«Regards croisés sur les contraintes politiques, institutionnelles et constitutionnelles de la mise en œuvre de l’Accord pour la paix et la réconciliation au Mali», c’était le thème d’une journée de réflexion initiée par la Fondation Balanzan pour la gouvernance et la stabilité, le jeudi 30 juin dernier au CICB. C’était en présence du Président de la Fondation, Moussa Makan Camara, et du représentant de l’OIF, Boubacar Abdrahamane Issa.
La journée a rassemblé des représentants de la communauté internationale, les partis politiques de la majorité et de l’opposition, les principales organisations de la société civile, les représentants des Mouvements Signataires, la CMA et la Plateforme, des personnalités et de nombreuses personnes ressources.
La Fondation Balanzan entend apporter sa modeste contribution à la mise en œuvre de l’accord pour la Paix et la réconciliation au Mali. Cette journée, dont la modération était assurée par Adam Thiam, éditorialiste, a réuni des panélistes de qualité comme le Pr Ali Nouhoum Diallo, Président de la Coordination des Mouvements Démocratiques (COMODE), Nancouma Keita, Secrétaire Politique du RPM, Tiébilé Dramé, Président du PARENA, Me Harouna Toureh, Porte-Parole de la Plateforme et Mohamed Ag Mahamoud, représentant de la CMA.
Ils ont tous croisé leurs regards, avec l’assistance, sur les contraintes politiques, institutionnelles et constitutionnelles liées à la mise en œuvre de l’Accord pour la paix et la réconciliation au Mali.
Dans ses mots de bienvenue, le Président de la Fondation Balanzan a indiqué que «l’Accord n’est pas plus pas moins qu’une entente politique entre des parties en conflit, négocié dans un contexte donné, donc un compromis politique. Par conséquent, il importe d’en faire une gestion politique».
«Gérer politiquement l’Accord suppose la construction continue d’un consensus et l’élargissement progressif de la base de ce consensus. Ceci est d’autant plus nécessaire parce que l’Accord dépasse largement le cadre d’un simple programme de gouvernement et constitue un instrument politique qui engage l’avenir du pays. En tant que tel, l’Accord va donc nécessairement au-delà d’une législature et sa gestion ne saurait s’accommoder de postures politiques classiques», a-t-il déclaré.
C’est pourquoi il a souligné l’importance de transcender les clivages et de gérer de manière véritablement inclusive la mise en œuvre de l’accord. Dans ce sens, il a mis l’accent sur la nécessité de prendre en compte ses aspects exogènes, en s’interrogeant sur la stratégie à adopter contre les ennemis de la paix, autant que ses aspects endogènes, notamment en répondant à la demande d’inclusivité exprimée par les partis politiques de l’opposition et en assurant une meilleure intégration de Mouvements comme la COMPIS 15.
L’ancien Ambassadeur a aussi invité les parties signataires à chercher l’adhésion des populations, des acteurs politiques et des leaders d’opinion pour élargir la base de cet instrument politique. Selon lui, cet approfondissement est un défi pour les parties signataires, et devrait consister, en premier lieu, en une consultation de l’ensemble des Institutions de la République, principalement l’Assemblée Nationale.
Il a aussi relevé que la Conférence d’entente nationale que prévoit l’Accord permettra un débat approfondi entre les différentes composantes de la Nation sur les causes profondes du conflit, afin de dégager les éléments d’une solution devant permettre au Mali de transcender la douloureuse épreuve infligée à son peuple.
Selon lui, cette conférence sera le lieu idéal pour l’élaboration d’une Charte pour la Paix, l’Unité et la Réconciliation nationale, sur une base consensuelle.
Youssouf Diallo
Finalement il faut reconnaître que du travail a été fait et continu d’être fait par le gouvernement pour le retour de la paix. Cette entente permet de mettre fin aux blocages qu’a connu le processus de mise en place des accords de paix.
