Les journées de la concertation nationale sur la transition au Mali ont débuté ce jeudi 10 septembre à Bamako. Le chef de la junte, le colonel Assimi Goïta, a présidé à la cérémonie d’ouverture de la rencontre qui va durer trois jours et qui regroupe environ 500 personnes. Après la distribution des documents pour fixer le cap des travaux, les discussions ont commencé. Cinq sous-groupes ont été formés, les débats sont animés.
Petits soucis d’organisation au début avant que le chef de la junte le colonel Assimi Goïta ne fasse son entrée dans la salle pour la cérémonie d’ouverture. Un très court discours d’environ cinq minutes.
Les travaux commencent après son départ. Un projet de feuille de route de la transition est rendu public, cinq sous-groupes de travail crées. La parole se libère. Un ressortissant de Gao prend le micro : « Nous voulons rien que la sécurité », martèle-t-il. Dans la salle, un tonnerre d’applaudissements.
Le président de séance rappelle les uns et les autres au calme. Les débats sont aussi passionnés sur les réformes institutionnelles et politiques. Sur la bonne gouvernance également et l’organisation des futures élections.
Ils ont sacrifié notre système éducatif. Je pense que cette question de statut particulier ou statut autonome sera débattue au CICB. Il faut supprimer tous les statuts autres que le statut général de la fonction publique. Nous sommes tous des fonctionaires de l’état, nous emargeons tous sur le budget national, nous avons étudié les mêmes écoles. En conclusion, nous sommes de la même mère et du même père c’est-à-dire la même partie le MALI. Donc pas de statut autre que celui de la fonction publique STATUT GENERAL
Pendant que tous ces militaires bien sapés sont assis dans le confort des fauteuils du CICB, qui defend le Mali au front ?
Comment faire jouer le rôle d’un militaire avec ces gens préoccupés en premier par le partage du pouvoir ?
Ils paradent en tenue militaire à Bamako pendant que notre pays est ménacé.
Heureusement que les militaires français acceptent de rester au front et font le travail pour lequel ils ont été recrutés, formés et payés.
On attend le 22 septembre pour voir encore ces militaires de salon parader sans gène.
LES MILITAIRES A LA TETE DE LA TRANSITION POUR METTRE DE L`ORDREEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEE
OU ALORS NOUS SORTONS DANS LES RUES……………………………………………..
NOUS EN AVONS MARE MARE MARE MARE…………………..DE LA GABEGIE /DU CLIENTELISME /DE LA CLANITE FAMILIALE DES CIVILS
LA petite cedeao S`ECLATERA CETTE FOIS CI ……………………………..
LES MILITAIRES A LA TETE DE LA TRANSITION POUR METTRE DE L`ORDREEEEEEEEEEEEEEEEE DANS LE PAYS…………..
C’est dommage très cher Serge DANIEL où sont les cinq sous-groupes? A notre connaissance quand on annonce qu’il y a cinq sous-groupes, il fallait automatiquement les citer, nous sommes restés sur notre faim très cher grand journaliste. Il faut que cette concertation mette l’accent sur la nécessité de lancer les audits des programmes de tous les secteurs de développement du pays en fixant toutes les responsabilités et sans oublier de sanctionner si possible afin de permettre de punir à juste titre les fautifs pour dissuader de futurs parce que le malien d’aujourd’hui est sans vergogne, incapable de travailler sans voler et sans détourner, cela est dû aux multiples impunités qui existent actuellement et c’est dommage, comment bâtir une telle nation dans le mensonge, le vol, la tricherie, le népotisme, le favoritisme et la destruction de plus capables au profit des plus médiocres? Sans comportement rigide de la part des nouveaux dirigeants de ce pays, rien ira demain et nous serons dans un éternel recommencement, ainsi un sixième coup d’état pourrait être envisageable après l’échec de cette nouvelle transition. La chaine des coup d’état maliens ne serait brisée qu’après une bonne transition avec des hommes et femmes capables de donner des exemples de sincérités, de justesses au cours de leur gouvernance. L’exemplarité est une nécessité pour réussir la bonne gouvernance.
Punaise de vieux charognards sont sortis de leur trou. Je revois des têtes de politiciens que j’avais oubliées ou pensais être à la retraite. Mais ces vieux n’ont ils pas de dignité? Chacun veut maintenant déchirer à nouveau le Mali.
La chaise musicale. On ne veut plus de politiciens qui ont plus de 15 ans d’existence. Qu’ils se tournent vers leurs professions de base et laissent le Mali aux jeunes. L’état actuel du pays est à mettre à leur compte. C’est la vieille école, ils ont été formés pour détruire leur pays. Ils ont tout détruit, même l’éducation où le Mali est dernier. D’ailleurs, les universités européennes rejettent des étudiants issus des universités maliennes. Quelle honte!
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