O Kawsar polluée : Le droit de réponse appartient à la NBB

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Suite à notre article sur la péremption des O KAWSAR consommées par des journalistes qui en sont tombés malades, au lieu d’un droit de réponse qu’aurait pu  demander la NBB, c’est à une réplique par presse interposées que nous avons eu droit. Nous persistons et signons le contenu de notre article et enseignons par le présent  l’élémentaire du principe du droit de réponse à nos confrères de » LA REVELATION ».

«  LA REVELATION ! » Que dieu guide tes pas  vers ce qui  te regarde ou te  concerne ! Amen.

Le droit de réponse est un recours existant dans certains pays, dont le Mali. Il permet à une personne physique ou morale  qui a été citée dans un journal de soumettre au média en question un message de réponse sur le même support qu’il aura l’obligation de publier.

 Il existe des droits similaires dans d’autres pays, mais il est loin d’être uniformisé[].

La réponse, qui doit être demandée dans les trois mois à compter de la publication de l’article ou de la diffusion du message concerné, est en principe publiée dans des conditions comparables à l’article original. La réponse doit se présenter dans le même corps typographique. L’éditeur doit accepter une réponse de même taille que l’article faisant l’objet du droit de réponse, il est libre d’accepter ou non un texte d’une longueur supérieure. Les droits de réponses peuvent être publiés dans la même rubrique que les articles incriminés, ou dans une rubrique spécialisée (certains journaux placent les droits de réponse aux côtés des courriers des lecteurs).

Ce bref rappel est malheureusement adressé  à notre confrère « LA REVELATION » hebdomadaire d’information générale qui se veut l’avocat défenseur de la NBB.  La révélation, plutôt, la réaction du commerçant d’espace publicitaire pardon… de ce journal à notre article contribue plutôt à renforcer  la pollution de l’eau déjà périmée de  l’entreprise NBB.

 Si  le promoteur de ce  journal se veut le chargé de communication de la NBB,  ce spécialiste devrait plutôt conseiller à l’entreprise qui lui accorde un contrat annuel de publicité, de passer par la voie régulière pour réclamer au journal CIWARA INFOS la publication du droit de réponse, version de la NBB sur la consommation de son produit qui a rendu malades des journalistes.

Ayons le courage de nous assumer !

Aucun autre journal de la place n’a publié un article parlant de la diarrhée et du vomissement des journalistes ayant bu de L’O KAWSAR périmée.  « CIWAERA INFOS »  s’assume,  il s’en réclame l’auteur  et détient la preuve du contenu de son article.

Loin de nous  l’intention de vouloir rependre une rumeur, folle fut elle, pour on ne sait quelle fin. Le journal « CIWARA INFOS » ne produit ni ne vend de l’eau ou si il devait le faire, cette eau ne serait ni polluée ni périmée car nous avons du respect pour la santé des malien qui, après tout, sont nos premiers consommateurs sans lesquels nous n’existerons pas.

La longue littérature qui traite le contenu de notre article de fausse nouvelle n’altère en rien notre information. Il n’est pour nous ni plus ni moins qu’une suite non logique de citations du technicien dont on évalue l’expérience à 17 ans mais qui  malheureusement se trouve être ingénieur en machines et appareils de production et non chimiste et non médecin.

« LA REVELATION » peut il  cité le nom d’un seul journaliste ayant pris part à la conférence de presse et qui dirait n’être pas au courant d’un quelconque problème de diarrhée et de vomissement ?  Certainement pas mais « CIWARA INFOS » de son conté  peut en citer plusieurs  dont le président de la Maison de la Presse et même montrer l’étiquette qui prouve la péremption des produits consommés.

Ça suffit l’escroquerie 

 

Dans cet article nous mettons sous silence les agissements du promoteur du journal « LA REVELATION », non moins conseiller à la communication qui a pris de l’argent avec NBB pour le distribuer à tour de bras aux animateurs de certaines radios la somme de 25 000 f CFA (vingt cinq mille francs)  pour les faire taire. En accord avec ces animateurs dont nous taisons les noms, nous publierons leur témoignage dans notre prochain numéro.

Toutefois nous ne  saurons taire les suspicions (à vérifier) qui pèsent  sur le promoteur de « LA REVELATION » selon lesquelles, il serait lui-même, à l’origine  de l’ébruitement de ce « montage sur fond de sabotage et de dénigrement à l’endroit de  la NBB »   pour  soutirer de l’argent à son partenaire sous prétexte de gérer ses confrères de la radio en excluant ceux des journaux.

