Le 8 mars 1857, des couturières de la ville de New York manifestent pour dénoncer les mauvaises conditions de travail. Cette date symbolique a été choisie pour célébrer chaque année la journée internationale de la femme. Plusieurs versions spéculent sur le choix du 8 mars. Ce qui importe, ce que l’humanité reconnaisse enfin le rôle premier de la femme dans l’épanouissement de nos différentes sociétés. Pour le cas spécifique du Mali, elles sont nombreuses ces femmes qui, malgré les préjugés, se décarcassent pour donner le meilleur d’eux-mêmes pour informer le monde en temps réel.
Le journal « Triomphe du Mali » a décidé d’écrire dans ces lignes l’épopée de certaines femmes de medias qui sont devenues de véritables patrons de presse.
Madame Traore Dado Camara : cette dame a eu le courage de fonder son journal dénommé « l’Annonceur ». La création de cet organe qui regroupe uniquement des femmes remonte au 7 mars 2009, un jour avant le 8 mars. Le journal a soufflé ses 11 bougies. Le début n’a pas été facile pour cette amazone, elle a bataillé ferme en fermant les yeux et en bouchant les oreilles. Grâce à son courage, le canard s’est éloigné du berceau pour devenir un des meilleurs journaux de l’espace médiatique. Le journal n’échappe pas du tout aux lecteurs qui y trouvent des informations pertinentes. La directrice de publication du journal « l’Annonceur », Madame Traore Dado Camara est une femme de caractère, elle a l’amour du travail bien fait, la bonne dame à horreur du chantage, ses analyses sont toujours pertinentes.
Maimouna Diallo : est une brave dame, après un passage au journal le Pouce, elle a pris son courage à deux mains en décidant d’enrichir l’espace médiatique. Elle a d’abord fondé un journal en ligne Mali Flash qui a attiré l’attention des grands lecteurs de la toile. Ensuite, elle a décidé de créer la version papier de Mali Flash. On peut dire sans risque de se tromper que le journal en ligne et le journal papier de Mali Flash font la fierté de la grande presse malienne.
Mariam Seba Samake : elle est la directrice du journal « Triomphe du Mali ». Grace à sa témérité et à sa ténacité, elle a fait du canard, un journal respecté. Malgré les difficultés du moment, elle a su faire du « Triomphe du Mali », un journal régulier paraissant chaque vendredi avec des articles pertinents. Mariam Samake a fait du métier de journaliste un sacerdoce. Mariam Samake a horreur du chantage. Elle projette, dans les prochains jours, lancer la version électronique du « Triomphe du Mali ».
Mariam Seba Samake