Coup dur pour les féministes : L’égalité entre les sexes tue la sexualité chez les femmes

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« Le féminisme est mauvais pour le sexe et serait la cause de l’augmentation des problèmes de libido chez les femmes… L’égalité entre hommes et femmes est loin de libérer la femme et inhibe son désir sexuel ». Ce sont les conclusions d’une enquête menées par des chercheurs neuroscientifiques.

Les auteurs  ont rendu publics les résultats de leurs recherches  dans un livre intitulé «A Billion Wicked Thoughts: What The World’s Largest Experiment Reveals About Human Desire ».
Leurs conclusions sont tirées de recherches sur internet qui ont impliqué 500 millions de personnes et dont les envies et les pratiques sexuelles ont été comparées avec les dernières études neuroscientifiques sur le sujet.

Il ressort de leur constat « que la volonté des femmes d’être considérées au même niveau que les hommes nuirait à leur épanouissement sexuel ». Lisons le résumé et quelques commentaires:
« Selon Ogi Ogas et Sai Gaddam, les auteurs de ce livre, les femmes ont beau revendiquer l’égalité des sexes, quand il s’agit de sexe, justement, elles préfèrent être dominées. Selon les auteurs, l’égalité entre hommes et femmes est loin de libérer la femme et inhibe son désir sexuel… Si une chef d’entreprise tente d’approcher le sexe avec les mêmes attitudes que celles qu’elle adopte au travail, ce sera difficile pour elle d’éprouver du désir (…) Le féminisme est mauvais pour le sexe et serait la cause de l’augmentation des problèmes de libido chez les femmes, affirment les deux auteurs ».

Si le livre a été contesté dans certains milieux féministes extrémistes, de nombreuses  femmes conviennent cependant  que «le féminisme concerne l’égalité au niveau économique, politique et social mais n’a rien à voir avec le sexe». Une manière de donner raison aux deux auteurs lesquels, en marge de la découverte, suscitent désormais le débat sur l’égalité des sexes.
Doit-elle être appliquée dans tous les domaines de la vie ou être confinée dans certains compartiments ?

Pour les conservateurs africains et maliens en particulier, la question ne se pose pas aussi vrai que l’on ne saurait dissocier la sexualité de la vie.

B.S. Diarra

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