Moins d’une semaine après l’adoption par l’Assemblée nationale du projet de révision de la constitution de 1992, la vague de contestation ne cesse d’accroître. A la suite des manifestations de mouvements des jeunes, les condamnations de personnalités politiques et professionnels du droit, une unité de combat vient de naître.
« AN TE SON, A BANA !ou Touches pas à ma constitution ! », c’est le nom de la toute nouvelle plateforme qui regroupe des partis politiques de l’opposition, des organisations de la société civile, des jeunes, des artistes… issue d’une large mobilisation ce dimanche à la pyramide du souvenir pour dire Niet à la révision constitutionnelle souhaitée par le président de la République.
De l’avis de professionnels du droit ayant répondu à l’appel comme le docteur Brehima Fomba, le projet en plus d’un déficit de concertation, souffre d’une insuffisance juridique. Dans le même sens, Me Abdourahmane Ben Touré situe les motifs de cette révision dans l’adaption à l’accord de paix et l’injonction de la communauté internationale. L’avocat poursuit : les points d’impacts de l’accord notamment les pouvoirs exorbitants attribués aux collectivités défigurent le Mali et conduisent à une constitution flexible. Quant aux pouvoirs qu’accorde le nouveau texte au président de la République, tous ont dénoncé une dérive monarchique mettant en péril les acquis démocratiques obtenu au prix du sacrifice ultime. Les représentants des partis de l’opposition, des associations de jeunes, de la société civile…Tous joignent leur voix à celle de Tiéblen Dramé pour se dresser contre « le bricolage de la volonté du peuple malien de 1992 ».
Aux principales questions qui ont partagées l’assistance à savoir : obliger le président à retirer le projet ou battre campagne pour le non le 9 juillet prochain ? Une coordination réunissant l’ensemble des composantes de la société est à pied d’œuvre et devrait s’étendra sur l’étendue du territoire. Mais d’ores et déjà, le porte- parole du collectif des régions non opérationnelles a promis le boycott du référendum dans ces différentes régions. Une gigantesque marche de contestation est également prévue le 17 juin dans tout le pays.
BAD
IBK a signe son depart sans se rendre compte. Adieu IBK que ait pitie de toi, amina…..
Ce Régime est FINI. La sanction Divine va démolir IBK un Associateur!
La gestion du Mali-web n’est pas impartiale, je vois d’autres doublons ci-dessus; et je vois même pas ma réaction, on me parle de doublon. Je ne cesserais pas!
Si IBK ne renonce pas à cette révision constitutionnelle il tombera à la marche du 17 juin 2017.
Seulement deux cadres (Kassoum TAPO et le Député N’DJI de Bougouni) qui se lamentent pour défendre cette révision dans le cas de la majorité contre tous les cadres l’opposition, de la Société Civile et les intellectuels et universitaires du pays et surtout la motivation de la la jeunesse, les maliens de l’extérieur etc
IBK comprend que tu trompes tes proches ou tes proches te trompent.
Si IBK ne renonce pas à cette révision constitutionnelle il tombera à la marche du 17 juin 2017.
Seulement deux cadres (Kassoum TAPO et le Député N’DJI de Bougouni) qui se lamentent pour défendre cette révision dans le cas de la majorité contre tous les cadres l’opposition, de la Société Civile et les intellectuels et universitaires du pays et surtout la motivation de la la jeunesse .
IBK comprend que tu trompes tes proches ou tes proches te trompent.
Si juste un test pour lui. Si ce référendum passe alors il tentera de briguer un second mandat qui est son droit sachant bien qu’il va perdre mais si le referdum echoue il renoncera à un second mandat.
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Le gros nul de Sebenicoro n’est pas bien conseillé
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