Le chef de l’Etat, renversé le 24 mai 2021, est ampliateur d’une correspondance de restitution des biens de l’Etat par le cabinet de l’ancien président ATT. Cela crée aujourd’hui un grand malaise au sommet de l’Etat et dans les chaumières car tout ce qui touche à l’honneur et à la considération du défunt président de la République (2002-2012) est vivement ressenti au Mali. Assimi Goïta tente de redresser les torts. A la date d’aujourd’hui, les deux véhicules d’ATT ont été restitués à la Direction administrative et financière (DAF) de la Présidence de la République. Selon nos informations, des huissiers ont été envoyés chez l’épouse de feu le Général Moussa Traoré (il est décédé le 15 septembre 2020) afin de restituer aussi les véhicules. Ce qui a été fait aussi.
Quelle mouche avait donc piqué l’ancien président de la Transition, le colonel à la retraite Bah N’Daw, au point de laisser le Secrétariat général de la Présidence de la République s’acharner quasiment sur la famille de l’ancien président de la République, feu le Général d’armée Amadou Toumani Touré dit ATT à travers son Cabinet ?
Toujours est-il que profitant d’une sollicitation des collaborateurs de l’ancien chef de l’Etat, décédé le 10 novembre 2020 en Turquie, de maintenir leur cabinet pendant la durée de la Transition dans le but de documenter le parcours emblématique d’ATT au sommet de l’Etat du Mali, le secrétaire général adjoint de la Présidence de la République, certainement sur la base d’instructions à lui données, s’est fendu d’une réponse, en date du 15 janvier 2021, aux antipodes du concert d’éloges qui a accompagné l’ancien président depuis l’annonce de sa disparition jusqu’à sa dernière demeure.
Sa réponse aux demandeurs donne froid dans le dos. Elle démontre en tout cas que si la Nation est dite reconnaissante vis-à-vis de ses enfants prodiges, certains de ses serviteurs, en son nom, peuvent aussi poser à l’égard de ceux qui ont mérité de la patrie des actes d’une ingratitude crasse.
A tout le moins, Dr. Kalilou Doumbia, puisqu’il faut l’appeler par son nom, a fait une interprétation stricto sensu de la loi, sans référence à nos us et coutumes, pour réserver une fin de non-recevoir au cabinet du “Soldat de la démocratie”, “L’homme du 26-Mars” dont la dédicace à la Nation nous a valu d’emprunter le train des nations modernes en 1991. Au demeurant, la mort, chez nous, suscite empathie pour la famille du disparu, commisération, etc. Hélas !
Non seulement, il a signifié ce 15 janvier 2021 la dissolution du cabinet dans les trois mois à compter de la réception du courrier, la résiliation des contrats de travail du personnel d’appui, mais aussi et surtout l’inventaire et la restitution des biens de l’Etat mis à la disposition de l’ancien président, conformément à la loi n°2002-012 du 24 février 2002 relative à la pension et aux avantages accordés et au décret n°2014-0610/P-RM du 14 août 2014 fixant l’organisation et les modalités de fonctionnement des cabinets des anciens présidents de la République.
Arguant qu’aucune disposition expresse ne prévoit le maintien ou la survie d’un cabinet d’un ancien président de la République à son titulaire, il a catégoriquement refusé d’accéder à la requête du cabinet de l’ancien président. Le hic est qu’il a demandé en plus la restitution de deux véhicules (une Toyota Prado et une V8), tous les bureaux et chaises, les ordinateurs et imprimantes, les écrans télé, les frigos… mis à disposition par l’Etat.
Rancœurs ?
Malgré la contre-proposition de la famille et des collaborateurs du défunt président de procéder à une estimation des petits meubles en vue de les racheter par le biais de la Fondation pour l’Enfance, le Secrétariat général de la Présidence de la République a là aussi dit niet. De guerre lasse, la famille d’ATT a promis de restituer dans les plus brefs délais tout le matériel à leur disposition. C’est ainsi que les deux véhicules ont été restitués au directeur administratif et financier de la Présidence contre un reçu de réception.
“Le colonel Assimi Goïta, alors vice-président de la Transition, avait été informé de la situation. Il était très choqué. Il a tout fait auprès de Bah Ndaw pour qu’il puisse accorder la survie du Cabinet d’ATT jusque durant la durée de la Transition. Bah Ndaw a catégoriquement refusé. Il dit que c’est la loi. Finalement, Assimi était obligé de le mettre en contact avec le directeur de Cabinet d’ATT afin qu’il puisse lui expliquer la situation. Encore niet!”, nous a confié une source proche du dossier.
