Depuis l’annonce, le 17 mars 2020, des mesures prises par le Gouvernement dans le cadre de la lutte contre la propagation de la maladie liée au COVID – 19, les prix de certains produits de première nécessité importés ont connu une légère hausse sur le marché de Bamako. Une enquête menée, les 30 et 31 mars 2020, dans certains marchés de Bamako nous a permis de constater une augmentation des prix du sucre, du riz, d’huile, du lait en poudre etc.
Pour éviter une augmenter des prix des produits de première nécessité en cette période de crise sanitaire, les autorités maliennes, à travers le ministère de l’Industrie et du Commerce, a fixé les prix consensuels plafonds de certains produits ainsi qu’il suit : le prix de détail plafond du sucre en poudre en F CFA est de 500 f CFA le kilogramme ; le riz brisé non parfumé est de 350 F CFA le kilogramme ; l’huile alimentaire locale est de 650 f CFA le litre et le pain est de 250 f CFA.
Sur le terrain, le constat est tout autre. A Bamako, contrairement aux produits locaux, les denrées de première nécessité importées font l’objet d’une légère spéculation sur les marchés. Cette spéculation est aussi valable pour la consommation du riz local de qualité « N’Gamiaka » suivant les différentes modes de traitement du produit. Le Kilogramme du riz « N’Gamiaka » bien traité est cédé à 440 F CFA, soit 22000 F CFA le sac de 50 kilogrammes, chez un commerçant détaillant au marché Bagadadji derrière la grande mosquée de Bamako. Chez Dramane Diarra, un autre grossiste, sur le même marché, le sac de 50 kilogrammes du riz « N’Gamiaka » est vendu à 17 000 F CFA. Dans certains magasins de la capitale malienne, le prix du sac peut vite grimper à 18000 F CFA. Sur les différents marchés de la capitale, le sac de 50 kilogrammes du riz importé 100% Brisure non parfumé est vendu à 16500 F CFA, le riz 100% Brisure parfumé vietnamien est cédé à 22500 F CFA, le riz fumé Bella N°1 à 20000 F CFA. On note donc une augmentation de 500 FCFA sur le sac de 50 kilogramme de riz. « Cette hausse est due hausse à la rareté sur le marché avec les nouvelles mesures sanitaires. », selon les commerçants interrogés.
Quant à l’huile importée Dinor, elle est vendue à 800 F CFA le litre, soit une augmentation de 50 F CFA le litre. Le bidon de 20 litres est cédé à 15000 F CFA, alors que le même bidon était vendu à 14800 f CFA. Pour ce qui concerne le sucre, le sac de 50 kilogrammes est vendu actuellement à 24000 FCFA et le kilogramme est cédé à 500 F CFA dans les grandes boutiques de proximité, soit une augmentation de 50 FCFA sur le kilo. Le lait en poudre de première qualité est cédé à 1200 FCFA le kilogramme, soit une augmentation de 200 FCFA.
Moussa Dagnoko
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..ET AUJOURD HUI …PARCE QUE L EDITION DE ECHOS MEDIAS C ETAIT HIER …
L ARTICLE RESSORT SUR LA “” SIRENE “” …N 315 DU JEUDI …
LE MEME …
AFFAIRE S-I-C-G MALI – EX BHM :
LA GRANDE ARNAQUE DE CERTAINS SERVICES DE L ETAT …
L’ AFFAIRE S.I.C.G MALI .. BHM SA …( BMS SA ACTUELLEMENT ) ARRIVE A SON TERME ….
DONC SI VOUS L AVEZ LOUPE HIER …IL EST DISPONIBLE AUJOURD HUI ENCORE !
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ALORS …VU LE DERNIER ARTICLE PASSE SUR LA SIRENE DU JOUR …
NOTRE GRAND VOLEUR …
MAITRE BASSALIFOU SYLLA ….DOIT COMPTER “”SES” AMIS …
ET ……IL NE DOIT PLUS EN COMPTER BEAUCOUP …
TOUT PASSE !
😂😂😂😂😂😂
On dit Gambiaka et non N’Gamiaka
C’est mauvais ce font ces commerçant gourmands aux pauvre maliens. Cependant nos élus bon-a -rien ne font rien pour criminaliser ces cafouillages sur les prix dans une crise sanitaire inédite. Ce faux rien n’est devenu chère a cause du Covid -19 .. au contraire le prix du barrir du pétrole qui joue beaucoup a beaucoup baissé. Les nullards de l’AN n’aident jamais les pauvres de ce pays au besoin !
Les prix ne pourraient jamais, jamais et jamais être contrôlés dans notre pays parce que les hommes que nous élisons actuellement qu’on appelle députés sont à la base de cette anarchie des prix sur les marchés locaux. Tant que les députés, leurs femmes et leurs enfants, les ministres, leurs femmes et leurs enfants, les autres élus, leurs femmes et leurs enfants (les postes des collectivités territoriales et les maires), les cadres grands commis de l’état, leurs femmes et leurs enfants sont autorisés à faire le commerce dans ce pays, les prix prendrons toujours l’ascenseur dans la mesure où c’est eux qui doivent aider les structures étatiques à contrôler les prix, si eux ils sont commerçants personne, personne, personne ne pourra maitriser les prix à leur place. Il faut interdire à ces hommes et femmes d’être intégrer dans le commerce pour le bonheur de la société malienne. .
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