Face au dialogue de sourds entre les forces vives et les hautes autorités, notamment le président de la République, qui ne manque pas d’occasion pour rappeler à qui veut l’entendre, qu’il n’est pas à la barre, les mécontentements se condensent en ras-le-bol, et des composantes du peuple menacent de se retrouver pour passer à l’action. La plainte du Bripem contre le président de la République pour haute trahison ne représenterait qu’un signe avant-coureur du grand vacarme qui profile à l’horizon. Cette contribution provenant d’un Malien de l’extérieur (Mahamadou Cissé, Paris) tente de préciser la recette et tire la sonnette d’alarme ! A lire !
Forces vives du Mali, unissez-vous !
Depuis son accession au pouvoir, il est étonnant de constater que le Président IBK ne donne pas de réponse aux questions posées par les forces vives du Mali, notamment l’Opposition, la Société civile, et certains Médias non partisans. Il est surtout scandaleux de noter le mépris de la plus Haute Autorité de la République vis à vis des acteurs majeurs de notre démocratie, qui ne cessent de manifester de multiples indignations et contestations contre des faits avérés et dénotant de la mauvaise gouvernance de l’Etat. D’autant plus que notre Président se réclame du mouvement démocratique, dont la principale motivation était d’instaurer la transparence et susciter la participation citoyenne dans la gestion des affaires publiques. Unies les forces vives pourront se faire entendre.
Depuis bientôt deux ans et demi, la République du Mali sous Ibrahim Boubacar Keïta (IBK), élu avec près de 77,61% des 45% de l’électorat, croule sous les affaires juridico-politiques et économiques. Les protestations relatives à ces dossiers pointent des malversations financières démesurées et un manque de cohérence dans les choix politiques du Président et son gouvernement. Notamment la signature d’un accord de paix et de réconciliation en passe de diviser le pays ; ainsi qu’un chapelet de scandales en tout genre qui créent un climat de défiance vis-à-vis du pouvoir public. En d’autres termes, les forces vives, qui relèvent ces insuffisances, s’inquiètent surtout pour la fragile Cohésion Nationale, chèrement acquise de haute lutte, avec son couronnement par des élections générales, acceptées par l’ensemble du Peuple Malien.
L’opportunité d’une entente nationale pour sortir de la crise profonde de 2012-2013, d’un climat politique apaisé, et aussi de la disponibilité de la communauté internationale au chevet de notre pays, dont a bénéficié le Président IBK, n’a donc pas été mise à profit pour renforcer la paix et la stabilité afin d’amorcer l’amélioration des conditions de vie des populations de Kayes à Kidal. Comme preuve, 7 mois déjà après son investiture, IBK a multiplié les erreurs et fautes entraînant aujourd’hui la perte progressive de la confiance de beaucoup de Maliens et de nos partenaires.
En effet, depuis le jour de son investiture où Moussa Traoré est qualifié de « grand républicain », jusqu’au 31 mars 2016 dernier, jour du vote par l’Assemblée Nationale de la loi du code des Collectivités territoriales, lesdites forces vives n’ont jamais cessé de stigmatiser le manque de vision et l’amateurisme de nos plus Hautes Autorités dans la mise en œuvre des slogans de campagne du Président IBK : « le Mali d’abord ! » « Pour l’honneur du Mali !», etc.
Car 7 mois après la prise de fonction du Président, on découvrit des dépenses inopportunes : achat d’avion pour satisfaire ces hommes d’affaires qui l’auraient aidé à prendre le pouvoir ; achat de matériel militaire occasionnant une surfacturation mirobolante donc des retro commissions incontestables. Des scandales similaires tout au long des deux ans et demi verront le jour, crescendo. Chaque matin éclate un lot de scandales tous aussi graves les uns que les autres, risquant de compromettre l’avenir de notre pays. Ainsi, les Maliens n’ont jamais pu se remettre de la souffrance causée par les coups de massue répétitifs assénés par le Président de la République et le gouvernement.