La même source ajoute : “En fait, Bah Ndaw était dans la logique d’humilier la famille de l’ancien président de la République parce qu’ATT aurait refusé qu’il soit général. C’est tout. Mais Dieu ne dort pas. Il avait oublié sûrement la volonté divine.
Tous ceux qui ont tenté de faire du mal à ATT en ont payé les frais. Il faut demander à Sarkory ou Blaise Compaoré ou encore à d’autres Maliens. Où sont aujourd’hui lui-même Bah Ndaw, le secrétaire général de la Présidence et son adjoint ? Ils n’ont rien vu encore. Et la vérité divine répond quand il s’agit surtout d’ATT, de son vivant et de sa mort”.
Toujours notre source de souligner : “Bah Ndaw parle de la loi, mais qu’est-ce que l’Etat a fait pour ATT. En tant qu’ancien président de la République, il n’a pas bénéficié des avantages d’anciens présidents. Qui pouvait imaginer qu’ATT n’a pas de logement comme les anciens présidents ! Il logeait dans la maison de sa fille.
Concernant le Cabinet, les autres anciens présidents étaient logés et pris en charge par l’Etat alors que celui d’ATT était au siège de la Fondation pour l’Enfance. Là aussi, l’Etat n’a pas payé un franc. En plus, ATT, durant son séjour à Dakar jusqu’à son retour au Mali, n’a jamais bénéficié des avantages d’ancien président en terme de salaire. En d’autres termes, ses droits n’ont jamais été régularisés”.
C’est sur ces entrefaites que le putsch du 24 mai 2021 est intervenu. Aujourd’hui, le nouveau président de la Transition, le colonel Assimi Goïta, est semble-t-il déterminé à faire preuve de discernement dans cette affaire.
On ose espérer que le Cabinet qui, soit dit en passant ne demande pas l’indu mais juste une rallonge pour achever un chantier ouvert, aura gain de cause et travaillera à finir, pour les générations présente et future, le documentaire sur la vie et l’œuvre de l’enfant de Soudou Baba.
En tout cas, la démarche du président de la Transition, le colonel Assimi Goïta, a été fortement appréciée par la famille du Général ATT. Comme pour dire qu’elle a été touchée par le geste responsable et le remercie pour sa largesse et sa grandeur.
Des sources rapportent aussi que la famille du défunt général-président Moussa Traoré (1968-1991) a été priée de restituer deux véhicules mis à sa disposition par l’Etat, conformément à la n°2002-012 du 24 février 2002 relative à la pension et aux avantages accordés et au décret n°2014-0610/P-RM du 14 août 2014 fixant l’organisation et les modalités de fonctionnement des cabinets des anciens présidents de la République.
Aujourd’hui, beaucoup de nos compatriotes s’interrogent sur la sincérité de ces mesures. Certains d’entre eux n’hésitent pas à les mettre au compte de ressentiments du colonel-major Bah N’Daw qui a été l’aide de camp du général Moussa Traoré à la fin des années 1980, avant de démissionner pour divergences de vue.
Chef d’Etat-major de l’Armée de l’air sous le président ATT, il avait aussi demandé et obtenu à être libéré de ses responsabilités. Alors que beaucoup de gens le voyaient terminer sa carrière militaire en beauté avec le prestigieux grade de général, il a été finalement admis à faire valoir ses droits à la retraite comme colonel-major.
Y a-t-il un lien de cause à effet entre ces différents événements ? La réponse à cette question requiert la méditation transcendantale.
El Hadj A.B. HAIDARA
Rebel
Pourtant j’ai précisé LA LOI EST DURE,MAIS IL FAUT L’APPLIQUER.
Donc je suis pour l’application de la LOI.
Par contre je suis contre L’APPLICATION BORNÉE de la LOI c’est à dire sans tenir compte de son ESPRIT.
Quand on veut faire du mal,on fait fi de son ESPRIT.
C’est connu.
Le cabinet c’est pour servir L’ANCIEN PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE,pas ATT.
Du temps pour “documenter le parcours emblématique d’ATT au sommet de l’Etat” rentre dans le cadre du service rendu,donc en rapport avec L’ESPRIT de la LOI.
OSER LUTTER,C’EST OSER VAINCRE!
La lutte continue.
