Mme Fatouma D. Seid, Représentante Résidente de la FAO au Mali: «Le Mali a déjà réduit de moitié la prévalence de la sous-alimentation dans sa population dans le cadre des OMD»

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Mme Fatouma D. Seid, Représentante Résidente de la FAO au Mali
Mme Fatouma D. Seid, Représentante Résidente de la FAO au Mali

Originaire de Djibouti, Mme Fatouma D. Seid est la Représentante Résidente de la FAO au Mali depuis 2013. A l’occasion de la Journée Mondiale de l’Alimentation (JMA), célébrée chaque année le 15 octobre, 22 Septembre lui a tendu son micro, pour qu’elle nous parle des activités et des missions de l’organisation onusienne pour l’alimentation et l’agriculture dans notre pays.

Qu’est ce que la FAO?

La FAO, de l’acronyme anglais de Food and Agriculture Organisation of the United Nations, est l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture. Elle joue le rôle de chef de file dans les efforts internationaux de lutte contre la faim et la malnutrition dans le monde.

La FAO, dont le siège est à Rome, avec des Bureaux dans les différentes régions du monde, est au service à la fois des pays développés et des pays en développement. C’est également une tribune neutre, au sein de laquelle tous les pays se réunissent sur un pied d’égalité pour négocier des accords, conventions et normes et débattre de politiques et stratégies en lien avec l’alimentation et l’agriculture, incluant l’élevage, la pêche, les forêts.

La FAO est également une source de savoir et d’informations sur ces domaines. Elle aide les pays en développement et les pays en transition à moderniser et à améliorer les pratiques agricoles, forestières et halieutiques, pour garantir une bonne alimentation et une bonne nutrition pour tous.

Depuis sa création, en 1945, elle a consacré une attention particulière au développement des zones rurales, où vivent plus ou moins 70% des populations affectées par l’insécurité alimentaire et nutritionnelle dans les pays en voie de développement.

La FAO dispose d’une représentation permanente au Mali depuis 1979. Elle a fourni une assistance à l’ensemble du secteur de l’alimentation et de l’agriculture, ce qui comprend un appui aux principales politiques et stratégies, au développement technique et au renforcement des capacités. A la suite des crises alimentaires et des troubles intérieurs – aggravés par des catastrophes climatiques – les activités récemment menées en coopération ont été axées sur les secours d’urgence et l’aide au relèvement.

Nos interventions visent à assurer la sécurité alimentaire et à rendre les moyens d’existence ruraux plus résilients, en transformant l’agriculture en un secteur productif de l’économie malienne.

La 35ème édition de la JMA a été célébrée cette année sous le thème «Protection sociale et agriculture: Briser le cercle vicieux de la pauvreté rurale». Pourquoi ce choix?

Malgré des progrès importants, nous sommes toujours confrontés au problème de la faim et de la pauvreté – même en période d’abondance. Certes, la croissance économique, en particulier dans l’agriculture, a été essentielle pour faire baisser les taux de pauvreté et de la faim. Mais cela ne suffit pas, parce que, trop souvent, cette croissance n’est pas inclusive.

Le Mali n’échappe pas à cette réalité. Conscients de ce fait, de nombreux pays en développement ont mis en place des mesures de protection sociale – offrant régulièrement aux populations un soutien financier ou en nature, ou l’accès aux programmes d’entraide – étant convaincus que ce sont les premières actions nécessaires pour lutter contre la pauvreté et la faim.

Maintes études ont montré que les programmes de protection sociale ont réussi à réduire la faim et la pauvreté. Rien qu’en 2013, ces mesures ont permis à quelque 150 millions de personnes de sortir de l’extrême pauvreté.

La plupart des populations en situation d’insécurité alimentaire et nutritionnelle sont des familles rurales, dont les repas quotidiens et les moyens de subsistance dépendent de l’agriculture. Pour ces petits exploitants familiaux et travailleurs ruraux, c’est souvent une question de survie immédiate.

Ils n’ont d’autres choix que des approches à faible rendement en matière de génération de revenus, avec peu d’investissement dans l’éducation et la santé de leurs enfants et sont souvent contraints d’adopter des stratégies d’adaptation négatives, telles que la vente de leurs actifs, la mise au travail des enfants ou la réduction de la consommation alimentaire, pour réduire les dépenses.

