La Commission dialogue et réconciliation installée par le président de la République par intérim suscite des débats au sein de la communauté noire kel tamasheqs ou Bellah. Ils l’ont fait savoir à travers une conférence de presse tenue le lundi 15 avril 2013, dans les locaux de la Maison de la Presse.
Selon lui, en agissant ainsi, «une fois de plus, les autorités maliennes s’obstinent dans leur mépris des kel tamasheqs noirs ou bellahs et dans la négation de la réalité de l’esclavage par ascendance et discriminations associées chaque fois qu’il s’agit de solliciter la participation des citoyens aux prises des décisions».
Selon lui, cette communauté regorge de toutes les compétences nécessaires allant du professeur, aux cadres, religieux en passant par l’agent d’exécution et pour autant, sa communauté a été une fois de plus royalement ignorée. «Et, cette situation n’a que trop duré», a-t-il déclaré. Avant de prendre à témoin l’opinion nationale et internationale, de cette injustice flagrante. Qu’à cela ne tienne, le Président de Temedt, a estimé que si les critères de nomination des membres de la Commission dialogue et réconciliation sont ceux relatifs à la représentativité communautaire, à l’intégrité morale, à la loyauté envers la République, à la compétence, à l’expertise, à l’attachement aux idéaux de non violence, les leaders de leur communauté sont bien placés pour figurer parmi les 33 membres de la Commission.
Il a profité de l’occasion pour souligner que c’est le lieu de souligner que les premières lapidations, les premières amputations et le plus grand nombre d’amputés, le plus grand nombre de viols, les tueries, les enlèvements d’enfants et leur réduction en esclaves, ont visé principalement la communauté Bellah. Pour tout cela, Temedt a fait observer qu’on ne peut pas construire la paix, la cohésion sociale par l’exclusion du débat des couches de la société les plus affectées par la crise. Et d’affirmer que dans tous les cas, le président par intérim a du pain sur la planche.
Destin GNIMADI
Je salue beaucoup les Bellah moi j’ai le nord je connais bien les Bellah,ils ne sont violents ni agressifs,vous avez parfaitement raison vous devrez être la commission de s réconciliation car vous avez veau trop dans la torture des tamasheqs de l’esclavage,vous êtes des maliens.
ce choquant bellah synonyme d’esclave je suis tamasheque noir mais le terme bellah me choque car je me sens malien avant tout si on traite les tamsheq noir d’esclave ca veut dire que tous les noirs sont esclaves et ce ca que le mnla croit
attent il ne faut pas tomber dans un trous
bofffffffff! ça doit pas te choquer hein! acceptes toi comme dieu le veut , un bellah est pur esclave des keltamsheq , c’est un fait congénital et vous coe les bamabaras , senoufo , doogon vous êtes tous des gens de cast cet à dire des nègres et nous nous sommes de l’azawad
Vous allez voir quand les soldats noirs vont prendre en charge la région : la prochaine génération de touaregs sera que des métis de noirs car comme il n’y a pas de divertissement dans le sable là-haut, ils se divertiront avec vos filles et femmes pour tuer l’ennui ! Cafard ou rat du désert ou, fennec, vas !
Moi je suis noir et je suis fier de mon teint, je suis opposé a tous les brimades que les bellahs ont subi de leurs maitres les tamacheks blancs mais ce que le commun des maliens doit savoir, ce que les bellahs dans leur majorité pas tous je le precise sont capables de toutes les bassesses ceux qui ont sejourné au nord en savent quelque chose.
Je suis d’accord avec les bellah ils méritent ça ils ont été trop laissé pour compte.
Je suis d’accord avec les Bellah. Le dialogue doit être inclusive. Nous devons mettre fin à l’esclavage dans notre pays.
djoncounda se croit dejas comme un president elu par les maliens il oublit qu,il n,est qu,un minable interim…….comme avait dit l,autre on nome les bouraux pour faire le proces des victimes…..pauvre minable djonkis tu ne connais ren sur le nord…..
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