Sangare,
Le président ATT est décédé dix ans après avoir quitté le pouvoir, et son cabinet a existé environ cinq ans (sauf erreur de ma part) avant sa disparition. Alors, ce n’est pas le temps qui a manqué pour
. Et mieux, les historiens ont pour vocation de rétablir les vérités. Alors ici, l’esprit de la loi veut justement qu’il n’y ait pas de gabegie. Et c’est à cela qu’il faille s’en tenir, le reste n’étant que spéculations inutiles…—
Pensées rebelles.
Comme le dirait KINGUIRANKE «bougou te djo ngalon kan» ! Dans ce pays on brandit la loi à tout égard alors que dans la jungle Étatique Malienne la loi ne sert presque à rien. Le système est tel qu’on nous prend le bœuf pour nous donner l’œuf et ils veulent que l’on se réjouisse de cela.
Au lieu d’ouvrir les dossiers des 1230 milliards de la loi de programmation militaire ou le dossier des 750 milliards du Bureau du Vérificateur Général, on enjoint aux Députés de ramener les véhicules de fonction. Aujourd’hui on se met en quatre pour deux véhicules et c’est la loi qu’on brandit pour masquer l’esprit de haine et de vengeance.
Dans pays où nous avons vu toutes sortes de tueries dont certaines relèveraient des crimes contre l’humanité sans que personne ne soit inquiétés, on trouve des ressources pour aller punir des crimes d’injures sur les réseaux sociaux.
Nous avons vu un fils de vaurien comme RAS BATH et ses amis passer 4 mois en prison pour tentative de putsch alors que celui qui a perpétré 2 putschs réels est vite adoubé par la même justice.
Dans ce pays la loi n’est qu’un outil au service des voyous et des haineux, pas au service de la société. BAH NDAO avait d’autres objectifs que de faire respecter la loi. 💡💡💡💡💡
—
Sangare,
D’abord le Gabon ou le Togo ne sont pas le Mali. Ensuite, que Bah N’Daw n’ait pas respecté une loi ne justifie pas qu’il viole allégrement toutes les autres lois. Et puis, ce n’est pas Bah N’Daw qui a fait le coup d’État. Au contraire, ce sont les putschistes acculés par la pression qui sont allés le chercher dans son champ. Le fait qu’il n’est pas été promu Général relève de la malchance plutôt que d’une volonté personnelle du président ATT. D’ailleurs, les avancements dans l’armée sont régis par des textes, et ATT a été bien courageux de faire une reforme salutaire de ces textes anachroniques. Sinon en ce moment, on aurait eu plus de Généraux farfelus aujourd’hui à entretenir que de soldats du rangs.
Mais ici le sujet est le
relevant du décret n°2014-0610/P-RM du 14 août 2014, et non pas le traitement de l’ancien président lui-même relevant de la loi N° 2012-012 du 24 février 2012. Et concernant le traitement d’ancien président de la république, cette loi ne prévoit aucune interruption brutale, contrairement à ce que vous insinuez. Pour précision, voici ce que dit la loi N° 2012-012 du 24 février 2012 (promulguée par ATT lui-même) en son article 2 :C’est bien clair. Mais pour le
, c’est une toute autre affaire. Il faut vraiment qu’on fasse le discernement et qu’on commence à appliquer les textes dans ce pays si on veut sortir de l’auberge. Voyez comment notre constitution elle-même est constamment violée par tous ces putschs inutiles, et qui sont pourtant considérés par la même constitution comme des crimes imprescriptibles. Mais on trouve à chaque fois le moyen de passer l’éponge avec des lois d’amnistie bidon et honteuse pour toute nation sérieuse. Seul le respect de principes clairs peut faire avancer une société qui aspire à évoluer. Les compromis et comprissions juridiques sont une impasse, et non pas la solution.Voir la loi N° 2012-012 (page 2 du document de 40 pages)
—
Pensées rebelles.
Errata: Les compromis et compromissions (…)
SEYDOU
je ne m’accroche pas à ALPHA OUMAR KONARÉ,mais je défend un principe qu’ a incarné L’HOMME POLITIQUE pendant ses deux quinquennats.
Je ne suis pas de ceux qui supportent l’homme,mais de ceux qui supportent la PERSONNALITÉ.
JE M’ACCROCHE PLUTÔT AUX PRINCIPES.
Ils sont FAIRE LA POLITIQUE et S’INSCRIRE DANS LE CADRE DES INTÉRÊTS SUPÉRIEURS DE LA NATION.
FAIRE LA POLITIQUE,c’est s’atteler à installer une structure politique dans chaque village du pays afin que les préoccupations de chaque contrée soient prises en compte.
La politique,ce n’est pas lutter contre la corruption car il s’agit là d’une fonction réservée au POUVOIR JUDICIAIRE.