Face à cette situation qui se dégrade inexorablement, la résistance des forces vives n’a jamais cessé et n’a pas faibli non plus. Car, au fil des bourdes de la gouvernance, des regroupements de citoyens se constituent pour dénoncer la mauvaise gestion de telles ou telles affaires publiques émaillées d’injustice, de népotisme. A ce jour, en plus des Partis Politiques de l’Opposition en pointe dans cette lutte contre la mauvaise gouvernance, il y existe une forte mobilisation de la Société Civile constituée d’un très grand nombre d’associations et de mouvements citoyens. La presse n’est pas en reste car elle n’hésite pas à investiguer à la suite des lanceurs d’alertes.
A cette indignation populaire le Président IBK et son gouvernement répondent par le mépris et l’indifférence. On peut constater qu’en réponses données aux différentes interpellations et contestations, ils ont d’abord argué la diffamation et le manque de preuve sur les faits qui leur étaient révélés. Il en fut ainsi après la publication du premier mémorandum du Parena, 7 mois après l’arrivée d’IBK au pouvoir. Lorsque le FMI et La Banque mondiale ont donné de la voie et du porte-monnaie, des mesurettes ont été exhibées avec à la clé, le redéploiement des principaux responsables et bénéficiaires des surfacturations et autres magouilles. Certains sont vus à la télé dans des missions de haut niveau de l’Etat, et d’autres se la coulent douce avec les milliards empochés sans effort, s’ils ne sont pas nommés comme fonctionnaires internationaux. Cette situation d’impunité se généralise sans sourciller à travers tous les autres scandales qui se sont multipliés durant deux ans et demi.
C’est dire que les responsables de mauvaise gestion vivent en toute tranquillité sous l’ère IBK, lequel ne manque pas de défier ceux qui tentent de les inquiéter. Ainsi :
- Lorsque le Parena dénonce les multiples détournements de fonds publics et de mauvaise gouvernance, dans les affaires du « Boeing-Tomy », « Engrais frelatés », « 1000 tracteurs », « non-paiement des cotisations du Mali à L’ONU » et d’autres, ses dirigeants sont considérés comme des hasidiw, nyengow, « petit-monsieur », etc.
- Lorsque des dirigeants politiques respectables du CNAS-Faso hèrè, de l’URD, du FARE, etc. s’expriment sur des questions déterminantes de la Nation mettant en garde contre les dérives préjudiciables à la Cohésion nationale et à l’Intégrité territoriale, ils sont méprisés par le silence et l’indifférence du Président et de son gouvernement. Au mieux on les jugera d’aigris et de chercheurs de strapontins ministériels.
- Lorsque des Citoyens conscients organisent des rassemblements périodiques pour se faire entendre ou diffusent des tracts à Paris, ils sont tout simplement ignorés ou insultés et considérés comme de vulgaires empêcheurs de puiser dans des caisses publiques ou de savourer les délices d’une visite d’Etat au bord de la Seine.
- Lorsque certains journaux publient des faits concernant des scandales et dénoncent les auteurs présumés, on juge utile de les menacer ou d’acheter leur silence et leur connivence, car dit-on « au Mali tout s’achète ». Le réseau de l’intelligentsia « Malilink » est dans le collimateur car jugé très prolifique et surtout impertinent notamment sur le comptage des voyages présidentiels.
- Lorsque le BIPREM porte plainte contre le chef de l’Etat en personne, cela est considéré comme un crime de lèse-majesté. Dans cette démarche il faut aussi y voir un acte d’expression de dépit et de souffrance profonde d’une partie de la population, qui ne sait plus « à quel saint se vouer » !
Le Peuple Malien à travers chacun des acteurs précités réclame en vain la justice et l’assainissement de la gestion publique. L’Etat est incapable d’amorcer la moindre transformation permettant de donner un espoir aux citoyens. Pire il se fourvoie !
A ce jour des initiatives se multiplient pour tenter d’infléchir la position du Président et l’obliger à opérer des choix politiques bénéfiques pour l’ensemble des fils de ce pays et pour la pérennisation de cette Nation héritée des pères fondateurs de la République.
Les forces vives sont prêtes à se battre pour que les problèmes du Mali trouvent leurs solutions entre Maliens ; et que soit instaurée la Justice républicaine capable de juger les fossoyeurs de la République qui sont entre autres: des terroristes criminels et violeurs, des agents administratifs corrompus auteurs de malversations financières à tous les niveaux de l’Etat, des hommes politiques véreux, des trafiquants d’influence et de drogue de toute catégorie de la population.
