Réélu pour un nouveau mandat de cinq ans non renouvelable, le pouvoir semble souffrir d’une certaine crédibilité de la part de la population. Le couvre-feu, les coupures d’électricité, la contestation des résultats des élections législatives sont venus s’ajouter à la grève des enseignants. De la contestation des résultats du vote aux différentes grèves, ce sont des problèmes qu’il ne faut pas ignorer.
Il faut rappeler que le précédent mandat de « Mister président » avait été émaillé de grèves à beaucoup de niveau social du pays. Les enseignants ont grevé. Ceux-là sont les vétérans en la matière. Ils réclament toujours les meilleures conditions de vie et de travail. Les commerçants ont grevé pour des raisons liées aux prix, taxes et impôts. Les banques ont grevé suite à l’inculpation d’un de leur qui avait été injustement arrêté et emprisonné. Les transporteurs ont grevé pour des raisons liées à leur condition de travail. Les policiers ont grevé. Bref, les grèves ne finissaient pas d’où l’UNTM la chef en la matière. En plus, un président contesté a gagné les élections.
Avec le nouveau pouvoir, les choses ne sont pas simples et faciles car nous avons repris avec les séries de grèves avec ce nouveau mandat. Les magistrats ne voulaient pas lâcher. Aujourd’hui, ce sont les enseignants qui décident de tirer le fil jusqu’au bout. Qui veut tordre le coup à « Boua » ? Ça fait tout un tas de revendication à l’endroit du nouveau pouvoir. Fallait-il s’attendre à ces évènements dans un pays en proie à la rébellion et au terrorisme ? IBK semble ne pas s’inquiéter face à ces grognes sociales qu’il ne faut pas prendre à la légère.
Le Mali est un pays hors-pair avec ses réalités qui laissent à désirer pour un avenir meilleur. Tous les secteurs sont minés par la corruption et la mauvaise gestion alimentées par les incapacités notoires en compétence et en ressources humaines de qualité. Le pessimisme est grandissant. Dans une telle société, il faut s’attendre à des problèmes. Lorsque vous observez les maliens, on a l’impression que les gens n’aiment pas le pouvoir en place mais ils n’ont pas la solution réelle à leurs problèmes. Le Mali a besoin des hommes et femmes dignes.
Yacouba Dao
Vive son excellence IBK qui sauve le Mali de la catastrophe. Merci President. Merci egalement aux personnels soignants qui sont nos anges-gardiens.
Je peux vous dire que nous avons de la chance d’avoir une gouvernance pareille pour faire face a une crise aussi difficile. Nous avons un gouvernement solide et expiremente sans parle de l’honorable IBK qui est vraiment tres bon dans sa fonction.
Moi je suis maliens et je ne suis pas d’accord avec ce que vous dites. Les maliens sont globalement satisfaits de la gouvernance actuelle.
Je dois vraiment comprendre comment vous arrivez a vos conclusions, vous parlez au nom des maliens mais en réalité vous ne savez rien .
T.SANKARA
“IBK VA SE “FOUTRE”DE NOUS ET S’EN ALLER TRANQUILLEMENT”
IBK n’a pas fait tous ces efforts pour conquérir le pouvoir afin de l’abandonner ou le céder à quelqu’un d’autre que son fils.
Il ne va pas S’EN ALLER TRANQUILLE.
Il va mourir au pouvoir.
C’est son rêve et je crois qu’il va le réaliser.
IL A TOUJOURS RÊVÉ FINIR COMME BONGO ET EYADEMA C’EST À DIRE PRÉPARER SON FILS À LE SUCCÉDER AVANT DE FAIRE LE GRAND REPOS.
Son plan s’exécute à merveille.
Il faut croire que lui-même est surpris que ça soit aussi facile.
NOTRE SOCIÉTÉ MERCANTILISTE FAÇONNÉE À PARTIR DU 19 NOVEMBRE 1968 LUI FACILITE LA TÂCHE.
La boussole d’IBK pour s’implanter au pouvoir, c’est LA PARTITION DU MALI.
Cela est possible à partir de l’application intégrale de l’accord d’Alger.
C’EST LA CONTREPARTIE EXIGÉE PAR LES FRANÇAIS POUR LE SOUTENIR DANS SON PROJET DE PASSER LE TÉMOIN À SON FILS.
N’espérer pas qu’Ibk va passer le témoin en 2023.
La révision constitutionnelle va remettre son mandat à zéro comme l’a fait WADE.
Ce n’est pas MANASSA DANIOKO qui va lire autrement la LOI FONDAMENTALE.
IL NE FALLAIT PAS AIDER IBK À S’INSTALLER AU POUVOIR.
Son mentor ALPHA OUMAR KONARE a compris l’arrière pensée de son chef de gouvernement.
C’EST POURQUOI IL A TOUJOURS ŒUVRÉ POUR L’EMPÊCHER DE PRENDRE LA TÊTE DE L’ÉTAT MALIEN.
Il savait que l’homme IBK est dangereux pour la démocratie malienne.
