Avec la nomination de Michel Sidibé au département de la Santé sous l’ère IBK, l’espoir était permis. De nos jours, tout semble se mettre en place pour balayer une équipe qui a renforcé l’aura du Mali au sein de la CIPRES à travers Mme Diéminatou Sangaré, la Directrice Générale de la CMSS. Et pour cause !
Après des moments d’observation, Michel Sidibé, tout nouveau ministre de la Santé jettera son dévolu sur Mme Mme Diéminatou Sangaré, pour la nommer Directrice Générale de la Caisse Malienne de Sécurité Sociale ( CMSS) en tant spécialiste rarissime en sécurité sociale après de brillantes études. Un bon choix salué par les observateurs et la presse spécialisée. Une nouvelle page s’ouvrait pour la CMSS, son personnel et les pensionnés.
Avec sa lettre de mission en main, la dame connue pour sa soif du travail bien fait, donc très rigoureuse, Mme Diéminatou Sangaré entamera sans tarder des réformes qui vont déranger bien d’habitudes qui lui valeront d’ailleurs des tirs à boulets rouges dans tous les sens.
Avec sa méthode de travail basé sur la bonne gouvernance, la transparence après quelques moments d’adaptation, Mme Diéminatou Sangaré et son équipe ne cesseront de recevoir des félicitations pour les innovations apportées à la structure. Tant au Mali, qu’à l’étranger.
D’abord, c’est de l’extérieur qu’elle et son équipe seront félicitées par la CIPRES, une structure avare en remerciements pour les innovations apportées dans le payement des pensions. Une première.
Cette félicitation de la CIPRESS à la CMSS, nous indique-t-on, « a été bien saluée, d’autant plus que le Mali a été félicité parmi plus d’une quarantaine de structures en Afrique ». Qui dit mieux !
Cette Directrice faut-il le rappeler, a en effet permis aux retraités ayant de petites pensions, de ne plus avoir à se déplacer et de recevoir leur pension par les moyens de payement électronique. De nos jours, la direction générale est félicitée et remerciée par ces pensionnés, indiquent nos sources.
Comble de scandale, loin de faire l’avocat de qui que ce soit, l’on remarque dans les colonnes de certains organes de la place ces temps-ci, « quelques critiques parce que la directrice Générale et son équipe se soucient des conditions de travail du personnel, donc du confort des agents qui sont à la base de ces résultats au quotidien », précisent nos sources proches de la Direction Générale quand on sait que « les syndicats se battent pour réclamer de meilleures conditions de travail que l’actuelle équipe de la CMSS offre déjà », nous rasure-t-on.
En clair noud remarque-t-on, l’équipe de Mme Diéminatou Sangaré se soucie plutôt d’améliorer constamment autant que cela sera possible, les conditions et le cadre de travail des agents que certains commencent à qualifier de « gabegie ! ».
En réalité, l’arrivée de cette dame et de son équipe dérange certains qui sont habitués à une certaine gestion contraire aux textes de la CIPRES et du Mali. Comme dans le passé, donc, tout est mis en œuvre pour la débarquer.
« Ces attaques dans certains médias et réseaux sociaux rappellent bien celle d’autres qui se sont déroulées l’année dernière et qui ont pour objectif affiché de saboter le travail déjà engagé avec des résultats très satisfaisants », remarque cet observateur du milieu.
« Inspectrice des Affaires Sociales, Mme Diéminatou Sangaré, quoi qu’on puisse lui reproché, a su avec son équipe apporté de grandes réformes à la CMSS. En guise de rappel, avec une expérience indescriptible dans la gestion des affaires sociales, cette informaticienne de renommée, a envisagé de tout mettre en œuvre pour que sa structure soit la plus enviée dans la sous-région, pourquoi pas partout en Afrique. Mais aujourd’hui, encore de vieilles pratiques reviennent au galoup par le seul constat est que des individus malintentionnés veulent la déstabiliser. Leur objectif n’est d’autre que de saboter les efforts de la directrice générale de la CMSS. Loin de donner des leçons à qui que ce soit, ces pratiques ne respectent aucune déontologie, encore moins, aucun texte en matière de liberté d’expression et de bonne gouvernance. Dans ce pays, on aime pas les bosseurs surtout que la porte de Mme Diéminatou, femme dévouée, combative, demeure toujours ouverte pour tout renseignement sur la CMSS », nous explique un cadre à la retraite de la CMSS très remonté.
Dans ce cas, les autorités de la transition laisseront-ils ces pratiques se prospérer comme de rien n’était.
That’s the question !