Il est loisible de constater la prolifération des manifestations citoyennes pour le changement de Cap de l’actuelle gouvernance. Toutefois, le délitement de ces initiatives et les actions isolées ne sauraient arriver à bout du refus actuel du Président IBK et de son gouvernement d’entendre les interpellations des forces vives. Plus sont éparses les forces vives, moins elles seront prises au sérieux.
De la Majorité à l’Opposition politiques, de la Société Civile aux Médias et tous les Citoyens debout, s’il y a un minimum qui fédère les multiples fronts existant ou en gestation ce doit être le sauvetage de la République et de ses Institutions. Alors il faut réaliser l’unité sous cette bannière unique afin de renforcer la vigueur et la crédibilité de la Résistance contre la déliquescence du pays et pour le redressement de la Nation malienne. Peur sur le Mali un et indivisible, une Organisation isolée ne saurait sauver le pays !
Mahamadou Cissé, Paris
1-mahamadou Cissé aurait dû écrire qu’il est le patron du parena en France
2-mahamadou Cisse veut qu’ IBK les invite à venir manger .Lisez juste la fin de son intervention :”une Organisation isolee ne saurait sauver le pays”
yugu, comme le president IBK n’est pas a’ Paris, il faut bien qu’on lui envoie le nouveau tract par le canal de maliweb.Que faire quand le petit Mr Mahamadou Cisse de la section URD de Paris, decide de continuer dans la voie de la betise? Le contraire m’aurait etonne’ de la part d’un CISSE! COMME VOUS LE SAVEZ, LES CISSE SONT PAR DEFINITION DES IDIOTS!!!
Inchallah la deuxieme partie du tract sera publie’e tres prochainement! Il est signe’ par Djibril Koita de la section PARENA FRANCE!!!
Mahamadou, tu reviendras a’ Bamako pour aider ton president 17%, Soumi-perdant a’ redresser le Mali!!!!
WALAY JE SUIS ENTRAIN DE RIRE!!!!
Une bonne contribution à l’analyse de la Situation. Si la tendance dans le comportement du Président continue la chute est inéluctable avec risque de rechute de l’État du Mali.
Nous devons nous mobiliser pour mieux gérer la chute et nous éviter la rechute de l’Etat.
A l’impossible nul ne peut être tenu responsable de sa chute
Rendez-nous Bruno!
NFPPPPPPPPPPPPPPP , REVIENS ! 🙂
POURQUOI?
IL VIT UNE DEPRESSION TRES PROFONDE PARCE QUE LE VIEILLARD KARDJIGUE’ LAICO TRAORE’ A ARRACHE’ SA COPINE SANGARE’!!!!
Un autre Cisse-IDIOT qui ne sait pas de quoi il parle!!!!!!
Continuez à flatter le Flemmard de Président, adore ça. 😀 😀 😬
Fifion vous avez tout dit. Qu’est ce que ces apprentis opposants ont dit ou fait qd ATT vendait le pays?
Merci Mr CISSÉ pour cette analyse lucide sans complaisances ni passions. 😎 😎
Ce que j’aime en ce système IBK est l’implication de tous les Ceptocrates de la République. Je ne doute pas un instant du soulèvement et quand ça balaye cette fois-ci, le nettoyage sera complet. 😀 😀 😬 😬
VIVEMENT UNE RÉVOLUTION !!
🇲🇱 🇲🇱 🇲🇱 UN PEUPLE __ UN BUT __ UNE FOI 🇲🇱 🇲🇱 🇲🇱
:223love: :223love: :223love: :223love: LE MALI SURVIVRA À SES FOSSOYEURS !! :223love: :223love: :223love: :223love:
Monsieur Cisse c’est uniquement par respect que je donne ma petite opinion à toute cette cabale contre le Président IBK. vous avez dit ici opposition? Ce que vous semblez oublier est que ces opposants qui aujourd’hui tirent à boulets rouges sur le chef de l’état sont comptable de le situation qui prévaut dans notre pays pour avoir été tous proche de Monsieur ATT. je ne me souviens pas avoir entendu un de vos opposants proposer quoi que ce soit quand le pays touchait le fond et quand nos militaires n’avait que comme mot d’ordre repli tactique. Laissez donc Monsieur IBK travaillé et dites à vos chantres de la démocratie de la fermer car ce sera au peuple de juger si ce que fait le Président est bon où mauvais pour le Mali.
