Le ministre de la Refondation de l’Etat en charge des Institutions, Ibrahim Ikassa Maïga a animé le lundi 16 janvier 2023, au sein de son département une conférence de presse afin de dresser le bilan des activités de la première édition de la ‘Journée nationale de la souveraineté retrouvée instituée par les hautes autorités du Mali en date du 14 janvier de l’an.
Instituée par décret lors du Conseil des ministres du 06 janvier 2023, la date du 14 janvier est retenue comme la « Journée nationale de la souveraineté retrouvée » en souvenir de la grande mobilisation du peuple le 14 janvier 2022 contre les sanctions de la CEDEAO contre le Mali.
La présente conférence de clôture visait pour le ministre Maïga de faire le bilan des activités de cette première édition et d’émettre les perspectives de la prochaine commémoration.
Plantant le décor, le ministre en charge du portefeuille de la refondation dira : « La Journée nationale de la Souveraineté retrouvée est célébrée le 14 janvier de chaque année, en souvenir de la grande mobilisation patriotique du Peuple malien, le vendredi 14 janvier 2022, pour défendre la Patrie et dénoncer les sanctions illégales, illégitimes et inhumaines de la CEDEAO (Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest) et de l’UEMOA (Union économique et monétaire ouest-africaine). Et de poursuivre par donner le sens du contenu de cette célébration. « La Journée nationale de la Souveraineté retrouvée a vocation à prôner et à célébrer le drapeau national ainsi que les valeurs liées notamment à la sauvegarde et à la défense de la souveraineté, à la résistance et au sursaut national. », a-t-il déclaré.
La première édition, a donc été marquée par diverses activités sur l’ensemble du territoire et dans la diaspora. Il s’agit notamment des sessions de montée des couleurs nationales, avec chant de l’hymne national , des leçons modèles sur les « notions de Patrie, de patriotisme, de souveraineté et de refondation « dispensées dans les universités et les écoles de Bamako et dans les régions.
Soulignant que tout le gouvernement a pris part à cette célébration, le ministre de la refondation, a rappelé les activités de Premier ministre à Ségou, celles du ministre d’Etat à Bougouni, la visite de la ministre des Transports et des Infrastructures à Mopti, des activités toutes tenues en marge de la célébration de la journée de la souveraineté retrouvée, à ses dires. Et de conclure que la journée du 14 janvier s’est bien passée sur l’ensemble du territoire national sans aucun incident. Et c’est pour les raisons sécuritaires que les autorités ont privilégié ces approches en lieu et place aux rassemblements aux dires du ministre Maïga. Qui, d’ailleurs invite le peuple malien à soutenir le processus de refondation engagé par la Transition pour le Mali Kura.
Khadydiatou SANOGO/maliweb.net
Et quelle est la difference entre cette journée du 14 janvier et le 22 septembre ?
Est ce que c’est le 22 septembre qui est un mensonge ou le 14 janvier ?
Et le ministre des institutions dans un regime issu de coup d’Etat a-t-il une quelconque légitimité ?
Qu’est qu’un coup d’Etat si ce n’est le reniement et le piétinement de la constitution ?
Comment un simple soldat inconnu se retrouve au sommet de l’Etat si la constitution était respectée ?
Monsieur Ikassa peut-il nous donner un éclaircissement sur la légitimité de ce gouvernement issu d’un coup d’Etat ?
PORC PEDOJUIF HERVE MARITON SUCE ARNAUD BELTRAME QI ENCULE CAIZERGUES AU 36 KEY.
Des assoiffés de pouvoir cherchent les moyens de pérenniser leurs présences au sommet de l’État.
DANS LEUR ESPRIT,IL NE S’AGIT PAS D’UNE TRANSITION,MAIS D’UN POUVOIR AYANT LA LÉGITIMITÉ POPULAIRE,D’ABORD DE LA MOBILISATION POPULAIRE ENTAMÉE CONTRE IBK À PARTIR DU 5 JUIN 2020,ENSUITE DE LA CONFIRMATION LE 14 JANVIER 2022.
Conscients qu’ils sont très minoritaires dans les urnes,ils s’accrochent aux MOUVEMENTS DE RUE.
