Accusé à tort d’être le représentant de Qnet au Mali, l’honorable Amadou Thiam met fin à la polémique et évoque à une machination purement politique.
A la faveur d’un point de presse qu’il a animé mercredi, le député Amadou Thiam a vivement et fermement battu en brèche les allégations à son sujet dans l’affaire Qnet. Très précis, il a démontré qu’il n’est ni celui qui a installé Qnet au Mali, ni son représentant ou encore moins un de ses actionnaires.
Qnet mène des activités au Mali depuis 7 ans et les liens qui existent avec la société et Amadou Thiam se résument à une prestation : “Les liens entre Qnet et moi sont exclusivement d’ordre consultatif”, a-t-il expliqué. Et de faire cas du travail des indépendants de Qnet : “Les gens qui mènent les activités de Qnet ne relèvent nullement de moi”.
D’ailleurs, cette entreprise n’est pas la seule qui s’attache les services de M. Thiam : plusieurs sociétés minières et multinationales collaborent avec lui de par ses compétences managériales. En effet, sa société DMC-Africa est spécialisée dans le conseil en communication, le tourisme, entre autres activités.
A l’analyse des propos du plus jeune député de l’hémicycle, il s’agit sans nul doute d’un complot politique et d’une manœuvre dilatoire visant à ternir son nom, sa réputation et son honneur auprès des citoyens. “Nous avons compris que certains cherchent à nous atteindre. Nous soupçonnons des hommes politiques derrière cette cabale”, a-t-il lancé.
Illustrant cette animosité à son égard, Amadou a faisait référence à son combat contre la révision constitutionnelle. “J’ai été 2e vice-président à l’Assemblée nationale, j’ai laissé mon poste, le véhicule, l’argent, les missions et mes avantages”, a-t-il rappelé. “Pour éviter le chaos à mon pays et défendre son intégrité et ses valeurs citoyennes”, précisera-t-il.
Pourquoi avoir attendu tout ce temps avant de réagir ? M. Thiam dira que toute réponse à une attaque diffamatoire mérite d’être sereinement et justement apportée à son heure. Preuve s’il en est avec cette accusation infondée qu’il y a une véritable machine enclenchée pour faire taire ou éliminer un opposant engagé, déterminé, donc gênant.
Pour mémoire, il est rappelé qu’évoluant dans le marketing de réseau, Qnet a été agréé comme sponsor de la Can-2019. Cette organisation a sans doute vérifié la légitimité professionnelle et la fiabilité financière de cette multinationale.
A. M. C.
Il a battu en brèche… il balaie d’un revers de main… accusé à tord… il a convaincu.
Rien que pour ces expressions et ces professions de foi du journaliste dans ses papiers, on est en droit de se demander si ce n’est pas d’articles commandités. Hier un autre journaliste avait fait un travail en se limitant de donner les versions du député sans réel partie prise.
Mais, A.M.C affirme avec autorité que le député a raison et que ce sont ceux qui l’accuse de connivence avec une telle société qui ont tort. Dans cette version de l’article la portée de la consultation et la période de celle-ci ont disparu. Étrange!!
Pourquoi cherche t il à se défaire de la société, son client?
Voilà un autre **** qui n’assume pas ces faits. Tout le Mali sait que ***m a pris une part active aux activités malhonnêtes de Qnet. C’est lui qui en a fait la publicité aux maliens. Et aujourd’hui il nie toute application. Il dit être simple consultant pour Qnet. Je me demande alors en contrepartie de quoi il a été consultant.
Il veut se cacher derrière la politique pour *** Personne ne veut l’abattre politiquement. Seulement les maliens qu’il a convaincu de souscrire à cette escroquerie lui en veulent à mort. C’est le rôle de la presse de le faire savoir. Qu’il réponde donc de ces actes.
**** QNET IL RIEN DE POLITIQUE **
Monsieur le journaliste, votre parti pris est trop flagrant.
Faite vous honneur et faite semblant d’etre Impartial.
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