Ils sont pris au piège des stratégies de survie et la pauvreté et la faim deviennent leur seules issues. Nous pouvons changer cela, car nous savons aujourd’hui que des transferts d’argent aux ménages pauvres, ne serait-ce que de petites sommes, peuvent, lorsqu’ils sont réguliers et prévisibles, servir d’assurance contre ces risques, qui ont tendance à les dissuader de poursuivre des activités plus rentables, ou qui les conduisent à adopter des stratégies négatives de réduction des risques.

La protection sociale permet aux ménages pauvres et vulnérables de faire des prévisions à long terme, leur offrant l’espoir et la capacité de planifier pour l’avenir. Les preuves existent qui montrent que la protection sociale augmente à la fois les activités agricoles et non agricoles, en renforçant les moyens de subsistance et en améliorant les revenus.

La protection sociale favorise également davantage d’investissements dans l’éducation et la santé des enfants et réduit le travail de ceux-ci. Elle augmente le pouvoir d’achat des pauvres et est aussi un moyen pour les collectivités d’avoir accès à plus d’infrastructures et à d’autres ressources – par exemple, des systèmes d’irrigation construits dans le cadre des activités argent contre travail.

La plupart des pauvres vivant dans les zones rurales et dépendant toujours de l’agriculture, l’idée de conjuguer protection sociale et programmes de développement agricole est indiscutable. Tout ceci explique le choix du thème de la Journée mondiale de l’alimentation 2015.

Quels sont les objectifs et missions de la FAO et sa vision?

Tout d’abord, les objectifs visés par la FAO sont ceux que ses Membres lui ont fixés et découlent de la vision et du mandat de l’Organisation. La vision de la FAO est celle d’un monde libéré de la faim et de la malnutrition, dans lequel l’alimentation et l’agriculture contribuent à améliorer le niveau de vie des populations, notamment des plus pauvres, et cela de manière durable, en termes économiques, sociaux et environnementaux.

La FAO entend en cela contribuer aux trois Objectifs mondiaux des Membres:

– Réduire le nombre absolu de personnes souffrant de la faim et bâtir progressivement un monde offrant à tous la possibilité de disposer à tout moment d’une nourriture suffisante, saine et nutritive, leur permettant de satisfaire leurs besoins et préférences alimentaires pour mener une vie saine et active;

– Eliminer la pauvreté et favoriser le progrès social et économique pour tous, en augmentant la production alimentaire, en favorisant le développement rural et en pérennisant les moyens d’existence;

– Gérer et utiliser de manière durable les ressources naturelles, y compris la terre, l’eau, l’air, le climat et les ressources génétiques, au profit des générations présentes et futures.

Pour y parvenir, la FAO poursuit les 5 Objectifs stratégiques suivants:

  1. Contribuer à l’élimination de la faim, de l’insécurité alimentaire et de la malnutrition
  2. Intensifier et améliorer de manière durable l’apport de biens et de services issus de l’agriculture, de la foresterie et des pêches
  3. Réduire la pauvreté rurale
  4. Permettre des systèmes agricoles et alimentaires plus ouverts et plus efficaces aux niveaux local, national et international
  5. Améliorer la résilience des moyens d’existence face à des menaces ou en situation de crise.

La FAO a-t-elle atteint ses objectifs dans le monde en général et au Mali en particulier?

Même si ces objectifs n’ont pas été atteints à 100%, de gros efforts ont été consentis et des résultats positifs ont été enregistrés dans cette voie. En tant que communauté mondiale, nous avons fait de réels progrès dans la lutte contre la pauvreté et la faim dans le monde au cours des dernières décennies.

La plupart des pays suivis par l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture – 72 sur 129 – dont le Mali, ont atteint la cible des Objectifs du Millénaire pour le développement consistant à réduire de moitié la prévalence de la sous-alimentation dans leurs populations à l’horizon 2015.

Parallèlement, la proportion de personnes vivant dans l’extrême pauvreté dans les régions en développement a aussi considérablement baissé – de 43% en 1990 à 17% cette année.