Il n’y a pas si longtemps CHOGUEL MAIGA pressait BA DAW à respecter la durée de la transition.
Devenu chef de gouvernement,il ne la respecte pas.
La CEDEAO sanctionne,on fait manipuler la population favorisant une mobilisation populaire inédite.
C’EST LE GOUVERNEMENT QUI ORGANISE LA MARCHE AVEC LES MOYENS DE L’ÉTAT.
Il est dit aux maliens très jaloux de leur souveraineté que la France manipule la CEDEAO.
Tout esprit raisonné sait que c’est une contre-vérité.
L’honneur du malien est bâti sur le respect de la parole donnée!!!
SA DIGNITÉ EST BAFOUÉE,SI ELLE N’EST PAS RESPECTÉE.
Tout le Mali a entendu ASSIMI GOITA,CHOGUEL MAIGA et ses ministres dire publiquement que la durée de la transition fixée en étroite collaboration avec la CEDEAO sera respectée.
Pendant qu’ils rassuraient la communauté internationale,des démarches sont menées pour organiser les assises nationales dans le seul but de proroger la durée de la transition.
On a là,au nom du peuple Malien,de la duplicité.
L’image du Mali est erronée!!!
C’est le discrédit qu’on apporte à l’Etat du Mali.
Ça s’est reflété sur le marché financier.
ON NE PEUT PAS FAIRE CONFIANCE À UN ÉTAT QUI NE RESPECTE PAS SA PAROLE.
Pis!on fête même la date d’anniversaire de la sanction de la CEDEAO confirmant l’irresponsabilité des tenants du pouvoir aux yeux du monde.
Il y a là le germe de l’affaissement de l’Etat du Mali comme constaté pendant la dictature militaire.
TOUT LE TRAVAIL CONSACRÉ À REDONNER À L’ÉTAT DU MALI SA CRÉDIBILITÉ PENDANT LE PREMIER QUINQUENNAT D’ALPHA OUMAR KONARE PERMETTANT À SES SUCCESSEURS D’AVOIR DE L’ARGENT FACILEMENT POUR FINANCER LES DÉFICITS BUDGÉTAIRES EST ANÉANTI.
Des irresponsables semblables aux officiers subalternes du 19 novembre 1968 sont au sommet de l’État du Mali.
On facilite la tâche aux séparatistes qui en profitent raisonnablement.
On fête le discrédit de l’Etat au grand bonheur des séparatistes qui vont être soutenus par la communauté internationale face à des irresponsables au sommet de l’État du Mali.
C’est justement ce discrédit de l’Etat du Mali incapable de payer ses fonctionnaires,pendant les années 1980,humilié par le Burkina fasso obligeant le dictateur à sanctionner sévèrement le pauvre GÉNÉRAL BOUKARI SANGARE,chef d’Etat major des armées,du fait que les soldats Burkinabé ont tiré les chars laissés sur place pour faute d’entretien permettant à SANKARA de les placer à l’aéroport du Burkina comme butins de guerre,qui a donné une image désastreuse de l’Etat du Mali empêchant tout investissement contrairement à ce qui a été constaté pendant l’ère démocratique.
Cette image désastreuse est incarnée par ASSIMI GOITA et CHOGUEL MAIGA.
La SOUVERAINETÉ RETROUVÉE est en réalité L’HUMILIATION RETROUVÉE des années de la dictature militaire.
Cette humiliation n’est pas constatée par les tenants du pouvoir occupés à sauvegarder le pouvoir qui est leurs seules préoccupations.
Tant que l’ennemi,c’est à dire les démocrates,est empêché de revenir au pouvoir,le Mali est sauvé selon la compréhension des assoiffés de pouvoir.
La JOURNÉE DE LA SOUVERAINETÉ RETROUVÉE est un moyen de manipulation du peuple pour barrer la route aux ennemis.
C’est peine perdue car la réalité refait surface rapidement.
Il s’agit de cette corruption des tenants du pouvoir qui justifie leurs envies pressantes de confisquer le pouvoir.
Ils vont être chassés par le peuple.
C’est une question de temps.
Kakobeke, kakobeke Mali ban na djon gna ma!Kakobeke, kakobeke Maliba ban na djon gna ma!
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