AU LIEU DE LE SOUTENIR, ON L’A COMBATTU POUR AIDER L’ENNEMI DU PEUPLE.
Du moment qu’Ibk a pris la tête de l’État,le combattre est presque insignifiant.
Il sait comment s’incrustrer au pouvoir.
LA METHODE APPLIQUÉE PAR SES DEUX IDOLES BONGO ET EYADEMA EST ENTRAIN DE S’ADAPTER AU MALI C’EST À DIRE TRAVAILLER AVEC LE SERVICE DE RENSEIGNEMENT FRANÇAIS.
C’est bizarre de constater que ceux qui ont aidé IBK à accéder au pouvoir sont ceux qui le combattent aujourd’hui.
Ceux qui l’ont empêché d’accéder au pouvoir depuis 2000,à part SOUMAILA CISSE et Mme SY KADIATOU SOW, sont ses plus fervents défenseurs.
À rappeler que le président actuel de l’ADEMA PASJ TIEMOKO SANGARE était le bras droit de feu MOHAMED LAMINE TRAORÉ l’adversaire féroce d’IBK au sein du parti de l’abeille.
La direction actuelle de l’ADEMA PASJ est un soutien indéfectible d’IBK.
Par contre TRETA, le soutien indéfectible est devenu l’ennemi numéro un.
Il gêne le projet de succession dynastique.
LA PRIMAUTÉ DE L’INTÉRÊT INDIVIDUEL FAIT LE PLAT D’IBK POUR REMPILER EN 2023.
Il ne faut pas être étonné de voir ceux qui le combattent aujourd’hui lui soutenir en 2023 car ils étaient, avant 2013, avec lui malgré l’avertissement d’AOK.
Le talon d’Achille du plan d’IBK est la condition sociale des maliens.
C’EST CETTE CONDITION SOCIALE SE DÉGRADANT CHAQUE JOUR QUI PEUT FAVORISER UN SOULÈVEMENT POPULAIRE.
Même là, il espère l’empêcher par des manipulations car il a trop de leaders d’opinion à ses côtés.
N’a t’il pas fait automatiquement fait appel à MADANI HAIDARA quand lui a commencé à se plaindre.
Après la rencontre, ce dernier est revenu le défendre devant ses partisans.
En réalité, ce prêcheur très populaire ne peut rien contre IBK.
IL L’A ENVOÛTÉ PAR LES DENIERS PUBLICS.
Seuls MAHMOUD DICKO et le CHÉRIF DE NIORO résistent.
Ils espèrent les contrer par HAIDARA.
Au niveau des hommes politiques, il a acheté presque tous les hommes politiques.
Ceux qui résistent, à part SOUMAILA CISSE, n’ont pas trop d’influence sur le terrain.
Le parti de ce dernier est actuellement attaqué.
Une division risque de se produre.
Au niveau de la société civile, le plus populaire RAS BATH dit qu’il ne faut pas fragiliser BOUA.
Les autres ne pèsent pas en terme de mobilisation.
Une force spéciale est formée pour mater les manifestations sporadiques comme on l’a constaté à sikasso.
Le maître français est là pour calmer la communauté internationale concernant les éventuelles crimes commises.
Le soulèvement populaire sera contenu car tout le monde est avec celui qu’on peut,de plus en plus, attribuer le titre de MANSA.
On oublie facilement qu’Ibk a une tête pleine, sorti de la Sorbonne, aime lire, donc très cultivé.
Cette connaissance, il l’a mis au service de son ambition personnelle c’est-à-dire exercer le pouvoir pour le pouvoir, pas pour le peuple.
C’est pourquoi il n’a pas hésité l’association avec l’ancien colonisateur.
Uns société malsaine initiée et cultivée par la dictature militaire l’a vraiment aidé à accéder au pouvoir.
C’est elle qui va l’aider à mourrir au pouvoir tout en prenant soin de préparer le terrain pour KARIM KEITA.
Celui qu’on a surnommé le GRAND HASSIDI,ALPHA OUMAR KONARE, pour avoir écarté IBK n’a t’il pas eu raison de se taire pour laisser les actes parlés à sa place?
On insulte IBK, mais on finit par le rejoindre.
Les maliens méritent IBK, mais IBK ne mérite pas le Mali qui lui a tout donné.
OSER LUTTER,C’EST OSER VAINCRE!
La lutte continue.
Que Dieu sauve le Mali. On a semé assez de vent et c’est la récolte de la tempête qui commence.
A UN CERTAIN MOMENT DE LA PREMIERE MANDATURE D’IBK, LES MALIENS DISAIENT QU’ILS SE SONT FAIT “YABE”. EN 2018, CES MEME MALIENS SE SONT FAIT “BEYA’
MAINTENANT QUE NOUS NOUS SOMMES FAIT YABE 2 FOIS, IL FAUT ASSURER, IBK VA SE “FOUTRE ” DE NOUS ET S’EN ALLER TRANQUILEMENT..
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