Il est plus facile de faire la guerre que de faire la paix et la recherche de la paix demande des sacrifices que nous sommes obligés de les faire car nous voulons cette paix. Avec l’installation des autorités intermédiaires l’administration malienne sera présente au nord et le peuple malien sera le plus heureux cela sera une grande victoire que le gouvernement aura fait pour la conquête du nord.
Le représentant de l’OIF Boubacar Abdrahamane Issa, en déclarant que les responsables de l’organisation attachent une très grande importance à tous les efforts engagés au Mali et dans toute la région saharienne pour enraciner davantage la paix et la stabilité, la sécurité en particulier à travers la mise en œuvre de l’accord de paix. Le volet sécuritaire est le vrai problème du peuple malien et pour cela nous demandons aux partis signataires des accords de paix l’entente.
Mamadou DABO de “Zénith Balé” avait dit concernant les accords de paix de : “brûler les timbres du désaccord”. Mais est ce que cela est possible si les personnes qui sont contre l’accord de paix comme Tiébilé dramé et soumaïla cissé ne sont pas objectives?
Rien ne peut être parfait sur cette terre. Concernant l’accord de paix; mieux vaut avoir un accord qui n’est pas parfait et qu’on peut s’atteler à en corriger les failles que de ne rien avoir.
Mais si on doit le faire passer comme le pire des accords et en calomnier les initiateurs juste pour vouloir augmenter sa côte de popularité; qu’est ce le gouvernement peut donc faire si ce n’est les ignorer.
Nous devons savoir que la Fondation Balazan avec l’organisation d’une journée de réflexion entend apporter sa contribution à la mise en œuvre de l’accord pour la paix et la réconciliation au Mali est vraiment salutaire et je pense que tout le peuple malien doit fait autant afin que nous regardons tous dans la même direction qui est le retour de la paix.
Le gouvernement malien et toutes les personnes objectives de ce pays savent ce qu’il faut pour la paix. La concertation nationale est une bonne idée mais n’est pas la condition sine qua non pour que nous puissions aller à la paix.
Des gens qui sabotent les accords de paix tout simplement parce que la médiation à été déplacée du Burkina en Algérie et qui osent venir dire que les choses n’avancent pas?
Des personnes qui parlent de concertations nationales quand elles sont les premières à quitter les plateformes d’échanges mis en place par le gouvernement par orgueil; qu’est ce que le gouvernement peut bien faire si ce n’est composer sans eux?
Le souhait des autorités de ce pays est d’apporter la paix, la réconciliation et la cohésion sociale à leur population donc il ne faudrait pas douter de leur bonne foi et être un peu patient.
Les autorités ont marqué leur engagement pour ces accords et je suis sûr qu’elles le tiendront.
Mais ceux qui entravent le processus de paix de façon voilée et qui viennent dire que le pays est divisé doivent se revoir car ce comportement fait d’eux les premiers ennemis de la paix. C”est le cas de cette opposition qui s’attelle à saboter l’accord de paix prétextant qu’elle n’est pas associé à sa mise en application.
Le président IBK a toujours fait ce qui s’imposait pour que les accords de paix puissent être mis en œuvre. Il a fait assez de sacrifices que personne ne peut dénier mais des personnes tapis dans l’ombre à la solde bu bélier tiébilé et de son mentor soumi ont toujours tout fait pour que ces accords ne puissent pas être appliqués car ils n’en ont jamais voulu. La dernière illustration est concernant la mise en place des autorités intérimaires où l’opposition a utilisé tous les moyens pour que cette loi ne soit pas adoptée et on demande de les associer à la mise en œuvre des ces accords. Vous ne trouvez pas ça paradoxale?
Le président IBK reste et demeure le leader charismatique que nous avions connu. Il ne rentrera pas dans l’histoire de la pire manière car cette paix il l’aura quelques soit les moyens. Aussi je trouve que ce soit de la mauvaise foi que d’abandonner le président de la république parce qu’il n’y a pas eu de concertation nationale avant d’aller aux négociations d’Alger. On ne doit aucunement sacrifier le pays sur l’autel de nos intérêts mesquins.