Elle n’est pas non plus de mobiliser les personnes dans les rues car il s’agit là des symptômes d’une société mal à l’aise qui doit interpeller le politique.
S’il exerce le pouvoir,il s’attele à les résoudre.
S’il est dans l’opposition,il manifeste sa solidarité en participant à la marche.
Dans l’histoire du Mali post dictature,seuls TIOULE MAMADOU KONATE et SOUMAILA CISSÉ se sont inscrits à installer une structure politique dans chaque coin du pays au lieu de s’adonner à des manifestations initiées pour provoquer un COUP D’ÉTAT.
ALPHA OUMAR KONARÉ a montré le chemin en mettant en place L’ADEMA PASJ en 1991 pendant que ses camarades du mouvement démocratique passaient leurs temps dans des discussions politiques à Bamako croyant être élus sur la seule base de leurs participations à la chute du régime.
S’INSCRIRE DANS LE CADRE DES INTÉRÊTS SUPÉRIEURS DE LA NATION est fondée sur l’utilisation des IDÉES pour faire la politique.
ALPHA OUMAR KONARÉ a incarné le panafricanisme cher à tout africain qui est conscient qu’une Afrique balkanisée est condamnée à rester sous développé.
Les deux quinquennats D’ALPHA OUMAR KONARÉ ont connu des ACTIONS inspirées des IDÉES qu’il a développées avant d’être élu.
Ses années de présidence ont été intenses en terme de COMBAT D’IDÉE au Mali et en Afrique.
LE MALI A RÉSONNÉ EN AFRIQUE,RETROUVÉ SA CRÉDIBILITÉ BAFOUÉE SOUS LA DICTATURE PENDANT LES DEUX QUINQUENNATS D’AOK.
Il faut être un HOMME POLITIQUE de conviction pour redonner la crédibilité internationale à un pays abandonné par les investisseurs,organiser une COUPE D’AFRIQUE DES NATIONS que très peu de maliens croyaient leur pays capable d’organiser.
OSER LUTTER,C’EST OSER VAINCRE!
La lutte continue.
—
Sangare,
Vos principes doivent sans doute être à géométrie variable… Sinon, cet article ne parle que du respect de principes clairs édictés par la loi. Et pourtant, vous trouvez quand même à redire. Mais sachez alors que le principe reste le principe et ne peut être sélectif. On ne peut pas être pour le principe quand ça nous arrange, et s’en foutre quand ça ne nous arrange pas. Non, ça ne marche pas comme ça !
—
Pensées rebelles.
Sangaré s’accroche à AOK comme moi je m’accroche à GMT.
Mais cela n’empeche il faut dire la vérité.
Zanga Djeli ani Sangare Djeli aw ni tie, aw ni baara! Nga galon te bugu djo deh!
Rebel tu sais que Sangare jeli fait tout ce bruit c’est pour proteger son patron Alpha Omar Konare qui a ete mis dans toutes les conditions comme ca ce doit pour un ancien president de la Republique. En effet toute ces faveur ont ete mises sur place en plus de leurs gros salaires afin de donner une certaine dignite et independance aux actuels et anciens presidents du Mali et aussi de reduire leur tentation de voler et de detourner, mais c’est dommage car ces deux solutions n’ont pas servi et les presidents et leurs regimes continuent de voler, de detourner et aussi de faire du nepotisme et du clientelisme.
King,
On dirait bien que notre cher ami Sangare est plutôt dans une querelle de chapelle. Vous avez raison, que malgré toutes les conditions offertes à nos présidents et anciens présidents, la gabegie, la corruption et le népotisme restent des réalités bien ancrées dans notre société. Et il y a vraiment lieu de se demander à quoi sert finalement tout le sacrifice fait par le peuple, pour mettre ses dirigeants dans ces conditions. D’ailleurs au contraire, Thomas Sankara a servi son pays dans la modestie et la sobriété absolues, mais il a donné des résultats indéniables à son pays en quatre petites années.
—
Pensées rebelles.
Rebel
À l’évidence tu as raison LA LOI EST DURE,MAIS IL FAUT L’APPLIQUER.
Seulement la LOI ce n’est pas seulement la LETTRE,mais aussi et surtout L’ESPRIT.
Pourquoi avoir accordé des avantages aux anciens présidents?
À priori c’est pour rassurer les PRÉSIDENTS en exercice qu’ils peuvent vivre à l’abri de tous besoins essentiels,s’ils acceptent de laisser la place à d’autres.
