Commémoration de la disparition du président ATT : Les activités programmées

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Dans le cadre de la commémoration de la disparition du Président Amadou Toumani Touré, la Fondation pour l’Enfance et la famille Touré procéderont à une remise de dons à des écoles et à deux associations. Une cérémonie sera organisée à cet effet au groupe scolaire de Sébénicoro comprenant les écoles À, B et C. A cette occasion, plus de 1500 kits scolaires seront remis aux enfants de ces établissements dont beaucoup sont issus de milieux défavorisés. Ce kit comprend en plus du cartable, tous les effets nécessaires au jeune écolier. Les 3 écoles du groupe scolaire ont bénéficié de la rénovation par la Fondation Amadou Toumani Touré pour l’Enfance et certains de ses partenaires de la rénovation de 18 salles de classes qui ont retrouvé une seconde jeunesse pour offrir un cadre d’études décentes aux élèves. La Fondation à fait également confectionner 150 tables bancs par la Maison des artisans du Mali pour combler le dénuement des écoles où certains enfants étudiaient à même le sol, l’ardoise sur les genoux.

Cette action sera prolongée par deux associations qui ont bénéficié de l’appui de la Fondation Amadou Toumani Touré pour l’Enfance pour appuyer des écoles partenaires à elles, dont une qui accueille des enfants trisomiques. Ces derniers en plus des kits scolaires bénéficient de kits alimentaires.

La commémoration en 2021 avait été marquée par le lancement du Recueil des Discours et Interventions du président ATT, le baptême de la Fondation en son nom, la remise de forage aux populations de Mountougoula, une exposition photos à la Pyramide du Souvenir et un récital de Poèmes, de témoignages sur l’homme.

Le public bénéficiaire des activités de cette année sont les enfants, les fidèles amis du président ATT pour perpétuer le pacte symbolique.

Le jeudi 10 novembre, la famille, les amis, compagnons… du Président Amadou Toumani Touré pour la lecture du Saint Coran pour le repos de l’âme d’un grand homme qui ne s’est pas ménagé au service du Mali.

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1 commentaire

  1. Menaces verbales des propagandistes de la transition militaire sur un journaliste dans l’exercice de sa fonction, où sont les procureurs?

    La chaîne de télévision française BFM TV a fait un reportage dont à la fin elle mentionne le nom de Malick Konaté comme journaliste, pour sa participation au reportage diffusé.

    Le journaliste malien Malick Konaté a précisé qu’il a participé dans ce reportage en fournissant une interview réalisé avec le mouvement “yerewolo debout sur les remparts”

    Adama Diarra dit Ben le Cerveau, membre du CNT et membre très actif du mouvement yerewolo debout a confirmé les propos de Malick Konaté pour ses travaux de journalisme dans la couverture de plusieurs événements du mouvement yerewolo debout sur les remparts au Mali.

    Le journalisme est une profession légale au Mali avec un droit constitutionnel reconnu quatrième pouvoir au Mali et une déontologie de la profession dont l’activité est contrôlée par la HAC, Haute autorité de la communication au Mali sous l’égide de loi malienne.

    Collaborer avec les médias français non interdits de diffusion au Mali comme BFM TV n’est pas contraire à la loi malienne.

    Malick konaté a exercé sa profession dans le cadre de la loi malienne et avec la déontologie du métier de journaliste.

    La HAC qui incrimine les manquements au métier de journaliste au Mali, n’a pas révélé un manquement à la loi dans le travail de Malick konaté.

    Alors pourquoi Sekou Tounkara, taximan malien à New York autoproclamé “ politologue”; Boubou Mabel Diawara, videoman se réclamant de la transition militaire; Tahirou Bah, également videoman se réclamant de la transition militaire, profèrent depuis quelques jours des menaces à l’encontre du journaliste Malick Konaté dans l’exercice légale de sa fonction de journaliste?

    Pire, Tahirou Bah, invoque le nom d’un certain Oumar Bah à Moura dans la région de Mopti et prétend que ce dernier a reçu l’argent de Malick konaté pour diffamer sur les soldats maliens et sans aucune preuve de ce qu’il avance.

    Tahirou Bah profère des menaces de mort au nommé Oumar Bah et toute sa famille s’il ne vient pas témoigner les propos diffamatoires que lui Tahirou Bah diffuse sur les réseaux sociaux.

    La dérive criminelle des réseaux sociaux est en marche sous la bannière de soutien à la transition militaire au Mali.

    Où sont les procureurs de la justice malienne pour s’auto saisir du comportement délictueux voire criminel de ces individus qui prennent les réseaux sociaux comme un terrain d’affrontement et de diffamation sans aucune preuve et en incitant à la haine et la violence verbale et physique en république du Mali?

    Si la justice ne fait pas son travail correctement qui serait responsable des conséquences de ces dérives verbales sur les réseaux sociaux?

    Wa Salam

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