Chaque année, à cette date lourde de symbole, politiques et gouvernants, se bousculent, au rond point de Lafiabougou, l’architecture du monument érigé à sa mémoire. Chaque année, les mêmes groupes politiques, en compagnie d’élèves et étudiants, demandent la même chose ; à savoir la reconnaissance formelle de la tombe de Cabral. Avant que le Challenger, votre bi- hebdo de référence, en 2004, après enquêtes et recoupements de résultats d’enquêtes ne vienne informer les maliens du lieu d’enterrement du leader estudiantin. A
savoir ; Gao, en bout de piste de l’aéroport. L’avion qui avait conduit sa dépouille, est parti de Bamako en début d’après midi. Après la mise à terre à la hâte de la dépouille de Cabral, il a redécollé pour coucher à Mopti Hambodédjo, avant de rallier sa base de la capitale le lendemain.
Avant ce magnifique scoop du principal journal d’opposition malienne de cette époque là, décidé à mettre à nu les imperfections et atermoiements du régime d’alors, c’est-à-dire, du premier mandat d’ATT, frauduleusement et pompeusement élu en 2002, les autorités de la Transition, sans gène aucune, avaient entraîné des maliens au cimetière de Lafiabougou. Là-bas, elles indexèrent un bosque formellement reconnu par des parachutistes maliens. Au lieu de démentir l’information, une réelle bombe sociale en son temps, les autorités de la République, firent profil bas, sans doute avec la complicité de la famille biologique du disparu et de celle de ses anciens camarades de l’UNEEM. Juste pour ne pas mécontenter le palais,
et partant, perdre des privilèges du pouvoir qui planeraient. Mais puisque, la mémoire de Cabral est devenue un fond de commerce inépuisable et intarissable, pourquoi revenir sur la même chose, dès lors que personne n’a jamais été en mesure de mettre la pression pour que la postérité témoigne de la décence ou le contraire de la manière avec laquelle, son corps a été enfoui dans la terre ou sous le sable chaud.
Sory de Motti
IL ETAIT QUE LE GOUVERNEMENT PRENNE SES RESPONSABILITES FACE A SES MALADES MENTAUX QUI VEULENT TRAINER NOTRE HONNEUR DANS LA BOUE VIVE LE MALI A BAS LES LACHES ET LES INCAPABLES
Je peux dire sans nul doute que la révélation de la dite tombe était un mensonge d’Etat à l’époque des faits pour calmer les compagnons de Cabral et l’AEEM en sa tête Oumar Mariko. Mais déjà ce jour à l’endroit indiqué des camarades n’étaient pas convaincus , mais puisque il n’avaient pas de certitudes dans leur doute ils se sont tus. Les Parents ont affirmé après qu’il savait que leur frère n’était pas à cet endroit car ce lieu était un dépôt des ferrailles à l’époque de Bamako jusqu’à la date de 1990. Et la famille a été réconfortée dans sa thèse quand ils ont exhumé la tombe où il ne se trouvait aucun ossement.
C’est pourquoi depuis 2000 la famille et l’AMSUNEEM ont décidé de ne plus entretenir le ridicule en allant se recueillir sur une fausse Tombe.
La vérité est difficile à dire par le autorités car ATT était le chef de pelletons qui passait à tabac les responsables de l’UNEEM et des professeurs Victor, VO, Tièblé , M Lamine.
Pour certains il est enterré à Aghelohc cette information nous la détenons d’un ancien Député pour d’autres à Gao
Sory merci, encore une personnes de plus en vie qui aimerait savoir cette vérité comme cabral et ses vrais compagnons
Il faut l’exhumer si le doute persiste encore, et procéder à l’identification par l’ADN !
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