Et où était IBK lui-même au temps de ATT,
Il était Président de l’Assemblée Nationale, la deuxième personnalité de l’État quoi.
Fifion, avez-vous oublie’ que Mahamadou Cisse’ etait le meme idiot qui avait ecrit un tract contre le president durant sa visite en France???????
CE N’EST PAS FACILE D’ETRE LE PRESIDENT D’UNE REPUBLIQUE QUI COMPTE PLUSIEURS IDIOTS COMME MAHAMADOU DANS SES RANGS!!!!!
Nous savons tous que les opposant maliens ne sont là que pour saboter la gouvernance du président IBK pour ensuite salir son image.
Mais il faut qu’ils comprennent que le peuple malien qui a fait confiance en ce monsieur lui fait encore confiance et le soutiendra dans toutes ses bonnes action qu’il ne cesse de poser à son endroit.
Merci président et vive le Mali développé.
IBK est vraiment le Président que le Mali attendait depuis longtemps.Il est là et fait honneur à tous les bond MALIENS.Merci Président pour toutes ces réalisations qui feront le bonheur de ton peuple.
Un bon Président c’est celui qui aime son peuple,
Un bon Président c’est celui qui fait tout pour que son peuple vive dans de bonnes conditions,
Un bon Président c’est celui qui fait mains et pieds pour trouver des investisseurs pour construire son pays,
Un bon Président c’est IBK car il réunit en lui toutes les qualités sus citées.
Merci Président pour tout ce que vous faite pour notre pays.
Les pays,dans l’histoire de leur évolution cherchent toujours des hommes capables.Et très souvent ces hommes arrivent de manière providentielle.C’est le cas de notre IBK. En effet depuis son accession au pouvoir le pays est partout en chantier et le tout est couronné par un accord de paix longtemps attendu par les MALIENS.
Que les détracteurs laissent ce monsieur travailler en paix pour notre bien.
Merci Président…
Le développement du Mali a été mis en mal à un certain moment de son histoire.Dieu merci,depuis Bientôt trois ans nous avons un président qui travaille pour rattraper ce retard.Mais si certains opposants opportunistes n’ont pas encore compris cela et veulent nous foutre la Merd.e,ils trouveront le peuple sur leur chemin.
Merci à IBK pour ce qu’il fait pour le Mali…
Un Peuple-Un But-Une Foi telle est la devise cette nation.En effet, IBK en est l’illustration:
IBK pense Peuple;
IBK a un seul but le développement du Mali;
IBK a une foi celle de voir un Mali retrouver son lustre d’antan…
IBK fait vraiment honneur au peuple qui a placé sa confiance en lui le votant à plus de 77% de l’électorat.Le peuple doit être en ce moment très fier du boulot qu’il fait chaque jour pour le bonheur de ses concitoyens.Vive IBK,vive le Mali.
Il n’est pas du tout facile que les gens voient le travail que tu fais lorsque tu trouves le pays dans une situation dans laquelle le président IBK a trouvé le Mali.
Mais nous devons savoir que ce monsieur est celui qui a réussi à redonner à notre pays le respect qu’il avait perdu aux yeux du monde entier.
Merci président pour votre leadership et continuez dans ce sens…
Le président IBK est celui qui a réussi à faire en moins de trois ans ce que ces prédécesseurs n’ont pas réussi à faire en deux mandats.
Nous devons donc lui faire confiance pour la suite de son mandat car il a un très bon programme pour notre pays.
Tout le monde sait dans ce pays les conditions dans lesquelles le président IBK notre Mali après la gestion catastrophique du Mali et le passage des militaires.
Mais ce monsieur se bat comme un beau diable pour redonner au Mali tout son lustre d’antan st nous devons le soutenir dans ce sens.
Je juge que la gouvernance des 3 ans et quelque mois passés résulte à bilan très positif, parce que lentement et surement, commençant par la base étape par étape IBK mène un travail très remarquable. Les détracteurs essayent de tromper la conscience et l’opinion publique en leur faveur dans le seul but de nuire au régime en place.
