de cancérologie, pouf! Il fallait vraiment le faire dis donc… Sacré spéculateur! Syndrome case saramaya sans doute
Une chose est sure : il y a un VRAI DANGER SANITAIRE de voir une SOTRAMA transportée un CADAVRE au CIMETIERE et voir cette même SOTRAMA transportée la VIANDE au marché 😯 😯 😯 ➡ ❗ ❓
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