Centre du Mali : Plus de 60 morts dans des affrontements entre Peulhs et Donzos à Sia

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Alors que le Nord et le Centre font face à des attaques terroristes les conflits intercommunautaires se multiplient.

Des affrontements entre Peulhs et Donzos à Sia, dans le cercle de Macina ont débuté la semaine dernière et auraient fait une soixantaine de morts et des blessés dans les deux camps. Mais les sources officielles ne confirment pas ce bilan. Le conflit inter-communautaire aura occasionné des dizaines de déplacés. Ces affrontements interviennent après ceux de Koro qui ont fait plusieurs morts et des blessés. A Ké-Macina les habitants interpellent les autorités maliennes à «trouver une solution rapide» à ce conflit fraternel.

Avec Studio

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19 COMMENTAIRES

  1. QUI ont attaquaient les postes des FAMAS ? qui ont brûlaient le campement des pêcheurs ? qui ont détruisaient le barrage de MACLNA ? tant que les terroristes ne cessez pas nous continuerons chasser eux jusqu’au dernier terroriste .

  2. 😀JE SUIS PEULH MAIS A RECONNAITRE, NOUS SOMMERS BELIQUEUX, BON VRAIMENT C EST PRINCIPALEMENT GRACE A L ISLAM😀
    😎QUE FAIRE? NOS TROUPEAUX DOIVENT MANGER NON? EUX AUTRES EMPECHENT😎

    • L’Islam ORIGINAL n’est pas belliqueux, mais les commentateurs y ont introduit une interpretation tendatieuse visant à proteger l’immaterialité de Dieu telle que revelée au Mont Sinai aux Hebreux par les Dix Commandements, alors qu’ils avaient le choix de construire des institutions sur la Loi qui leur avait été laissée pour le progrès pour tous. La presente Tradition SUNNITE ne profite qu’à la Kaabah, c’est pourquoi les Africains devraient s’en separer. Ce n’est pas à nous de proteger l’immaterialité de Dieu si on admet avec le Qur’an que JESUS ETAIT le Messie, l’Envoyé de Dieu à l’humanité, mais malheureusement rejeté par Israel…..

      LHomme Faust
      Boston, MA. USA

  3. Quelqu’un l’a dit, il s’agit d’un génocide d’état comme l’attestent :
    – la réception à Koulouba des donsos qui sont actuellement entrain de tirer sur les peuls avec des armes de guerre au lieu de fusil de chasse;
    – le comportement partial du 1er ministre Soumeylou Boubeye Maïga qui s’est mis dans un accoutrement vestimentaire dogon pendant sa visite réunissant responsables peuls et responsables dogons
    – le plan stratégique de l’armée malienne tel qu’expliqué par le général Sidi Touré, dans un article de Chahana Takyou, Sidi avait clairement mentionné l’extermination des peuls qu’il a traités de jihadistes et sans réserve;
    – les enlèvements et assassinats de peuls par l’armée qui les enterre dans des fosses communes.

    Il faut que les démocrates sincères ouvrent les yeux parce que ce qui se passe se passe de tout commentaire.
    IBK et son gouvernement doivent répondre de ces crimes perpétrés contre l’ethnie peule dans le cadre d’un plan génocidaire conçu et mis en oeuvre par les plus hautes autorités du Mali et ce qui passe pour l’armée malienne.

    • ☺LE PEULH C EST TOUT LE MALI, LES CRIMINELS N APPARTIENNENT A AUCUNE SOCIÉTÉ! CESSEZ CETTE GUERRE PSYCHIQUE AU MALI PAR LA FRANCE☺

    • Monsieur, je n’arrive pas à vous comprendre. Vous réagissez comme tous ces présumés djihadistes qui tuent ne sont pas terroristes malgré leur crime. Et vous les qualifiez de simple peul malgré les crimes. Je m’en doute si réellement vous êtes un peul ni non, vous allez faire la part des choses. Pour nous tout est claire. Il n’ y a pas d’amalgame : tous les peuls ne sont pas des terroristes, mais tous les peuls qui tuent sont des terroristes à combattre.

  4. Les donsos et alliés dogons sont armés par l'armée malienne pour exterminer les peuls, c'est ça la vérité

    Il faut dire la vérité.
    On assiste à un véritable génocide d’état contre les peuls.
    Les donsos et leurs alliés dogons sont armés par les FAMas et ils avaient été reçus à Koulouba par le président avant de commencer les massacres.
    La responsabilité de l’armée malienne est indéniable car les armes utilisées pour massacrer les bergers peuls sont des armes militaires, des armes de guerre sans compter les enlèvements arbitraires, les assassinats et les brigandages de l’armée malienne, elle-même qui agit aux côté des dogons et donsos bambaras.
    Il y a combien de donsos et combien de dogons pour exterminer les peuls dans la région ?
    Tous les dogons du Mali réunis ne peuvent pas exterminer des centaines de peuls sans défense comme ils sont entrain de le faire.

    Aux complices qui sont entrain d’applaudir ce génocide peul et qui ne tarissent pas en amalgames, je dis une chose: ces crimes ne resteront pas impunis.

    Aux responsables et cadres peuls qui assistent en spectateurs à l’extermination et au génocide de l’état bambara contre les innocents femmes, enfants et vieux bergers peuls, je dis très clairement qu’ils ont trahi leur devoir sans être assurés de pouvoir survivre à leur honneur car leur tour arrivera très certainement.