Le Mali a compté parmi les pays invités lors de la Conférence Générale de la FAO, en Juin dernier à Rome, pour recevoir des mains du Directeur Général de la FAO le prix qui lui a été décerné. Le Président de la République, SE Ibrahim Boubacar Keita, et le Ministre du Développement Rural, ainsi que d’autres personnalités, étaient présents à Rome à cette occasion.

Quelles sont les difficultés auxquelles la FAO est confrontée aujourd’hui dans la réalisation de ses objectifs?

Elles sont de natures diverses, sans être insurmontables. La principale difficulté réside dans la faible volonté politique qui prévaut encore dans le monde au niveau des hautes autorités pour s’engager résolument dans l’élimination de la faim et de la pauvreté.

Cela se traduit par la faiblesse des ressources affectées au développement de l’Agriculture et de l’Alimentation et à la lutte contre l’insécurité alimentaire et la pauvreté. La FAO a elle-même connu, ces 20 dernières années, une véritable cure d’austérité au regard des ressources qui lui étaient affectées par ses Membres.

A côté de cette situation, on note, entre autres, des facteurs comme l’instabilité des prix des marchés internationaux, les changements climatiques, les conflits et crises divers travers le monde.

Combien de personnes souffrent de sous-alimentation dans le monde aujourd’hui?

La sous-alimentation est l’état, se prolongeant au moins un an, durant lequel une personne ne parvient pas à se procurer assez de nourriture pour satisfaire les besoins énergétiques alimentaires quotidiens. La FAO définit la faim comme un synonyme de sous-alimentation chronique.

Au plan mondial, environ 800 millions de personnes souffrent toujours de la faim chronique et près d’un milliard de personnes restent prises au piège de la pauvreté extrême.

La FAO a-t-elle les moyens de sa politique?

Comme déjà souligné plus haut, les moyens dont dispose la FAO sont étroitement liés aux ressources que ses Membres mettent à sa disposition. D’importantes ressources sont mobilisées à cet effet, mais des efforts tout aussi importants restent encore à fournir.

Pour conclure, je répondrais que la FAO met à disposition des pays membres son expertise et son savoir-faire à travers le monde, mais qu’elle doit redoubler d’efforts pour mobiliser davantage des moyens pour mener à bien sa politique d’élimination à 100 % de la faim dans le monde.

Propos recueillis par Adama Bamba

Commentaires via Facebook :

46 COMMENTAIRES

  1. La FAO a une grande vision pour un développement durable et le gouvernement du Mali doit l’accompagner pour que ces rêves deviennent réalité.

  2. Moi je félicite en premier les efforts de notre gouvernement et je les encourages à continuer sur cette lancer. Grâce au gouvernement malienne le travail de la FAO est devenu plus crédible et objectif. Bravo au gouvernement malien.

  3. Je félicite la FAO pour tous ces efforts sur le sol malien. La population malienne ne peut que les félicités et les encourager à fait d’avantage.

  4. La lutte contre la faim et la pauvreté est l’une des luttes contre les quelles le gouvernement d’IBK a engagé une lutte plus décisive. Le gouvernement d’IBK devrait s’attendre plus ou moins à avoir du succès dans le domaine.

  5. La FAO est vraiment à saluer, c’est une des grande organisation qui tienne le coup quand sa ne vas pas.

  6. Je ne comprend pas pourquoi les journalistes et les opposants qui se disent patriote et professionnel dans leurs domaines et statut ne prennent pas leur courage des deux mains et féliciter le gouvernement malienne. Le gouvernement a accomplit un travail très salutaire et objectif, il doit être félicité par la presse et par les opposants qui se disent patriote.

  7. Le travail dont le président IBK est en train d’accomplir est très salutaire et il n’est pas aussi évident qu’il arrive a accompli tout cela. Vue la crise multidimensionnelle et existentielle dont travers le pays IBK arrive par plusieurs efforts et sacrifie à relever le défi. On ne doit pas le critiquer mais plutôt le soutenir.

  8. Que pense que cette résultat soulignés par la FAO prouve le bon fonctionnement de notre gouvernement. Le gouvernement malien aussi a œuvré pour que cela soit ainsi.