Le gouvernement de notre pays n’a absolument plus rien à prouver à qui que ce soit. Malgré les difficultés de tout genre; il a toujours pris les dispositions qu’il faut pour que l’accord soit mis en application. Mais la mauvaise foi de la CMA a toujours été un frein à la mise en œuvre de ces accords. C’est à elle donc de se revoir.
Aussi il faut que le peuple puisse soutenir l’autorité en place dans le cadre de la mise en œuvre de ces accords car nous y gagnons tous.
Tout le monde parle de conférence d’entente nationale sans bien réfléchir à la question.
Comment peut-il avoir conférence d’entente nationale si le pays n’est pas réunifié?
Est ce que les personnes pour la plupart qui vivent dans des zones où l’armée et les forces de sécurités ne sont pas pourront parler sans craindre pour leur sécurité?
Est ce que les débats seront franc sachant qu’il y a un groupe armée qui doit prendre part à ces discussions?
Pour qu’il y ait conférence d’entente nationale; il faut désarmement et redéploiement des forces de défenses et de sécurité sur toute l’étendue du territoire national.
Si les populations n’adhèrent pas à la mise en œuvre des accords de paix; c’est parce que dès le début des personnes comme tiébilé Dramé, soumaila Cissé et récemment des personnes comme le Pr nouhoum Diallo ont fait croire que ces accords ne sont pas bon et ne sont qu’une capitulation des autorités en place face à la CMA.
Est ce que dans ces conditions les populations peuvent se l’attribuer?
Le président IBK l’a dit dans une de ses déclarations que cette conférence était en préparation. Mais je pense que cela ne doit vraiment pas constituer un obstacle à la mise en place des accords de paix car il y a des questions purement techniques comme le cantonnement et le DDR qui ont fait l’objet d’études. Ce genre de clauses doivent être appliquées.
Ce sont les questions institutionnelles qui peuvent faire l’objet de discussion encore
Si Tiébilé, soumaila cissé et les autres acteurs de la scène politique surtout de l’opposition avaient soutenu et accompagner le président IBK dans la mise en œuvre des accords de paix; il y aurait pu avoir des retards mais cela allait peut être d’ordres financiers, les ptfs n’ayant pas respecté leurs engagements.
Ils ( Tiébilé, soumaila cissé et les autres ) ont mis leurs intérêts au dessus du Mali. La partie en face qu’est la CMA sachant qu’il n’y pas d’union du camp gouvernemental ne pouvait donc qu’esquiver lorsqu’elle devait mettre une clause en application.
LA SOLUTION POUR LA MISE EN ŒUVRE EFFECTIVE DES ACCORDS DE PAIX EST L’UNION DERRIÈRE LE MALI, CES INSTITUTIONS ET LES PERSONNES QUI LES INCARNENT!
L’État malien a vraiment besoin de la mis en œuvre rapide de l’accord paix pour des nombreuse raisons.Déjà nous sommes à une année de la signature de l’accord de paix .Donc il est grand temps de passer une étape supérieure pour la paix et la réconciliation nationale.
Le retour de la paix dans le nord Mali est certes difficile, mais possible. Toute la population malien doit se mobiliser derrière nos leaders, IBK et son gouvernement sont engagés, déterminés pour le retour de la paix et la réconciliation dans le nord Mali.
De la manière dont les acteurs sont optimistes à l’accord d’Alger issu d processus de paix d’Alger avec ses avancées et son blocage, nous devons tous être optimistes pour un retour rapide de la paix et de la réconciliation dans notre pays. Cette conférence de presse prouve que la société civile est en train de faire une prise de conscience. Sans l’implication de cette société dans le processus de paix, le retour de la paix sera difficile.