« Il n’y a pas plus aveugle que celui qui refuse de voir ». IBK et son staff son au four et au moulin pour sortie notre pays de cette crise qui persiste depuis des années. IBK n’est pas le fautif, non loin de là. IBK est le sauveur. Sa politique de gouvernance et de sortie de crise est et restera la meilleure si toute la population malienne s’engage pour soutenir tous les actions gouvernementales et être en complicité parfaite avec le régime en place.
IBK a le mandat du peuple jusqu en 2018 si i vous etes vraiment des democrates venez chercher ce mandat en 201 8 et vous mr Cissé presentez vous personnellement aux elections legislatives ou presidentielles c est tellement simple.
La gouvernance d’IBK quoi qu’on dise reste la meilleure. Malgré la charge de son programme de la campagne présidentielle de 2013, il est encore confronté à d’autres problèmes plus colossaux que prévus. Le Président de République est déterminé et attentif pour redresser le pays. Les détracteurs essaient de tromper l’opinion publique, pour en tirer profit, mais le peuple reste indifférent face à cela.
Le Président de la République met tout en n’œuvre pour épanouir son peuple en trouvant le plus tôt possible des suites favorables aux nombreux maux dont le pays est confronté depuis les régimes précédents. IBK n’est pas à indexer si nous devons chercher des coupables aux maux qui persistent de nos jours. Il a été élu pour résoudre la situation surtout la situation politico-sécuritaire dans le septentrion malien et aussi trouver des solutions de sortie favorable dans cette crise multidimensionnelle, en plus ses résultats sont salutaires.
Quel que soit les propos sataniques des détracteurs, IBK reste toujours vérace puisque par ses compétences, il demeure toujours l’homme de la situation. L’homme qui vaut à la place qu’il faut. Il a seulement besoin du soutien de la population qui l’a élu avec plus 78% de voix, ainsi ensemble nous pourrons sortie notre pays de cette crise existentielle. Le président n’est pas le seul malgré qu’il soit le chef de l’Etat, toute les souches de la société sans exception ont leurs mots à dans reconstruction du pays.
Je ne prends pas partie pour IBK, mais depuis son arriver le pays commence légèrement à se développer, délicatement mais assurément, il est en train de redresser le pays. Il est vraiment l’homme de la situation soyons honnête. Il peut gérer le Mali comme il se doit, il a la compétence nécessaire. Sa politique de gouvernance reste la meilleur mode gérance approprié pour sortir notre pays de cette crise.
Je pense qu’il est trop tôt pour tirer une conclusion raisonnable de la gouvernance d’IBK là où nous sommes. Il est élu pour 5 cinq ans et ce n’est qu’après ces toutes années passées qu’on pourra tirer toute conclusion résumant de sa propre vision. Malgré, tout cela vue la situation actuelle, je pense que la gouvernance est en train de se redresser lentement. Si les régimes passés avaient fait comme celui d’IBK le pays n’en serait pas plongé dans cette crise multidimensionnelle.
Assez reflechi,
Je probleme est que pouvoir et opposition soit du pareil au même. juste le pouvoir et le pouvoir et rien que le pouvoir . Parce que l’opposition n’apporte RIEN DE constructifs et divise encore plus. Le pouvoir a les mains mises sur tout.
Avons nous besoin d’un autre chaos? Je crois NON. Mais le pouvoir doit toujours pour regsgner toute la confiance perdue depuis plus 25 ans. Ce n’est pas une tache facile parce que depuis plus de 25 ans ces mêmes caméleons vampires qui rodent autours et continuent de sucer le peu de sang qui reste du peuple malien .
Alors ils/elles sont avertis.
La gouvernance d’IBK est une gouvernance salutaire, depuis l’arrivée d’IBK au pouvoir le pays est en train de se relevé lentement mais surement. Le pays était dans une crise sans précèdent la politique de gouvernance touche toute les multiples crises de ce pays.
Je pense que toute cette histoire est une histoire de dupe vis-à-vis de la population malienne. Le BIPREM a pour seule but tromper la conscience public en leur faisant croire que c’est un combat d’intérêt général et mais alors que ce combat est un combat d’intérêt personnel c’est-à-dire pour créer seulement que le buzz au sein de la population.
Je ne dirai pas que ce dont les fronts sociales réclament n’est plus ou moins pas important mais je pense qu’il faut mettre d’abord les intérêts général avant tout.
je pense que les fronts sociales doivent prendre leur mal en patience, vue la situation dont traverse le pays on ne peut faire ce genre de revendication. Le gouvernement est au courant de cela et les fronts sociale auront tous quoi de droit.
