Circulation de Bamako : Des goudrons engloutis par le sable ou troués

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On se lasserait de remercier l’inventeur des routes goudronnées puisque permettant de relier la plupart de nos villes, campagnes, villages, sous-régions voir continent. Les routes goudronnées facilitent non seulement la circulation des engins à deux roues mais embellissent aussi le paysage. Leur durée de vie dépend en principe de l’entretien qu’on en fait.

 
Cet entretien émane de la volonté des usagers, de nos autorités communales de par les services de nettoyage des routes.
Ces derniers temps, on constate que la plupart de nos goudrons sont comme enterrés sous le sable, faute des agents de nettoyage. Car dès qu’on apercevait un panneau les signalant, on se pressait de ralentir, conscient du service rendu à la nation et du danger qu’ils en encourent au milieu des véhicules, n’ayant qu’un seul support le balaye. Cela n’est plus d’actualité.

 
Nos autorités communales semblent se passer d’eux au point que même si votre sacrifice leur est destiné, vous y risquez de rester avec. Il faut dire que certaines voies bitumées, surtout celle allant de Magnambougou projet au « Pineba » à la station d’essence de Faso-Kanu, on se demande à certains endroits s’il y avait un goudron à cause du sable.

 
Que dire aussi de l’état des goudrons troués à perte de vue, tel est le cas de la voie qui relie le carrefour  de Sogoniko passant  par l’auto-gare jusqu’à la tour de l’Afrique. Aussi  les accotements aller et retour servant de route pour les motocyclistes de l’Avenue de l’OUA ? Sur ces routes, on y dance sans se retenir à force d’éviter des trous.

 
Cette situation n’est-elle pas source de nombreux accidents de la circulation routière ?
A ce niveau, rappelons aux usagers qu’aucune chose ne peut éternellement durer ». A eux de faire attention aux routes. C’est à dire en conduisant prudemment surtout ceux portant des poids lourds.

 
Le sable aussi bien que des trous sont des ennemis de nos goudrons, de ces usagers. Tantôt, tel accident est dû au fait que certains voulaient éviter un ou deux trous, tantôt quelqu’un freine, mais avec le sable difficile de s’arrêter. Si chacun jouait pleinement son rôle, moins de danger en résulteront.

 
                                                                                  Djénépo Alimatou

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3 COMMENTAIRES

  1. Mauvaises routes mauvais travail. sur les goudrons stagnent l’eau de pluie.et pourtant on accuse à la télé les gros porteurs. est-ce les gros porteurs font stagnés l’eau sur le goudrons. le mali à encore beaucoup à faire

  2. Mauvaises routes mauvais travail. sur les goudrons stagnent l’eau de pluie.et pourtant on accuse à la télé les gros porteurs. est-ce les gros porteurs font stagnés l’eau sur le goudrons. le mali à encore beaucoup à ire

  3. “Des routes bitumées qui relient 2 continents” c’est du jamais vu encore car un continent est par définition délimité par l’eau de mer..Ceci étant dit,certaines de nos routes au Mali sont mal faites à cause de la corruption puisque les controleurs payés par le gouvernement et qui sont chargés de faire respecter les normes techniques prescrites dans le cahier de charge, ces agents de l’état sont souvent corrompus par le maitre d’oeuvre chargé d’exécuter les travaux.Ils ferment alors les yeux sur les manquements constatés sur l’ouvrage!Ainsi de sources sûres, le technicien qui devrait controler la 2ieme voie d’accès à l’aéroport de Sénou via le pont Fahd aurait bénéficié d’une villa entière, offerte par l’entreprise chinoise COVEC en son temps contre son silence sur la petite epaisseur de bitume déposée sur ce tronçon.Le problème majeur du Mali sur ce pint reste la CORRUPTION. 😉

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