Il faut d’avantage sensibiliser la population et ces genre de rencontre sont d’un grand atout pour la sensibilisation de la population et des acteurs signataires de l’accord de paix et de réconciliation issu du processus d’Alger.
C’est tout a fait normal que la société civile joue ce rôle important dans ce processus de paix et la réconciliation nationale.
C’est tout a fait normal que la société civile joue ce rôle important dans ce processus de paix et la réconciliation nationale.
Nous sommes tous optimiste pour la mise en œuvre de l’accord pour la paix et la réconciliation dans notre pays.La mise en place de l’autorité intérimaire était le seul blocage pour une avancée considérable.
Nous sollicitons la mise en place de ce genre de rencontre entre la société civile et leur différents acteurs pour trouver une bonne mise en marche du train qui nous mènera vers un pays de paix, de quiétude,de stabilité.
Il faut que la société civile accepte d’accompagner l’état malien. Si l’accord de paix a été adoptée c’est pour le bien être de notre pays. C’est vrai qu’il y a des non dits dans cet accord mais nous demandons l’accompagnement de tous acteurs politiques pour que le Mali renoue avec la paix.
Nous ne pouvons que féliciter le gouvernement malien d’ avoir trouver un accord pour la mise en place de cette autorité intérimaire.Car c est une grande avancée dans le processus de paix et de réconciliation nationale.
Un processus de paix a toujours été des étapes. Si après un an les deux protagonistes ont décidé de revoir l’accord c’est de bonne augure car cela montre leur volonté manifeste d’aller résolument à la paix pour le bonheur de tous. Cette action doit être saluée et accompagnée par l’ensemble de la société et des partenaires techniques et financiers.
Avec ses genres de rencontres nous espérons un bon début de ce processus de la mise place de cette autorité intérimaire car nous espérons que cela pourra nous conduire vers une paix et une réconciliation nationale.
Pour résoudre le problème au nord Mali il faut attaquer le mal par les racines. Le nord a toujours crée des problèmes aux régimes précédents du fait d’un délaissement. C’est pourquoi le président IBK a jugé bon de conférer des pouvoirs décisionnels aux nouvelles autorités afin de poser des actions de développement dans ces zones.
Le président a promis au peuple et il ne cédera jamais une seule partition du Mali à personne. Il a compris que les enfants d’un même pays ne peuvent pas passer toute la vie se faire la guerre. L’obtention de la paix n’est pas facile donc soutenons le président dans sa quête de paix, socle de développement
C’est bien de voir des acteurs prendre de telle initiative. La vraie mise en oeuvre de l’accord est l’affaire de tous alors nous devons tous nous impliquer en sa mise en marche. La paix n’est pas le fait du président Ibk mais de tous les maliens. Je salue à sa juste valeur cette réunion au CICB
Le président est satisfait jusque là des actions qui sont posées depuis la signature de l’accord. Certes il y a eu des retard mais cela à rejeter tout, je pense que ce sera absurde. Nous irons à la paix malgré les tentations de dénigrement des opposants et journalistes hostiles à la mise place de l’accord
Il faut croire à l’accord de paix comme l’a dit le diplomate Algérien en accompagnant le président dans sa mise en place. C’est le lieu d’interpeller tous les partis prenants de l’accord à s’impliquer davantage afin que tout ceci soit un mauvais souvenir dans l’intérêt de la nation malienne.
Depuis la signature de l’Accord, les obstacles à sa mise en œuvre se sont multipliés, selon IBK , dans la mise en œuvre de l’accord, nous avons obtenu des résultats particulièrement édifiants qui sont autant de motifs de croire en la paix et qui nous engagent à poursuivre les efforts en cours. Comme actes posés, le président de la République citera entre autres : la nomination et l’installation des gouverneurs des nouvelles régions de Taoudéni et Ménaka pour lesquelles une enveloppe de 1 milliard huit cent millions de FCFA a été affectée pour la réhabilitation, la construction et l’équipement d’infrastructures de l’administration générale ; la promulgation de la Loi instituant les autorités intérimaires.