Un président a beau avoir des projets de développement si le moment n’est propice il ne pourra pas les mettre en jeu. Devant une circonstance inopportune, ses ennemis cherchent toujours à lui attribuer un bilan négatif. Le temps n’a pas été au rendez-vous avec IBK aux moments qu’il a fait au pouvoir.
Les militants de l’association ayant porté plainte contre IBK devant la HCJ pour haute trahison doivent tous être poursuivis pour diffamation contre la personne de la première institution de notre république, Ibrahim Boubacar Keïta. C’est une contre plainte qui sera déposée pour laver l’honneur de la première institution, le président de la république.
L’association qui a déposé une plainte contre le président de la république pour haute trahison doit être assignée devant la justice pour haute trahison. La plainte en question est remplie de propos diffamatoires envers la personne du président.
Une plainte pour diffamation, menace contre la sureté de l’Etat, déstabilisation de l’autorité du président de la république, j’en passe, mérite d’être portée contre l’association qui s’est permise de porte plainte contre la première institution de notre démocratie pour haute trahison. On ne doit pas humilier une institution de la sorte.
Si ces gens se sont permis de s’attaquer au président de la république avec des allégations non fondées c’est parce qu’il y a trop de libertinage dans ce pays. La liberté d’expression et le principe de libre accès à la justice sont en train de devenir des obstacles pour nos mœurs. Je veux qu’une plainte soit portée contre les hauts cadres de cette association ayant humilié la première institution malienne sur les scènes, nationale et internationale. A commencé par son président qui a apposé sa signature sur la plainte.
La gouvernance d’IBK est sans reproche pour le moment, après deux ans et demi de gestion. Si on se réfère aux réalisations qu’il a faites depuis son arrivée au pouvoir, je trouve qu’il a fait mieux plus que tout autre ex-chef de l’État. Comme nous le savons tous, IBK a déployé tous les efforts immenses pour la signature d’un compromis de paix et de réconciliation nationale. Cette signature marque la sortie de crise.
Certes les difficultés jalonnent la gouvernance d’IBK. Le Mandé Massa est venu en période exceptionnelle comme l’avance le journaliste dans son article, à savoir au moment où le pays était jusqu’au cou pris en otage par une rébellion. Malgré cette situation défavorable à toute réalisation, il est quand même parvenu à la signature d’un accord de sortie de crise pour n’évoquer que cela. Ce seul acte donne un caractère favorable à son bilan. Sans la paix rien n’est possible dans un pays.
J’invite M. Cissé à rester optimiste. Inch’allah IBK remontera les défis comme il l’a fait avec la rébellion. Tout le monde sait qu’il n’est pas facile d’être appelé à gouverner un pays qui traverse une crise multidimensionnelle. Déjà certains projets ont été réalisés, telle que l’attribution des 1552 logements sociaux.
Le malien digne et fier de ce nom trouve le bilan de la gouvernance l’actuel locateur de Koulouba très favorable pour le Mali. L’un des actes qu’il a posé prouve cela. Il s’agit de la signature de la convention pour la paix et la réconciliation nationale parmi tant d’autres. Elle a permis de sauver notre État contre la dislocation. Dieu merci aujourd’hui on a regagné presque tous nos partenaires. Il a adopté une loi de programmation militaire. Ce qui est une première au Mali. Franchement, je ne pense qu’IBK soit un mauvais président pour notre Mali de cette période de crise.
Le président de la république a fait ce qu’aucun autre chef de l’Etat démocratiquement élu dans ce pays n’a pas pu faire. Cela ne me surprend pas non plus. Je me souviens de son slogan pendant les campagnes présidentielles : le Mali d’abord ; Pour l’honneur du Mali et pour le bonheur des maliens. Ce slogan est confirmé par les actes qu’il a posés. Son bilan est sans doute bon, après deux ans et demi de gouvernance. .
Qu’Allah le tout puissant aide et protège notre très cher Mali, car personne ne verra venir le soulèvement populaire qui se profile à l’horizon; il nous prendra à dépourvu.
NB: IBK doit être à l’écoute des plus vulnérables et des sans voix pour sauver le Mali de cette situation, mais pas ses soi disant conseillers.
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