Un PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE en exercice qui constate qu’au décès de ses prédécesseurs,leurs femmes ne vivent plus la vie que leurs maris leurs ont habitué aura certainement tendance à donner raison à BONGO et EYADEMA c’est à dire que mieux vaut CONFISQUER le POUVOIR à chaque élection,instauré un mandat illimité afin de préparer un fiston qui va prendre la succession.
C’est ce que tu souhaites pour le Mali????
LA LOI EN VIGUEUR N’A PAS RESPECTÉ L’ESPRIT QUI A GUIDÉ À ACCORDER DES AVANTAGES AUX ANCIENS PRÉSIDENTS DE LA RÉPUBLIQUE,SI BA NDAW A RAISON.
On doit accorder à la femme ce que son mari avait droit de son vivant.
Elle ne doit pas souffrir du manque des besoins essentiels après le décès de son mari.
Ça rassure les PRÉSIDENTS en exercice
Il en va de la viabilité de la démocratie malienne.
On peut douter,compte tenu des actes posés par BA NDAW,de la sincérité d’appliquer strictement la LOI.
Il a accepté d’être président de la transition en violation de la charte.
Il a apposé sa signature sur la liste des membres désignés pour la création du CNT en sachant que le décret n’a pas été respecté.
Il n’est ferme sur l’application de la LOI que s’il s’agit des femmes des PRÉSIDENTS qu’il a servis.
Tout le MALI sait que BA NDAW a démissionné de sa fonction d’aide de camp suite à une altercation avec la femme de MOUSSA TRAORÉ.
Il est circulé qu’il a une haine tenace contre ATT pour avoir écarté son nom des personnes qui devraient nommés GENERAL.
Cette décision tend plus à satisfaire une haine insatiable qu’ à appliquer strictement la LOI.
OSER LUTTER,C’EST OSER VAINCRE!
La lutte continue.
—
Soyons sérieux, la loi est faite pour être respectée sinon elle n’en vaut pas la peine. Et en parlant de “cabinet d’ancien président”, si celui-là n’est plus, au nom de quel laxisme son fichu cabinet doit-il continuer d’exister et être entretenu par les deniers publics ? Peu importe de qui qu’il s’agisse ! Il faut arrêter de souiller la mémoire d’ATT, car lui-même devrait se retourner dans sa tombe en apprenant tous ces agissements qui sont faits en nom… Et si le bilan de Bah N’Daw ne se limite qu’à celle seule action, alors il a fait un grand pas pour le Mali.
Voilà pourquoi le simple port du casque à moto qui est obligatoire depuis plusieurs décennies sous nos cieux, mais n’est jamais respecté par quiconque. Tous s’en foutent évidemment de la loi. La faute au
, la complaisance généralisée.—
Pensées rebelles.
Lol😂 n’koroke Kinguiranke!
C’est un mauvais procès à Bah DAOU. Le cabinet d’un ancien président cesse d’exister dès l’instant où celui-là n’est plus en vie. Nous ne savons pas très souvent ce que nous voulons. Nous demandons l’application de la loi mais à condition se fasse en notre faveur. Ce qui n’a pas été fait pour ATT au regard de la loi doit lui être fait. Mais le fait que cela n’ait pas été fait n’est pas de la faute de Bah DAOU parce ce qu’il n’était pas président. Si le cabinet d’ATT n’était pas dissous on allait entre d’autres personnes critiquer cela et ils auraient raison à l’opposant de l’auteur de ce tochon.
Absolument d’accord avec votre commentaire, Tienkafo.
—
Pensées rebelles.
Mr Bah N’Daw n’a rein fait de grave.Ils fabriquent des pretextes.
Mais nous connaissons le colonel major d’aviation Mr N’Daw.
Kinguiranke, je t’ai dit que le fangafing existe toujours chez nous.
Les gens officiers qui donnent le pouvoira un pere officer mais 9 mois apres ils regrettent.
Sinon qu’est ce que Mr Bah peut faire contre le Mali?
Le FAGA FIN ne va amener le Mali nulle part car les democratie est le partage du pouvoir entre l’xecutif, le legislatif et le judiciaire et c’est une regle qui s’applique a toute race humaine sans exception! Nous ne sommes pas inferieurs pour adherer aux principes de la democratie!
Haidara ke anw ka ngalon tige dabila. On nous a dit tantôt que N’daw a partage des secrets militaires avec la France. Maintenant vous nous racontez cette histoire. La vérité c’est ce que nous avons besoin.
Haidara Djeli ne te dira jamais la verite! C’est le journalisme du ventre!
Comments are closed.