Elaboration et de validation du plan d’action de prévention et de lutte contre la fraude à l’Assurance maladie obligatoire (Amo). Tel est l’objectif d’un atelier de deux jours qui a réuni les acteurs intervenant dans l’Amo, mercredi et jeudi derniers. C’est la salle de conférence du restaurant “Escale gourmande” à l’Aci qui a servi de cadre à ces travaux.
Cette rencontre, faut-il le rappeler, a été organisée par la Caisse nationale d’assurance maladie avec l’appui technique d’un bureau d’étude. Durant les deux jours de travaux, il s’agira pour les participants de dégager des actions prioritaires nécessaires à la prévention, détection et gestion des cas de fraude. En présidant la cérémonie d’ouverture de cet atelier, le directeur général adjoint de la Canam, Alassane Balogo Dicko, a rappelé que de nos jours, la lutte contre la fraude dans l’Amo constitue un défi majeur pour la Canam et ses partenaires comme l’Institut national de prévoyance sociale (Inps) et la Caisse malienne de sécurité sociale (Cmss).
La complexité de cette lutte réside, selon M. Dicko, dans la pluralité et les comportements malsains des acteurs intervenant dans le processus de mise en œuvre du régime de l’Amo. Cette fraude, à l’en croire, commence souvent depuis l’enrôlement ou au niveau de l’immatriculation en passant par le paiement des cotisations, jusqu’à l’offre des prestations aux bénéficiaires au sein des établissements sanitaires conventionnés.
Pour faire face à ces cas de fraudes, a-t-il poursuivi, plusieurs mesures et actions ont été entreprises par la Canam et ses partenaires Ogd cela, dans la prévention, la détection et la gestion des cas de fraude. “Ces différentes mesures et actions ont permis d’analyser l’existant organisationnel du service juridique et contentieux, en vue de l’amélioration de ses performances, la création des espaces Amo, l’utilisation de plusieurs canaux de communication dans l’intensification de l’information, la sensibilisation de tous les acteurs, la mise en place des organes de lutte contre la fraude… ” a précisé le directeur général adjoint de la Canam. Ainsi, au terme de ces travaux de deux jours, les participants sont surtout invités à proposer et adopter des mesures qui viendront en appui aux actions déjà en cours dans la lutte contre la fraude. Le Dga de la Canam a saisi cette opportunité pour inviter l’ensemble des acteurs pour la protection et la sauvegarde de notre bien commun (l’Amo) contre tout fraudeur afin de garantir sa pérennité.
Kassoum THERA
l’AMO se soucie de lui seul ,mais ne demande jamais les difficultes que vivent les assurésre
l’ORDAONNACIER AMO releve de la croix et bananiere
Pourque l’AMO puisse marché il n’y a qu’une seule option; Tous les fonctionnaires et leurs familles adhèrent. Cela n’est possible que nous revoyons le mode de payement en fixant une somme unique pour tous ey non cette histoire de pourcentage. Puis permettre aux gens d’inscrire de tierse personne s’ils consentent à payer leur cotisation. Comme ça beaucoup de gens seront affilié et il y-aura moins de fraude.
Le premier type de fraude auquel vous devez faire face est d’ordre interne c’est à dire celui commis par les agens de la CANAM. la majorité des cas de fraude proviennent des agents du canam ou de l’INPS eux même soit directement soit par complicité. Et la plus part des jeunes occupant des postes de responsabilité sont generalement les fils à papa ou les protégés de papa qui ne craignent generalement pas les conséquence juridiques des actes abominables qu’ils posent souvent. Les sanctions doivent être strictes et durs à ce niveau : remboursement total des sommes induments perçues plus les penalités, la radiation et l’emprisonnement.
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