Cabale contre Samba Bathily : “Confidentiel Afrique” débusque des concurrents malveillants

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Les informations erronées distillées ça et là sur des marchés que l’entrepreneur Samba Bathily aurait gagnés et exécutés en Guinée, au Mali, et dans plusieurs pays du continent ont commencé à inonder la toile. A quelles fins peut-on s’interroger ? Nous reproduisons pour nos lecteurs l’intégralité de l’article consacré à notre self made man qui ne cesse d’étonner son monde.

Au fil des investigations menées auprès des autorités de ces pays où l’entrepreneur malien est intervenu ou continue à y opérer, ces informations se révèlent être un véritable ballon de baudruche. Du pétard mouillé aux allures de vaudeville à l’ivresse. Ce tissu de mensonges et de contre-vérités visent implicitement à annihiler les efforts entrepris par le jeune entrepreneur malien devenu au gré des épreuves, fruit de transpiration débordante et d’ingéniosité, un modèle de success-story qui force admiration et respect pour un entrepreneur de sa génération.

Les marchés en Guinée, un pétard mouillé

L’exemple le plus illustratif nous vient de la République de Guinée où Samba Bathily serait indexé pour des marchés d’installations de lampadaires passés de gré à gré. Une étincelle allumée sur fond de dénigrement et d’incohérence, soutiennent des sources autorisées contactées par Confidentiel Afrique. La vérité des faits est toute autre. Les deux marchés adjugés par l’entrepreneur Samba Bathily sous le parapluie d’un groupement associé ont été bel et bien soumissionnés, suite à un appel d’offres international, régulier et transparent. Selon des informations exclusives en possession de Confidentiel Afrique, le premier marché remporté par le groupement, amené par le magnat africain du solaire, remonte à 2011. Coût du financement : 19 millions 700 mille USD dollars.

Le groupement associé a réalisé les travaux en 8 mois alors que les délais requis fixés pour son exécution étaient de 12 mois, l’état a remboursé sur 2 ans.  Il faut noter que le groupement avec en son sein une société qui disposait de 2 usines de panneaux solaires avec un chiffre d’affaires de 38 milliards de dollars.

Idem pour le deuxième marché, adjugé en 2014 sur appel d’offres au consortium dans lequel se trouvait la société de Samba Bathily. Il  a été réalisé dans la grande orthodoxie des procédures-standard. Il est bon à préciser qu’une vingtaine de sociétés dont des multinationales de renom avaient soumissionné.

Nos informations confirmées auprès de sources crédibles renseignent que l’offre technique et financière du groupement de Samba Bathily était la meilleure avec un prix de 104 millions de dollars TTC,  largement devant une firme sud-coréenne qui avait proposé 120 millions de dollars. En clair, les deux marchés adjugés, qui ne souffrent d’aucune irrégularité, ont été exécutés dans le respect des cahiers de charge. Dire le contraire n’est que blabla…

Cela est surprenant, car, l’orthodoxie de livrer des informations devra s’adosser sur la véracité des faits. Ces dits marchés publics comme leurs noms l’indiquent sont a la disposition des autorités officielles. On peut les consulter. A toute requête. Nous défions qui que ce soit d’aller consulter les archives de ces appels d’offres de 2011 et de 2014 et de venir nous dire le contraire si le groupement de M. Bathily n’avait pas gagné et dans l’offre financière et dans l’offre technique. Passons aux choses sérieuses.

Aussi, il faut signaler qu’une campagne similaire avait vu le jour entre 2016 et 2017 sous l’ancien régime du président Alpha Condé, dans le but de mettre en mal Samba Bathily avec les autorités. Peine perdue. C’est cette même campagne de dénigrement qui se rebobine avec l’arrivée des nouvelles autorités pour bloquer un contrat en cours d’exécution soi-disant les lampes étaient éteintes. Ce qu’il faut savoir est que la durée de vie d’un panneau solaire peut aller jusqu’à 25 ans, mais la batterie, elle peut aller de 3 à 5 ans, selon le type de batterie gel ou lead acide.

Conspiration préparée de longue date

Ce qu’il faut noter depuis le premier contrat de 2011 et après celui de 2014 jusqu’à 2021, on a eu à changer que 3800 batteries sur plus de 80000 batteries à changer.

Récemment, avec l’arrivée des nouvelles autorités, la société nationale d’électricité (EDG) a octroyé un contrat d’entretien à une autre société une fois les batteries changées, les lampes se sont rallumées. Des images vidéo diffusées au journal télévisé guinéen en fin décembre 2021 suffisent pour étayer la lanterne des sceptiques.

Un cadre de la société nationale a confirmé que c’était un problème d’entretien de la batterie et du régulateur. Après cet état, on fait appel à la société de M. Bathily pour aussi fournir et installer de nouvelles batteries.

Ce qui fut aussitôt fait, cela a permis à beaucoup de gens de comprendre les lampadaires solaires doivent être entretenus et aussi que les batteries doit être changées, selon la période de garantie. S’en est suivi un véritable camouflet pour les concurrents de M. Bathily qui pensaient qu’avec le nouveau gouvernement qu’ils allaient l’enterrer définitivement.

De Bamako, à Kigali en passant par Dakar, Conakry, Praia, Niamey, Abidjan Johannesburg les entreprises de Samba Bathily accumulent des succès pour leurs managements efficients et concrets, surtout pour leurs impacts directs et indirects dans les économies inclusives de ces pays qui bénéficient du savoir-faire de ses experts.

Au fil de nos recoupements, Confidentiel Afrique s’est aperçu qu’une vaste conspiration préparée minutieusement contre le champion du solaire africain est en boîte depuis trois mois par des gens malintentionnées via des canaux de presse. Ces mains invisibles s’activent et manœuvrent dans certains hauts lieux pour saborder et salir les réalisations de l’entrepreneur malien. Peut-on parler d’agenda caché à l’encontre de Samba Bathily, poussé à marcher sur des œufs ? Tout ce déballage médiatique ne vise qu’une seule chose : freiner la montée en puissance de ce jeune entrepreneur multi-cartes, défenseur des intérêts africains.

Source : Confidentiel Afrique

 

 

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