| En présence du Directeur Général de l’Agence de l’Environnement et du Développement Durable (AEDD), Mamadou Gakou, le Ministre de l’Environnement et de l’Assainissement, David Sagara, a procédé le 11 octobre 2012 à la récompense des lauréats du Concours sur les bonnes pratiques du développement durable, à la Maison de la presse du Mali.
Ce concours qui a enregistré la participation de 13 œuvres de différentes Associations, a été initié par l’AEDD dans l’optique de la 13ème édition de la Quinzaine de l’environnement. Selon ses organisateurs, ce Concours des Bonnes Pratiques QSE/DD a pour vocation de valoriser les Bonnes Pratiques des Entreprises et Etablissements Auvergnats portants sur les thèmes de la Qualité, la Sécurité des biens et/ou des personnes, l’Environnement, le Développement Durable ou les Ressources Humaines, qui soient originales et astucieuses, reproductibles et transposables, appliquées et pérennes, mesurables et efficaces. |
De ce fait, il permet donc de découvrir de nouveaux outils d’amélioration ; d’identifier et mettre en avant les meilleures pratiques en Développement Durable, Qualité, Sécurité ou Environnement mises en place dans les entreprises et organismes auvergnats ; d’offrir aux participants l’opportunité de faire connaître leurs bonnes pratiques à l’occasion de journées d’échanges et de permettre à chacun de s’améliorer
A noter qu’outre les attestations qui ont été attribuées à tous les participants à cet exercice, trois prix ont été décernés. Le premier prix est revenu au four semi-bio de la société Equation Nord-Sud pour un montant de 500 000 F Cfa. Le second prix d’une valeur 300.000 FCfa a été enlevé par l’Association Projets Solidaires ont été deuxièmes avec 300 000 Francs CFA. Et enfin, le troisième prix de 200.000 FCfa a été remporté par la Protection des chimpanzés du Baoulé du projet PACINDHA.
En somme, la fête a été belle, très belle d’ailleurs. D’où la satisfaction du Ministre David Sagara qui n’a pas manqué, dans son discours, de féliciter les lauréats et d’inviter toutes les Maliennes et tous les Maliens à suivre leur exemple.
Ce, avant de conclure : «Le développement durable n’est pas une notion intellectuelle abstraite. Pour nous, elle devient l’exigence de notre génération en ce qui concerne notre capacité à vivre, rationnellement et durablement, des ressources naturelles et environnementales de notre pays en tenant compte des besoins des générations futures. Concrètement, cela se traduit par un changement de comportement dans plusieurs domaines dont l’énergie».
Basile ESSO