Nous sommes heureux que les groupes armés aient pris cette décision assez capitale pour le reste du processus de paix. Les autorités intérimaires étaient une étapes que le chef de l’état avait beaucoup misé pour son adoption mais sa mise en place avait soulevé des polémiques. Et aujourd’hui, tout semble bien terminé car un terrain d’entente est trouvé pour le bien-être de la population.
Tout le monde doit s’y mettre, la paix et la réconciliation c’est pour l’intérêt de tous. D’autant plus que les pourparlers inter-Alger se sont déroulés avec la participation de tous belligérants, alors chacun doit dans la généralité et aussi la particularité faire preuve de bonne foi et acte de patriotisme pour sauver l’accord de paix et de réconciliation dont la crédibilité est mise en cause par différents attaques perpétrés sur le sol malien.
Le chien aboie, la caravane passe. Même si vous vous acharnez pour réduire les chances de réussite de notre gouvernement dans sa lutte pour restituer la paix au Mali vous n’y arriverez pas.
Un bon exemple car il ne suffit pas de dire qu’on veut la paix mais il faut le montrer avec des actes même si certains vont mal interpréter.
Chers journaliste, je pense que l’État actuel nous devons dépasser tous ces critiques et faire plus de retenu. Et savoir que le Mali est un État et qu’il ne peut pas se comporté et se mesure à un seul individu.
Mais au lieu de se plaindre de l’attitude d’Ag chérif il faut se plaindre de l’attitude de certains de nos opposants qui parlent sur le Mali comme le pays de tout le danger.
Hommes politiques, sociétés civiles, leaders religieux, leaders d’opinion, femmes et enfants, de Kayes à Kidal donnons-nous la main pour que cet accord soit mise en œuvre pour que les réfugiés puissent retourner chez eux, et vivre dans la convivialité avec les autres.
Que ça soit l’opposition, la majorité, la société civile, même les hommes apolitiques nous devons nous donner la main, laisser de côté les querelles personnelles et regarder dans la même direction que le président de la république pour que la mise en œuvre de cet accord se fasse au plus vite possible.
Je pense qu’il est temps de tourner la page avec des propos qui pourront entacher le processus de paix. Les groupes armés ont compris qu’il est temps d’aller à la paix et cherchent à régler le problème. Mais certaines personnes qui sont allergique à la paix trouvent toujours quelque chose à dire.
Si après un an de la signature des accords de paix et que rien n’a bougé, il faut reconnaître que les groupes armés avec la mauvaise foi et aussi la communauté internationale qui pillaient le nord n’étaient pas encore prêts pour la paix. Mais aujourd’hui avec la volonté du président à avoir coûte que coûte cette paix, le gouvernement et les groupes armés sont parvenus à un accord.
Nounou be fè ka sotchi tourou da daby koun donc il ne faut pas qu’ont leurs donnent du temps, IBK a bien fait de l’accueillir pour que l’accord soit applicable au plus vite que possible.
Au jour d’aujourd’hui la guerre n’aboutit à rien que la perte et le regret, l’accord à été déjà signé cela fait un an maintenant et pour que cet accord soit appliqué il faudra les traiter comme des vrais maliens.
C’est une nouvelle ère et c’est pourquoi la nécessité s’impose justement de relire notre constitution au regard des engagements pris par notre gouvernement à Alger
La conférence d’entente nationale est importante dans la mise en œuvre de l’accord et que le monde doit y participer elle est réellement la pièce maîtresse de cet accord
Je pense qu’il faut une intelligence collective pour sécuriser la mise en œuvre de l’accord. Il est à indiquer qu’il y a urgence à ce que le déficit d’appropriation soit comblé.