  9. Malien et fier de l’être, Mandé Massa je suis fier de vous. Tout homme qui a la baaraka de ses parents ne tombera jamais. Vos ennemis ont beau fait, ils ne peuvent pas vous nuire. Remercie vos parents chaque jour que Dieu fait surtout votre maman. Lieu de vous rappeler ce vieil adage de notre pays, l’être est le reflet de sa maman. C’est-à-dire le sort d’un être dépend de la nature de sa maman. Croyez-moi, votre maman a su être à la hauteur. Niyé denw féré sonkon kélén naa dimi bédo bafaka. Soundiata Chii IBK vous êtes différent de vos autres. Les jaloux finiront bien par vous acceptez, car Allah son nii mogo son tékelen yé. Malidenw djigui, la flamme de la paix et de la stabilité du Mali, les maliens vous seront à jamais reconnaissant IBK. Ko foyi tila, président lafia lenden.

  10. Vive le président IBK
    Vive le gouvernement malien
    Vive le secteur agriculture
    Vive le Mali un et indivisible

  11. Le plus formidable dans la gouvernance d’IBK est qu’elle est manifesté sur le plan national et même international. De succès en succès IBK sortira notre pays de cette crise multidimensionnelle.

  12. Cela ne m’étonne pas venant de la part de FAO, car nos dirigeants ont œuvré pour cela. Ils n’ont jamais baissé les bras, l’agriculture comme beaucoup d’autres domaines ont connu une vigoureuse hausse avec ce régime.

  13. Ce succès est dû à la bonne gestion du pays, il est clair que depuis son arrivée. Le président IBK a mis un accent fort sur le secteur agricole, chose qui a abouti à un résultat concret et crédible aujourd’hui.

  14. Seul le travail paie, ce résultat issue dans le milieu alimentaire est le fruit du dure labeur de nos gouvernants. Grace à eux le Mali reconnait une hausse incalculable dans le secteur agricole.

  15. Gloire à IBK et son gouvernement, avec eux le Mali ira très loin. J’ai confiance à ce régime, je sais qu’avec lui le Mali ne demeurera pas dans le sombre. Tout porte à croire que les choses progresseront d’ici la fin du mandat de Ladji Bourama.

  16. L’accession du Président de la République Ibrahim Boubacar Keita fut une gloire pour le peuple malien. Les soucis des maliens sont rentré dans le cadre de la réalisation. L’agriculture est l’une des priorités du chef de l’Etat.

  17. Enfin, une bonne nouvelle de plus, l’élection du président IBK fut une grande chance pour le Mali. Tout d’abord c’est le Fond Mondial International qui félicite notre pays pour son élan, maintenant c’est la FAO qui montre ces satisfactions. Braco au régime actuel.

  18. Le slogan pour le bonheur des maliens est confirmé. Le président Ibrahim Boubacar Keïta travaille pour le bonheur parfait des citoyens maliens. Nous sommes contents de voir note pays changer sa place de l’un des derniers pays les plus touchés par la faim et la malnutrition. 😆 😆 😆 🙄 🙄 🙄

  19. La FAO est vraiment à féliciter pour son travail au MALI, mais sans aussi oublié la bonne collaboration de notre gouvernement. Les maliens sont fier de tout ces progrès en Afrique et particulièrement au Mali.

  20. Merci aux autorités pour le succès qu’elles viennent de faire dans le domaine de l’agriculture. Ce résultat est illustratif du slogan “Pour le bonheur des malien” du président Ibrahim Boubacar Keïta. 😀 😀 😀

  21. Nous avons de quoi être fiers de nos dirigeants, leurs efforts fournis ne resteront pas vaines. A ce rythme le Mali fera dix pas en avant d’ici la fin du quinquennat du président IBK.

  22. Jamais notre pays n’avait un tel succès dans le domaine de l’agriculture. Je pense que le Mli va changer de place en avançant dans le classement des pays les plus touchés par la faim et la malnutrition. C’est déjà un succès pour le régime d’IBK. 💡 💡 😀 😀 😀

  23. Nous remercions les efforts de la FAO et notre gouvernement pour leur détermination. La journée réserver à l’alimentation est une bonne actions en particulier pour le Mali.

