Du rififi toujours à la Coordination des Associations et ONG féminines du Mali (CAFO). La mouvance Mme Dembélé OulematouSow, qui clame sa légitimité, a tenu, ce mardi soir, un point de presse. L’objectif était de dénoncer l’organisation, le 23 août prochain, d’une assemblée générale extraordinaire dont la cérémonie d’ouverture sera présidée par le ministre chargé des Réformes institutionnelles et des Relations avec la Société civile.
-Maliweb.net- «Des individus mal intentionnées ne sauraient faire de la CAFO leur propre patrimoine», attaque Mme Dembélé OulematouSow, présidente de la CAFO « légitime » et organisatrice du point de presse. Aux dires de la conférencière, la CAFO a tenu, le 30 décembre 2017, une Assemblée générale extraordinaire. A l’issue de cette rencontre, un nouveau bureau Exécutif national a été mis en place, grâce à la participation de 300 femmes venues de toutes les régions du Mali.
Cependant, explique Dembélé OulematouSow, la 1ère secrétaire aux Finances du bureau de 2008, Mme Keita Fatoumata Cissoko, revendique depuis, le titre de la ‘’présidente par intérim’’ de la CAFO. C’est elle, ajoute Dembélé Oulematou Sow, qui est à l’origine de l’organisation prochaine d’une assemblée générale extraordinaire «illégale». Pourtant, affirme la présidente de la CAFO, cette même femme est à l’origine de la procédure judiciaire contre le bureau légitime qu’elle dirige.
«Il serait quasiment impossible à Mme Keita Fatoumata Cissoko d’organiser une assemblée générale quelconque, tant que la procédure judiciaire ne soit close et ce, en plus de sa situation de défaut de qualité»,assure la présidente Dembélé OulematouSow qui précise que le titre de «présidente intérimaire» n’est pas reconnu par les statuts et règlement de la Coordination des Associations et ONG féminines du Mali (CAFO).
Cependant, l’AG qui s’annonce inquiète le bureau légitime de la CAFO d’autant plus que le programme provisoire indique que le ministre chargé des Réformes institutionnelles et des Relations avec la Société civile présidera la cérémonie d’ouverture. Pour l’apaisement du climat social, Mme Sangaré Nana Coulibaly, 1ère secrétaire générale de la CAFO, en appelle, à l’autorité du Chef de l’Etat pour la sauvegarde du climat social.
Mamadou TOGOLA/Maliweb.net
Une autre organisation alimentaire bidon qui ne sert au fond aucune femme au Mali…sauf les grandes dames des clubs de soutien aux politiciens. Quand on a égorgé des femmes et leurs fillettes a Fana personne n’a vu CAFO sur le terrain …cela nous suffit comme preuve que cette organisation est inutile pour les femmes du Mali. Ces dames de CAFO ne se querellent pas entre elles que pour des intérêts personnels et sordides …, sinon ce n’est pas pour le dur travail d’aider les femmes maliennes a, par ex., contrôler leur taux de natalité qui est aujourd’hui le plus élevé au monde (8 enfants/femme)… nos millions de jeunes femmes (en majorité analphabètes) qui ne font qu’accoucher et jeter leurs enfants dans la rue sans soins propres.
Je pense sincèrement que l’État doit arrêter donner un seul centime du contribuable a cette organisation creuse. S’il n y a pas d’argent gratuit a partager elles vont tous fuir CAFO sans coup férir. On a assez de problèmes a résoudre dans ce pays qui n’est pas de perdre l’énergie et l’argent dans ce organisations de gros bonnets business!!!
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