Toutes les dispositions y compris la révision de la constitution sont obligatoires et elles doivent être exécutées intégralement afin de réconcilier les parties et ne peuvent être modifiées que de leur commun accord
Pour enraciner davantage la paix et la stabilité, la sécurité en particulier à travers la mise en œuvre de l’accord de paix. Il est important de souligner que pour faire la paix, le concours de tous les acteurs nationaux est indispensable. Car selon lui, c’est une étape décisive sur le chemin de la paix :223love: :223love: :223love:
Tiébilé le petit monsieur n’a vraiment pas honte.Il ose dire de cet accord de paix est une nouvelle ère pour le mali?Une nouvelle ère dont lui et l’opposition malienne font tout pour obstruer l’avènement.Je pense que dans des cérémonies d’une telle importance il ne faut pas inviter des petits messieurs comme le mauvais payeur de Tiébilé Dramé.
Les partenaires de la paix attachent une très grande importance à tous les efforts engagés au Mali par le gouvernement dans l’élaboration de l’accord il est important qu’on pense aux obstacles qui pourraient se poser voilà le but de cette réunion entre les parties concernés
J’appelle les différentes parties au respect des clauses essentielles de l’accord dans l’intérêt du Mali.
Des leaders d’opinion afin d’élargir la base de cet instrument politique. Concernant la conférence d’entente nationale, il a souligné qu’elle sera le lieu idéal pour l’élaboration d’une charte pour la paix, l’unité et la réconciliation nationale sur une base consensuelle.
Selon le représentant de la CMA, Mohamed Ould Mohamoud la nomination du haut représentant va permettre la mise en œuvre immédiate de l’accord. En ce sens, il souligne que la conférence d’entente nationale est importante dans la mise en œuvre de l’accord et que le monde doit y participer.
L’accord de Bamako est un compromis et par conséquent, il importe d’en faire une gestion politique donc il est important qu’une bonne politique permettra sa bonne marche tel était le but de cette rencontre
Mr dramé je trouve ton discours une peine perdu, nous avions dépassé ce stade, nous sommes maintenant au niveau de la mise en place de l’accord, et de la phase des explications, ou étiez vous au moment de la négociation, quelle a été ta proposition au moment du préaccord ?
Pour le représentant de l’organisation internationale de la Francophonie, Boubacar Abdrahamane Issa, les responsables de l’OIF attachent une très grande importance à tous les efforts engagés au Mali et dans toute la région saharienne pour enraciner davantage la paix et la stabilité, la sécurité en particulier à travers la mise en œuvre de l’accord de paix. Il souligne que pour faire la paix, le concours de tous les acteurs nationaux est indispensable. Car, c’est une étape décisive sur le chemin de la paix.
Que ça soit l’opposition, la majorité, la société civile, même les hommes apolitiques nous devons nous donner la main, laisser de côté les querelles personnelles et regarder dans la même direction que le président de la république pour que la mise en œuvre de cet accord se fasse au plus vite possible
Je salue les panelistes de cette journée qui ont fait leur déplacement pour exposer l’accord aux gens et les appeler à aller vers la paix, ils étaient au nombre de Cinq. Il s’agit du Porte- Parole de la Plateforme, Me. Harouna Touré, du Représentant de la CMA, Mohamed Ould Mohamoud, le Secrétaire politique du RPM, Nankoma Keita, le Président du Parena, Tiébilé Dramé et le Pr. Ali Nouhoum Diallo , Président de la COMADE, également, ancien Président de l’assemblée nationale.
Hommes politiques, sociétés civiles, leaders religieux, leaders d’opinion, femmes et enfants, de Kayes à Kidal donnons nous la main pour que cet accord soit mise en œuvre pour que les réfugiés puissent retourner chez eux, et vivre dans la convivialité avec les autres
Comme la si bien dit l’ambassadeur Moussa Makan camara le président de la fondation Balanzan, l’accord de paix signé entre le Malin et les groupes nous impliques tous de Kayes à Kidal, nous devons nous donner la main pour que sa mise en œuvre soit un succès et que le sort victorieux de cette crise.
