Le développement de tout pays passe par l’auto-suffisance alimentaire. C’est pourquoi le gouvernement de la République du Mali qui a fait du secteur de l’agriculture le moteur de la croissance a signé avec le Fond Africain de Développement trois conventions portant sur un montant total de 26 milliards de FCFA. Le protocole de signature a eu lieu lundi dernier à l’hôtel des finances sous l’égide du ministre de l’Economie et des Finances, Mme Bouaré Fily Sissoko.
Les nouvelles autorités de Bamako ont fait de la lutte contre la pauvreté la priorité des priorités, d’où l’intérêt pour le monde rural .Pour matérialiser cela, la BAD vient de signer avec le Mali trois conventions d’un montant total de 26 milliards. Dans son intervention le ministre de l’Economie et des Finances, Bouaré Fily Sissoko dira que ce protocole d’accord revêt une double signification, il montre qu’entre le Mali et les institutions financières internationales c’est le parfait amour et ensuite que l’intérêt que le Mali porte pour le secteur rural n’est pas de la surenchère.
« C’est avec un réel plaisir que je viens de signer avec vous ces trois accords de financement à travers lesquels votre institution accorde au gouvernement du Mali un financement global d’environ 26 milliards » a affirmé la patronne de l’Hôtel des Finances. A signaler que le financement global est composé, entre autres d’un prêt de 3 millions d’unités de compte du fonds Africain de Développement (FAD), d’un autre de 10 millions d’USD du Fonds Spécial du Nigeria (FSN), administré par la BAD et d’un don d’un montant de 37, 21 millions d’USD du programme Mondial pour l’Agriculture et la Sécurité Alimentaire (GAFSP), supervisé par la BAD.
Pour Mme Bouaré Fily Sissoko, ce geste traduit une fois encore la volonté de cette institution financière à appuyer le Mali dans ses efforts de développement économique et social. Avant de poursuivre : « le déficit nutritionnel moyen de la population rurale était de l’ordre de 43,6% en 2010. La réalisation de nouveaux aménagements hydro-agricoles en zones OHVN et la consolidation d’infrastructures d’irrigation existantes au niveau du périmètre de l’OPIB, grâce à leur relative proximité avec la capitale, offrent une opportunité d’approvisionnement de la ville en produits vivriers », confie-t-elle. Et d’affirmer que le projet en intervenant aussi dans la région de Koulikoro contribuera à pallier les déficits prévisionnels de production des régions nord du pays affectées par la crise sécuritaire. Aussi, a poursuivi le ministre, la mise en place et la consolidation d’aménagement hydro-agricole dans les plaines délaissées constitueront des opportunités pour la création d’emplois et le développement de services adaptés impliquant le privé.
Pour la représentante résidente du groupe de la BAD, Mme Hélène NGARNIM – GANGA , ce projet est un bel exemple de coopération de la part des bailleurs, à l’en croire , il réunit ,en effet, trois entités . A savoir, le fond Africain de Développement et le Fond Spécial du Nigeria qui font tous deux parties du groupe de la BAD mais également le programme mondial pour l’agriculture et la sécurité alimentaire. Pour la représentante de la BAD : « ce projet s’inscrit dans la stratégie d’appui à la gestion de la transition 2013-2014 du Mali dont l’objectif principal est de contribuer à renforcer la résilience des populations vulnérables affectées par la crise de 2012 et de jeter les bases d’une reprise plus solide de l’économie », a-t-elle laissée entendre. Avant la fin de la cérémonie la patronne de l’économie Malienne, Bouaré Fily Sissoko a promis que tout sera mis en oeuvre pour que les fonds arrivent à destination et à temps.
Badou S.Koba
On devrait mertte les pauvres dans des camps, c est leur faute s il n y a pas plus de riches Perso, je ne paye pas le RSA et je ne touche pas le RSA. Je ne paye aucun impf4t (si ce n est ceux cache9s dans les prix des consommations courantes) et je ne touche aucune aide sociale d aucune sorte (je refuse la se9curite9 sociale, le privile8ge des riches occidentaux), je n ai pas non plus les conge9s paye9s, je ne suis pas salarie9 et je n ai pas d horaires de travail. Mais, en revanche, je suis plus libre que beaucoup (je travaille en fonction de la me9te9o et pas plus de 20 h par semaine), je vois la liberte9 et le temps libre comme les plus grandes des richesses. Bien sfbr c est un choix de vie et il faut vraiment vouloir eatre libre sans de9pendre des autres.Ca me fait beaucoup rire de voir les riches et les pauvres se plaindre et se de9tester mutuellement, les uns comme les autres profitent au maximum d un syste8me qui les canalisent de A e0 Z sans jamais les rendre pleinement heureux ou satisfaits de leur vie.Aussi les riches frane7ais se plaignent mais ils sont les premiers e0 be9ne9ficier des aides sociales (notamment la se9curite9 sociale), ils sont les plus gros consommateurs de me9decins et de me9dicaments dans le monde Il n y a pas de pauvres en France. Ici on peut vivre sans aucune aide sociale avec 600 euros par mois. Les vrais pauvres sont dans d autres pays. La France est un pays de riches se plaignant de ne pas gagner assez (on devrait limiter les salaires e0 2000 euros par mois)
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