Rien ne va aujourd’hui entre le syndicat de la Banque internationale pour le Mali (BIM) et ses employés qui étaient, mardi dernier, en assemblée dans les locaux de l’institution pour tenter de sauver ce qui peut encore l’être. Aujourd’hui, les travailleurs veulent exercer leur fonction dans un cadre légal, juste et promoteur.
A l’origine de cette situation, le désintérêt des responsables pour les cadres maliens depuis l’arrivée des Marocains. Selon des syndicalistes, pas de promotion pour les hommes avec une part exceptionnelle faite aux femmes en raison de leur féminité. Cela est une entrave à l’égalité devant l’emploi.
Au niveau des agences BIM des quartiers, la situation est catastrophique. Un quota est imposé sans tenir compte des fluctuations du marché et de la clientèle. C’est à un véritable jeu de hasard que se livre Madame Diallo qui exerce un pressing surhumain sur ses subordonnés. « Il ne fait plus bon de travailler à la BIM » regrette ce cadre tant l’injustice est criarde. Les amis, parents ou connaissances de Madame Diallo sont épargnés de cet exercice suicidaire où parfois le responsable de l’agence est stressé et obligé de s’endetter ou de faire autrement pour combler son déficit.
C’est dire que le travail à la BIM est devenu ségrégationniste et infernal pour toute personne qui ne se trouve pas dans le cercle restreint.
Le cas de Aiché Bah est révélateur à plus d’un titre, elle qui ne travaille qu’avec ses connaissances et brade la BIM pour ses intérêts personnels.
Tout le monde se plaint à la BIM à telle enseigne que la situation peut exploser à tout moment. La BIM n’est plus cette structure séduisante qui faisait la fierté du Mali. C’est pourquoi les clients commencent à partir sous d’autres cieux.
Pour le syndicat, il est temps de s’intéresser aux hommes qui font le gros du travail. Certains disent qu’ils n’ont que « leurs intelligence et force de travail à donner et que leur corps n’est pas aliénable ». Hum !
I SIDIBE
C est du n importe quoi cet article et vos commentaires
Tout le monde se souvient du temps ou cette banque etait gerée par l’Etat Malien c etait du n importe quoi et meme demain si les Marocains partent nous allons voir pire, car nous ne savons pas travailler, nous ne voulons pas la rigueur
Pourquoi vous neparlez de la promotion de ce jeune cadre honnete et rigoureux qui est nommé coe DGA dans cette bque pour une 1ère dans le domaine bancaire.
Si nous ne sommes pas rigoureux les gens ne peuvent pas mettre leurs sous et nous regarder prendre le thé coe nous savons le faire
Il faut vous reveiller et je repete ce proverbe ” seul le travail libère” laisser votre faux orgueil et la paresse
Wa salam
Bien dit c’est triste mais tous ceux que vous venez de dire c’est la réalité, Les Marocains ont eu le temps de connaitre les limites de ces fils de…. ou fille de…., c’est dames qui se sont montrées à la hauteur méritent leur poste, le tout n’est pas une question de cuisse.
Même nos résultats de BAC les filles commences à dominées.
Chères sœurs bon vent à la BIM Sa.
Les recrutements à caractère de fils de, fille de, cette sociétés comme tend autre sociétés au Mali mettrons la clef à la porte.
Chers compatriote il faut changer dans le bon sens, même pour respirer nous volons.
Triste réalité pour Maliba.
c’est vrai la bim est devenue un veritable les marocains traitent les hommes comme des esclaves et les dames avec le droit de cuissage.
tous les employés ont le moral cassé cette banque va vers la fallitte
totale si le gouvernement ne ragit pas.
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