Crise sociopolitique et désobéissance civile :Le peuple pris en otage par des intérêts politiciens

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En essayant de paralyser le pays à travers fermeture des administrations, des banques et des entreprises, les contestataires du pouvoir IBK contribuent à tuer à petit feu l’économie nationale, déjà mise à mal par la crise multidimensionnelle de 2012, aggravée par la crise sanitaire liée à la pandémie du COVID-19.

A-t-on jamais pu faire démissionner un président de la République démocratiquement élu à travers une opération de désobéissance civile ? Comment peut-on aider à assurer la bonne gouvernance et aider à lutter contre la corruption en provoquant l’arrêt du pays déjà en proie à des difficultés existentielles énormes ?

Ce sont des questions que se pose le citoyen lambda victime de la « désobéissance civile » que le mouvement du 5 Juin-Rassemblement des forces patriotiques (M5-RFP) vient de renouveler après la trêve de la fête de la Tabaski.

En effet, à travers cette seconde phase de leur opération de « désobéissance civile », le M5-RFP, en particulier sa jeunesse tente de paralyser le pays, faire fuir les investisseurs avec toutes les conséquences liées à ce climat de désordre qui s’instaure dans le pays. Sachons raison garder.

Boubou SIDIBE/Maliweb.net

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3 COMMENTAIRES

  1. Corrigeons les débordements (corruption, injustice, népotisme, hauts salaires des élus,exigence au président élu de loger au Palais). Ceux qui cherchent le départ du président, ne feraient pas mieux.

  2. Encore un pourri qui écrit un torchon sur des démocrates. Vous allez tous répondre à la fin de ce pouvoir sanguinaire et anti-démocratique.

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