Nous remercions la fondation Balanzan pour tout ce qu’il fait pour la bonne mise en œuvre de l’accord pour la paix et la réconciliation issu du processus d’Alger, je pense que les leaders politiques de l’opposition comme de la majorité doivent se donnés les mains pour la bonne mise en application de l’accord.
Nous remercions la fondation Balanzan de pour leur éclaircissement de l’accord, nous devions multiplier ces genres de journée pour pouvoir très bien expliquer aux gens l’importance de la mise en place de cet accord.
La majorité, l’opposition, les groupes armés doivent joué avec le gouvernement pour que la paix revienne au Mali, si on se donne la main la mise en œuvre de l’accord sera un succès.
Nous remercions la fondation Balanzan pour tout ce qu’il fait pour la bonne mise en œuvre de l’accord pour la paix et la réconciliation issu du processus d’Alger, je pense que les leaders politiques de l’opposition comme de la majorité doivent se donnés les mains pour la bonne mise en application de l’accord. ➡ ➡ ➡ ➡
La fondation BALAZAN a très bien agit en initiant cette journée de réflexion pour amener les acteurs de la crise malienne à aller résolument à la mise en œuvre de l’accord de paix.Ce qui est étonnant c’est que chacun est unanime que l’accord de paix doit être appliqué.Mais quand des personnes comme TIEBILE DRAME disent que l’accord de paix est une nouvelle pour le Mali,cela est vraiment étonnant.N’est ce pas eux qui font tout pour empêcher la mise en place des autorités intérimaires?Des personnes qui veulent une chose et son contraire en même temps.Qu’est ce que des personnes peuvent bien pour notre pays?
Il,faut remercier les initiateurs de cette plate forme de réflexion sur l’accord de paix.Tous les acteurs de la crise malienne qui sont intervenus sont tous unanimes que l’accord de paix doit être mis en route le plutôt possible.
Ce qui est étrange c’est le comportement de certaines personnes comme Tiébilé Dramé et ALI Nouhoum Diallo qui ne manquent pas d’occasion pour dire à qui veut l’entendre que l’accord de paix consacre la partition du pays,qui nous laisse perplexe.
Pendant leur intervention ces deux personnes ont loués le bien fondé de l’accord de paix.Et ils souhaitent que le processus de paix soit mis en marche.De qui ces politiciens hypocrites se moquent t’ils?
Il faut que les populations maliennes comprennent que toutes les personnes qui disent du n’importe quoi sur l’accord de paix ont autre soucis que celui de voir notre pays à aller à la paix.Notre pays a malheureusement hérité d’hommes politiques qui ont le ventre insatiable et qui ne vivent que pour le remplir.
Je pense qu’il faut dire toute la vérité pour qu’on avance réellement.Parmi les obstacles à l’accord de paix il faut inclure l’opposition malienne et certains organes de la presse écrite malienne.L’opposition malienne a porté plainte en annulation auprès de la cour constitutionnelle en vue d’annuler le projet de loi sur les autorités intérimaires.Il faut le dire aussi pour que chacun sache qu”est ce qu’il a fait pour faire avancer ou obstruer le processus de paix.C’est très important ça.
Il ne suffit pas à TIBILE DRAME de dire que l’accord de paix est bien et après se cacher derrière son journal le républicain et dire que la mise en place des autorités intérimaires est la partition du pays.
Les difficultés que le pays rencontre dans l’application de l’accord de paix sont dues à des problèmes d’intérêts personnels.
L’opposition malienne qui se plaint de la mise en place des autorités intérimaires parce qu’elle perd des postes dans les régions concernées par la mise en place des autorités intérimaires.
Les ex rebelles ont fait de la crise du nord Mali un fond de commerce.Toujours de nouvelles conditions pour extorquer de l’argent au gouvernement malien.
Les forces étrangères qui sont sensées nous aider jouent pas toujours franc jeu.Les intérêts qu’elles ont au nord Mali sont autres que l’application de l’accord de paix.