  24. Nous devons féliciter les autorités maliennes en général et celles du domaine de l’agriculture. C’est vraiment rassurant. 😀 😀 💡 💡 😆 😆

  25. Si le Mali a réduit de moitié la prévalence de la sous-alimentation dans la sous-région,cela veut dire que notre pays a su réduire le nombre de personnes atteint par la faim et la malnutrition. C’est une bonne chose pour note pays. 😆 😆

  26. La politique de bonne gérance d’IBK est la meilleur, car sur tous les plans possibles et nécessaires, IBK et son gouvernement sont entrain de battre son plein.

  27. Merci à la FAO et bravo au gouvernement malien. C’est grâce aux visions politiques pour l’éradication de la famine que notre pays a pu faire ce grant exploit. IBK la solution !!!

  28. Cette analyse de la représentante de la FAO est bonne et elle prouve que notre pays ne sera plus touché par la faim et la malnutrition. Merci à nos autorités en charge ainsi que le chef de l’Etat et tout son gouvernement. 😯 😯 😆 😆 😆

  29. IBK la solution, vous êtes l’homme de la situation, on vous sent sur tous les plans malgré que vous avez pris la tête de ce pays étant dans le gouffre, vous arrivez à prouver avec vos bonnes visions politiques.

  30. C’est bon résultat pour notre pays de réduire de moitié la prévalence de la sous-alimentation dans la sous-région. Cela est un plus pour le bilan du président de la république, Ibrahim Boubacar Keïta. 😛 😛 😀 😀 😀

  31. “Au plan mondial, environ 800 millions de personnes souffrent toujours de la faim chronique et près d’un milliard de personnes restent prises au piège de la pauvreté extrême.”
    Ces 800 millions de personnes sont nos frères et sœurs, ils doivent vivre comme nous et nous devons tous penser à eux.

  32. Je demande à tous les riches du monde d’aider la FAO dans ses luttes contre la famine à travers le monde. Merci à la FAO pour ses efforts au Mali et partout dans le monde.

  33. Dans le cadre de l’OMD, le Mali a été l’un des pays africains à relever le défis de la sous-alimentation dans la sous-région. Nous sommes en train d’emprunter le chemin d’un pays sans famine. 😆

  34. La FAO joue une très grande place dans le monde des hommes à travers ses actes 😀 😀 😀 Ses actes sont des armes pour la stabilisation du monde et l’amélioration des conditions de vie des hommes.
    – Réduire le nombre absolu de personnes souffrant de la faim et bâtir progressivement un monde offrant à tous la possibilité de disposer à tout moment d’une nourriture suffisante, saine et nutritive, leur permettant de satisfaire leurs besoins et préférences alimentaires pour mener une vie saine et active;

    – Eliminer la pauvreté et favoriser le progrès social et économique pour tous, en augmentant la production alimentaire, en favorisant le développement rural et en pérennisant les moyens d’existence;

    – Gérer et utiliser de manière durable les ressources naturelles, y compris la terre, l’eau, l’air, le climat et les ressources génétiques, au profit des générations présentes et futures.

  35. Le Mali a été l’un des rare pays a atteindre les objectifs du millénaire pour le développement. Donc cela ne m’étonne pas que le Mali ait un tel résultat dans le domaine de agricultrice. La famine sera bientôt bannie de notre État. 😆 😆 😆

  36. La FAO est à saluer pour ses efforts à travers le monde dans le combat de lutte contre la famine et le développement de l’agriculture.

  37. Ces données montrent que notre pays est presque au rendez vous du concert des grands. Quel résultat. Bravo au gouvernement.

  38. Ce résultat ne m’a pas du tout surpris dans la mesure où le ministre de l’économie et de finance de l’Etat, Mamadou Igor Diarra a été félicité par le FMI. Nous avons juste à faire à des autorités qui se soucient de notre bien. Nous les remercions infiniment pour tout ce qu’elles font pour ce pays. 😀 😀 😀

  39. IBK la solution 😀 😀 😀 😀 Voilà encore les fruits de votre politique pour la sortie du Mali de la crise. Bravo à vous et au ministre du développement rural.

  40. Malgré les difficultés conjoncturelles que notre pays connaisse depuis quatre ans, grâce aux politiques pour le développement rural et l’éradication de la famine du président IBK, le Mali vient de confirmer encore au sein de la FAO.

  41. Quelle nouvelle félicitation à nos autorités et particulièrement au ministre du développement rural et à monsieur le président de la république.

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