    Au président génocidaire IBK, donneur d’ordre de la milice génocidaire appelée FAMa, je dis ceci: il n’ira pas au paradis avec ces crimes. Et si sa crise cardiaque devance la justice, sa descendance le paiera.

    Allah bossekè.

    • Monsieur, je n’arrive pas à vous comprendre. Vous réagissez comme tous ces présumés djihadistes qui tuent ne sont pas terroristes malgré leur crime. Et vous les qualifiez de simple peul malgré les crimes. Je m’en doute si réellement vous êtes un peul ni non, vous allez faire la part des choses. Pour nous tout est claire. Il n’ y a pas d’amalgame : tous les peuls ne sont pas des terroristes, mais tous les peuls qui tuent sont des terroristes à combattre.

  5. TANT que certains peuls terroristes ne cessez pas d’attaque contre des FAMA et des civils les donzos continueront à nettoyer de KE-MACINA par bulldozer jusqu’au dernier terroriste, on assez .

  6. Soit l’Etat malien est en faillite ou il est complice de la situation.
    Le centre s’est pratiquement installé dans une guerre civile. Chaque communauté se défend avec les moyens qu’il peut.
    L’Etat n’a pas les moyens de sécuriser. Pire certains représentants de l’Etat sont corrompus et partiaux dans ces conflits entre communautés.
    Une étude depuis les années 80 traitait de la capacité de l’Etat à jouer pleinement son rôle. Sortons le des rayons.
    Salam

  7. Bamaké est ce que toi tu connais qu’est ce qu’un champ et le pouvoir d’achat d’un paysan malien pour réfléchir comme si tu n’as jamais été a l’école car on sait déjà que tu n’as pas avancé dans tes études.

    • C’est vrai, j’ai pas avancé du tout dans mes études. Tu ne crois pas si bien dire, en fait si tu me connaissais, tu devrais plutôt me féliciter pour mes progrès au moins un peu en Français… Mais là, je ne suis pas sûr que mon cas personnel pour les études soit vraiment important…
      Les champs… ? ça me connaît… ! Gamin, aux débuts de l’hivernage je passais mon temps à garder le champs de mon père contre l’intrusion des bêtes domestiques des autres. Et avant les récoltes j’y étais aussi, cette fois pour empêcher les oiseaux granivores et autres animaux sauvages de causer des dégâts dans les champs. Je ne me vante pas, et je suis même fier de l’avoir fait. Comme tu vois, si tu es vraiment de bonne fois, tu admettrais que je sais au moins ce qu’est un champ.
      Je disais dans mon 1er commentaire que faire des clôtures autour des champs, ce serait un travail gigantesque… Et c’est là que j’ai parlé de subvention de l’ETAT à accorder aux paysans qui se trouveraient dans des zones en conflits permanents avec des éleveurs ( suggestion farfelue bien entendue, l’Etat a du mal déjà à payer ses Fonctionnaires … ). Je sais que c’est aberrant. Et le plus aberrant est que pendant des siècles, cultivateurs et éleveurs ont cohabité dans la difficulté, mais ont cohabité quand même. Ces conflits qui se réglaient à l’amiable…, aujourd’hui se transforment en massacres… Cette cohabitation est entrain de devenir à ce point impossible. Parce que le conflit entre cultivateurs et éleveurs est récupéré par des politiciens. C’est devenu un conflit armé aux relents identitaires, ethnocentristes voir xénophobes…

  8. Bonjour chers lecteurs,
    Je crois qu’on fait de l’amalgame. Il n y a jamais eu de problème Donzos et peul. Il y a problème entre les bandits et les donzos gardiens des terroirs.
    Si les peul veulent prendre la responsabilité de ce banditisme cela n’engage qu’eux.
    Que chaque village et les villages par zone n’ont qu’a se mettre en semble pour aider les forces de l’ordre du Mali a sécuriser le Mali.
    Je n’aime pas répondre au gens en général mais grillager les champs au Mali est une aberration. Un seul bâton conduit un troupeau analyse le reste
    Merci

    • Oui, le travail parait tellement gigantesque et couteux que c’est aberrant en effet… Mais cela n’interdit pas d’y penser et de l’évoquer… On aimerait tellement que le sang cesse de couler dans notre pays qu’on se fait des suggestions, même farfelues… ?
      On veut juste la paix dans notre pays…, qu’on puisse se consacrer à son développement socio-économique.
      Est ce que la force brute, elle seule va nous mener à la paix… ? C’est possible, mais ce sera pas pour demain la veille… !

  9. ” … A Ké-Macina les habitants interpellent les autorités maliennes à «trouver une solution rapide» à ce conflit fraternel… ” … /// …
    :
    Je dirais conflit ” fratricide “, plutôt… !

  10. ” … A Ké-Macina les habitants interpellent les autorités maliennes à «trouver une solution rapide» à ce conflit fraternel… ” … /// …
    :
    Quelle que soit la volonté des Autorités d’œuvrer pour la paix… Celle-ci n’est possible que si chacun y met du sien pour parler cru…
    Je pense que les paysans devraient revoir leur mode de protection de leurs champs de culture. A entourer leurs champs avec de grilles métalliques amovibles. On mettrait les clotures dès la périodes des semences jusque après les récoltes. Après les récoltes on enlève les clotures. Si l’ETAT peut octroyer des subventions aux paysans pour leur permettre de s’équiper en clotures, ça leur faciliterait la tache… ? De leur côté les bergers doivent comprendre que personne ne peut accepter que le bétail d’un autre viennent saccager son champ de culture, chose vitale pour tout paysan.

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