L’opposition malienne,la forces étrangères et les ex rebelles sont les obstacles qui font stagner l’accord de paix.Il faut que des mesures soient prises pour que tous ces acteurs soient sincères avec le gouvernement malien dans le processus de paix dans leur engagement.
Ce n'est que main dans la main que nous pourrions mettre fin à ce problème qui mettre tous les maliens à bout de souffle. La paix n'est pas un vain mot, mais plutôt un comportement, les acteurs signataires doivent tous faire franc jeu pour la paix et la réconciliation reviennent dans la nord du Mali.
Tout le monde doit s’y mettre, la paix et la réconciliation c’est pour l’intérêt de tous. D’autant plus que les pourparlers inter-Alger se sont déroulés avec la participation de tous belligérants, alors chacun doit dans la généralité et aussi la particularité faire preuve de bonne foi et acte de patriotisme pour sauver l’accord de paix et de réconciliation dont la crédibilité est mise en cause par différents attaques perpétrés sur le sol malien.
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Le but du sujet est d’une importance capitale, car l’histoire du Mali est en jeu. C’est le fruit d’un travail aussi sensible qu’il le pourrait. La succession de l’échec de plusieurs accords, lors des régimes précédents attirent le doute sur la crédibilité l’accord signé, sous le régime d’IBK. Mais si tous les séparatistes respectent ses engagements, la signature de l’accord aura une suite favorable.
Tu as raison,j’encourage et invite les autres leaders d’opinion à sensibiliser et surtout dans le cadre exclusif de la paix et de la réconciliation. Lors de cette rencontre plusieurs proposition ont été rédiger et cela pour la mise en œuvre de l’accord puisse accélérer.
Je trouve salutaire que ce genre de rencontre ait lieu. Il faut d’avantage sensibiliser la population et ces genre de rencontre sont d’un grand atout pour la sensibilisation de la population et des acteurs signataires de l’accord de paix et de réconciliation issu du processus d’Alger.
La vengeance ne mène qu’à destruction massif et générale de notre Nation. La paix reste la seule issue de sortie. Les victimes seront plus ou moins dédommager. La paix n’a pas de prix, la paix au Mali est désormais plus qu’un rêve mais une réalité possible pour La nation malienne. Si seulement si les acteurs signataire se respectaient mutuellement.
Le retour de la paix dans le nord Mali est certes difficile, mais possible. Tout le peuple malien doit se mobiliser derrière nos leaders, IBK et son gouvernement sont engagés, déterminés pour la lutte du retour et le maintien de la paix et la réconciliation dans le nord Mali. La crise du nord Mali est une crise qui date depuis la veuille de l’indépendance. C’est normal que les maliens doutes de cet accord, car la crise a connu des confusions et beaucoup d’atrocités qui continue jusqu’à présent. Mais IBK et son gouvernement œuvrent pour une paix possible et durable. Les maliens doivent accorder la confiance totale à nos leaders.
La crise du nord Mali est une crise qui date depuis la veuille de l’indépendance. C’est normal que les maliens doutes de cet accord, car la crise a connu des confusions et beaucoup d’atrocités. Mais IBK et son gouvernement œuvrent pour une paix possible et durable. Les maliens doivent accorder la confiance totale à nos leaders.
La paix sur le papier n’est pas forcement la paix sur le terrain. Certes, IBK et son gouvernement sont conscients de cela, mais l’accord la mise en application rencontre des difficultés ardentes mais pas insurmontables. Les différents acteurs doivent se faire confiance. La mise en œuvre de l’accord nécessite le concours de tous les acteurs signataires.
Plusieurs rencontres, plusieurs discutions et afin le gouvernement malien a trouvé un terrain d’entente avec les autres acteurs signataires. L’accord de paix doit être pris au sérieux, c’est-à-dire que chacun doit maintenant œuvré pour la paix et la réconciliation.
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