Portée sur les fonts baptismaux le week-end dernier au terrain “Bélier” de Lafiabougou, l’Association jeunesse et alternance entend inscrire ses actions dans la protection des valeurs sociétales du Mali. “Nous disons non aux injures proférées à l’égard de nos responsables via les réseaux sociaux”, a déclaré Amadi Sangaré, président de l’association.
Née de la concertation entre jeunes de Bamako pour donner une orientation plus efficace et un élan plus constructif à la jeunesse malienne, l’Association jeunesse et alternance entend s’affirmer sur le terrain de la défense des valeurs de la société malienne.
Par la voix de son président, la nouvelle association pointe du doigt les dérives constatées sur les réseaux sociaux.
“Nous disons non aux insultes proférées à l’égard de nos responsables via les réseaux sociaux, ces responsables n’étant autres que nos pères, nos mères et amis car nous sommes un peuple”, a rappelé le président Amadi Sangaré. Avant d’en appeler au respect des institutions étatiques et les responsables dûment mandatés à les diriger.
Et le premier responsable de l’association de s’insurger contre l’utilisation de la violence comme moyen de revendication. “Nous sommes des jeunes qui sont conscients des efforts de nos aînés et qui se préparent à la relève, autrement dit des jeunes qui disent non à la violence physique et verbale pour se faire entendre”, a-t-il clarifié.
Ainsi, il a invité la jeunesse consciente à se joindre à elle pour la protection des biens publics et de nos valeurs ancestrales. Cependant, l’Association jeunesse et alternance s’est dite prête à revendiquer, à dénoncer et à protester en toute responsabilité dans le respect du droit et de la morale.
L’occasion était également propice pour le président Sangaré de remercier le président de la République pour sa décision de surseoir à la révision la constitutionnelle. “Nous disons un grand merci au gouvernement pour sa décision sage et élégante d’avoir mis fin aux supputations et atermoiements quant à la tenue du referendum”, a-t-il déclaré.
Oumar B. Sidibé
NOUS LE DISONS PIA…!
Ibrahim Bóoh Kassa dit IBK A BEAUCOUP DE MORTS SUR SA CONSCIENCE. IL PARTAGE CE CRIME AVEC TOUS CES RESPONSABLES LACHES ET LARBINS COGÉNITAUX, SANS REGARD D’ AGE.
DES ” BOUAH” LACHES ET INDIGNES EXISTENT BEL ET BIEN, ILS NE SONT PAS DE NOTRE CULTURE AUTHENTIQUE, MAIS DES INVERTÉBRÉS FORMATÉS ET AIMÉS PAR LA FRANCE.
Va attaquer ceux qui insultent vous êtes tous jeune non choses jamais produite au Mali si c’est pas la génération d’aujourd’hui de grâce ne remuer plus les plaies après la sagesse et l’apaisement du Président de la République
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