Le Centre d’études et de renforcement des capacités d’analyse et de plaidoyer (Cercap) a tenu sa deuxième réunion ordinaire le mardi dernier à l’hôtel Massaley. Etait, à l’ordre du jour, l’examen de deux documents pour la mise en œuvre de la deuxième phase du Cercap. Il s’agit du rapport d’activités de l’année 2011 et du manuel de procédures administratives, financières, comptables et techniques du centre. Une cérémonie présidée par le secrétaire général du ministère de l’Economie des Finances et du Budget, Abdoulaye Touré en présence du directeur du Cercap, Boubacar Macalou.
La rencontre du Centre d’études et de renforcement des capacités d’analyse et de plaidoyer (Cercap) qui s’est tenue, hier, mardi à l’hôtel Massaley a regroupé plusieurs services centraux de l’Etat et du secteur privé. Elle rentre dans le cadre de sa deuxième réunion ordinaire de son comité d’orientation qui va examiner deux documents : le rapport d’activités de l’année 2011 et le manuel de procédures administratives, financières, comptables et techniques dudit centre.
Dans son allocution le représentant du ministre, Abdoulaye Touré a fait savoir que le premier document, traite le point de l’exécution des activités approuvées à l’occasion de leur réunion du 28 avril 2011 ainsi que les enseignements à retenir pour améliorer les performances et l’efficacité du centre pour les exercices à venir. Il a fait état du point d’exécution de plusieurs activités réalisées par le Cercap, jugées satisfaites.
S’agissant du rapport financier, il a dévoilé le coût de réalisations des activités au titre de l’exercice 2010-2011 qui s’élève à environ 350 millions de F CFA contre un budget prévisionnel de 563 millions de F CFA.
Le secrétaire général n’a pas manqué de saluer les efforts de l’Etat qui ont porté sur la mise à la disposition d’une contrepartie du financement qui s’est élevé à 96 millions de nos francs, soit un taux de mobilisation de 100 %.
En somme, M. Touré a au nom du ministre de l’Economie des Finances et du Budget salué le taux d’exécution des activités écoulées, soit un taux d’exécution budgétaire de 62 %. Et, il n’a pas non plus manqué de féliciter le Cercap et ses partenaires avant de les inviter à davantage d’efforts, puisque pour lui les ententes sont nombreuses et les besoins sont aussi importants dans tous les secteurs d’activités du centre.
Il faut savoir que le but du Cercap, c’est de renforcer les capacités de l’administration publique, du secteur privé et des organisations faîtières de la société civile en vue de la mise en œuvre efficace de la Stratégie de croissance accélérée (SCA), de la Stratégie de réduction de la pauvreté et des autres efforts de développement du pays.
Ousmane Daou