Des voleurs menacent désormais de tirer sur à bout portant sur leurs cibles. Rumeur ou intox ? En tout cas, l’information a fait le tour de Bamako comme une traînée de poudre. Dans les lieux de causeries, la question est centre des débats.
En effet, depuis un certain temps, les populations de Bamako vivent la peur au ventre. Et pour cause, une information circule actuellement à Bamako, selon laquelle les voleurs auraient fait des affiches dans certains coins de la capitale qu’ils vont désormais tirer directement sur les motocyclistes pour retirer leurs motos. Selon cette rumeur, la raison de cette menace des voleurs est relative à l’application de l’article 320 qui leur est imposée par la population. Lequel article consiste à les brûler vif. C’est cette pratique qui serait à l’origine de la «révolte» de ces voleurs et autres bandits de grand chemin.
Pour rappel, la ville de Bamako est constamment en proie à une insécurité grandissante. Malgré la dénonciation du phénomène à plusieurs reprises, les autorités peinent toujours à y trouver une solution idoine. Avec cette menace des voleurs, les populations sont paniquées et ne savent plus à quel saint se vouer.
Selon des sources, à Sénou, les gens ne peuvent même plus dormir tranquillement la nuit, car les voleurs viennent taper à leurs portes pour faire leurs opérations nocturnes. Celui qui n’obtempère pas, ils le tuent sans hésiter.
Face à cette situation dramatique d’insécurité à Bamako et environnants, les autorités doivent immédiatement prendre des mesures avant qu’il ne soit trop tard. En tout cas, il revient maintenant au ministre de la Sécurité de prendre cette menace des voleurs très au sérieux, en déployant partout dans la ville de Bamako et environnants un dispositif sécuritaire impressionnant. Histoire de dissuader ces malfrats.
Diango COULIBALY
Diango COULIBALY. Peine perdue!Vous avez recruté des fils à papas et des fainéants à la place de vrais policiers et maintenant vous n’avez que vos yeux pour pleurer!Qui ne sait pas que le recrutement à la police aussi bien qu’à la gendarmerie et dans la fonction publique en général a été fait ces dernières 20 années sur base de tout sauf de clarté?Si vous recrutez n’importe quel ancien chômeur ou drogué du quartier dans la police nationale puisqu’il est parent d’untel haut cadre ou militant d’untel parti, vous n’assisterez qu’à des résultats de ce genre!C’est dommage que ceux qui ont procédé à ces recrutements de complaisance ne sont peut être plus en service, mais subissent au moins aussi le calvaire du à l’insécurité ce qui n’est déjà pas mal:wink:
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