Le pain est un aliment composé d’une certaine quantité de farine mêlée d’eau, de sel, de levure industrielle, fermentée et cuite au four. On peut lui attribuer le pouvoir de donner à l’homme la force nécessaire pour accomplir un certain effort physique. Le pain, aujourd’hui, est devenu presqu’indispensable dans la majeure partie des foyers. Sauf que cette popularité n’est pas sans conséquence pour la santé faute de conditions requises dans la fabrication et la distribution.
A.K : « Je suis très heureux de pouvoir m’exprimer par rapport à ce sujet. Un soir, comme d’habitude, j’ai acheté 100F de pain avec une tasse de café. Pendant que je mangeais, j’ai constaté quelque chose d’étrange dans ma bouche. Après l’avoir retiré de ma bouche, je n’en revenais pas. Des fragments de bouteilles…c’est ce que j’avais dans la bouche. Aussitôt, j’ai regardé soigneusement le restant du pain que j’avais dans la main. Il y en avait un peu partout. J’ai voulu porter plainte, mais le vendeur m’a longuement supplié. Il m’a fait comprendre qu’il n’était qu’un vendeur et que c’était à la boulangerie d’assumer la responsabilité ».
B.D : « Le pain, j’en mange presqu’à chaque repas. Je sais très bien, que la condition de distribution est impropre, mais je n’ai pas trop de choix. Il m’arrive assez souvent d’en tirer des saletés, mais je ferme les yeux pour le consommer… ».
S.K : « Je pense qu’il est nécessaire de faire des campagnes de sensibilisation autour de ce sujet. Dans les radios, à la télé et au niveau de la presse écrite. Les gens doivent se réveiller et se donner la main pour lutter afin que les conditions de distribution du pain change. Plus jamais de moto mais uniquement des véhicules. Le pain est à la fois très important et dangereux ».
Ces différents témoignages illustrent, à bien des égards, la place du pain dans la vie des maliens. S’il s’avère aujourd’hui indispensable dans nos foyers, force est de reconnaitre qu’il peut avoir des répercussions très négatives sur la santé faute de meilleures conditions de fabrication et de distribution. Les consommateurs, fabricants et autorités publiques doivent, dans une synergie d’actions, créer les conditions requises pour l’encadrement hygiénique de cet aliment très important pour le malien lambda.
Idrissa KANTAO
ah ah a bon c’est aujourd’hui vous constatez.vous ne savez il y a aucune norme qui respecter au Mali. ki peut inspecter le groupe Aichar la DNCC, la DNI,les agences de la securité alimentaires, laboratoire nationale de la santé ou Association Malienne pour la qualité ki même pas le président de la république, c’est un pays qui est facile à influencer. Inspecteur dont vous parler tu sais comment il est rentré à la fonction et comment il est devenu inspecteur M. le journaliste? jamais un test de moralité et de la déontologie SVP, il y a jamais de norme à respect dans ce pays aucune traçabilité sur nos produits. Je vous pose la question Monsieur le journaliste combien de société industrielle qui suivre les normes au Mali et combien Organisme de normalisation au Mali uniquement dans les produits alimentaire. Vous le connaissez !!!
Ce pays ne pourra jamais avancer a tant on ne change nos mentalités et nos mode de vie. Avec tant de l’ignorance et la haine qui submerge dans notre pays.
CONSEILLER VIRTUEL
je pensais aussi que vous allez nous demontrer une etudes scientifique sinon le pain est petrie souvent par les deux pieds et la sueur du petreur alors sensibiliser les boulanger pour les conditins d’hygiene
En tt ca le pain malibourou est distubué n’importe comment a bko
je pense que ce que dit le journaliste est tres vrai…nous devons traqué les livreur en moto et brillé tt les sales pains
Idrissa KANTAO.Il ne peut en être autrement!Dans un pays comme le nôtre où
“s’achete et tout se vend” y compris les licenses des production et d’importation des produits frauduleux…Pourquoi les gens ne se procurent
pas de leurs machines à faire la baguette pour éviter d’ingerer des morceaux de bouteille? 🙄 🙄
en tout cas moi j’aime la bouillie
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