Argent, quand tu nous tiens !

La rédaction

 


Makan Koné, président de la Maison de la  presse :
« Je confirme, l’O Kawsar de Madiou Simpara était périmée »

Dans notre métier, le journalisme, certains ne roulent que pour l’argent sale. Ils transforment les vraies informations en mensonge au profit des riches commerçants qui n’ont d’autre souci que de faire proliférer leurs affaires. C’est le cas de Daba Tounkara de Radio Jèkafo quand nous avons titré le Jeudi 20 Mai dernier à la « Une » de votre journal : « Maison de la Presse du Mali : O Kawsar périmée provoque le vomissement et la diarrhée chez les journalistes ».

En bloc et sans détour, Daba Tounkara, la brebis galeuse et l’indélicat griot attitré du commerçant de Dabanani Madiou Simpara, nous a répondu dans son journal «Le Révélateur». Mieux, il nous a insultés dans sa « revue de presse » sur Jèkafo.

Que s’est-il passé ?

Le mardi 18 mai 2010, les journalistes en conférence de presse à la Maison de la Presse, ont consommé de l’eau Kawsar, 120 bouteilles de 0,5 litres toutes périmées (18/03/2010), voir photo. C’est qui a provoqué chez la cinquantaine de journalistes, le vomissement et la diarrhée sans fins. Notre réaction n’a été que de mettre sous presse cet article en montrant le mécontentement du président de la Maison de la presse du Mali, Makan Koné, qui, soucieux de la santé de ses journalistes, a décidé de porter plainte contre la firme NBB de Madiou Simpara. Ce qui a créé une peur bleue chez le riche commerçant.

Daba Tounkara payé pour nous insulter

Dans le monde de la presse, tous les journalistes connaissent l’escroquerie et le chantage que fait Daba Tounkara en longueur de la journée. Nos articles de presse sont quotidiennement transformés par cet indélicat animateur qui est prêt à vendre ses enfants pour de l’argent. Quand nous avons publié l’O Kawsar périmée, un technicien de NBB du nom de Seydou Koné a tenté de noyer le poisson dans l’eau. « Ce n’est pas possible que Kawsar soit périmée » dit-il. Ce qui est faux ! Au Ciwara nous détenons des échantillons de bouteilles périmées qui ont causé la maladie diarrhéique à la cinquantaine de journalistes. Ainsi, sachant bien que nous détenons la vraie information qui risquerait de fermer l’usine Eaux minérales de Madiou Simpara, à la place du droit de réponse, Madiou a payé Daba Tounkara pour démentir notre information et nous insulter de vive voix.

Quant à notre part, nous n’allons pas insulter Daba dans nos colonnes, parce que tout simplement nous sommes des nobles. Nous n’allons pas insulter Daba, parce que nous sommes des journalistes de formation. Nous n’allons pas insulter Daba Tounkara parce que nous ne sommes pas au service des riches commerçants et nous avons une dignité à préserver (la bonne éducation de famille).

Makan Koné confirme notre information

L’incontournable président de la Maison de la presse est fâché contre Daba Tounkara. Le griot déclare dans sa revue de la presse qu’il a contacté Makan qui lui aurait dit que l’eau n’était pas périmée. « Faux ! » réplique le président Koné. « Depuis le début de l’affaire, je n’ai pas vu Daba Tounkara de mes yeux. Dire qu’il m’a contacté relève de la manipulation » ajoute le grand défenseur de la presse malienne, Makan Koné. Il confirme la péremption de l’eau minérale Kawsar, « Mais le 18/03/2010 marqué comme date de péremption est visible sur les bouteilles. Alors qu’est-ce qu’on veut insinuer ? » Se pose-t-il la question. S’agissant des journalistes tombés malades suite à la consommation de l’O Kawsar périmée, Makan affirme qu’il les a reçus dans son bureau et qu’une plainte sera bientôt portée contre NBB pour avoir causé cet acte odieux.

Rien, ni Madiou Simpara encore moins son griot attitré Daba Tounkara ne nous fera dérouter de notre rôle, c’est-à-dire donner la vraie information aux citoyens exposés à consommer O Kawsar périmée de NBB. Une société dirigée par l’une des épouses de Madiou Simpara, Madina Tall.

A suivre…

Le guide
 

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