Un affrontement entre agriculteurs et éleveurs a provoqué plus d’une vingtaine de morts et un afflux massif de plus de 800 réfugiés dans les villages de Djengué, Djem et Ségué, dans la commune rurale de Banh située à une centaine de kilomètres de Titao, chef-lieu de la province de Lorum, au Nord du Burkina Faso.
En effet, le mardi 22 mai, un affrontement interethnique a opposé des Dogons à des Peulhs à Sari, un village situé en territoire malien, non loin de la frontière Mali-Burkina Faso.
Selon les témoignages recueillis sur place et les sources administratives, ces heurts ont causé plus de vingt morts et plus de 800 déplacés dans le territoire du Burkina Faso.
Une délégation burkinabè conduite par le Gouverneur de la région du Nord, Khalil Barra, est allée apporter un message de compassion du gouvernement burkinabé aux populations sinistrées et a invité les deux camps antagonistes à la retenue.
Selon le gouvernement il s’agit d’une histoire entre Peulhs du Burkina Faso et Dogons du Mali. Que les explications de ces heurts soient ou non convaincantes, il est urgent que les autorités des deux pays prennent des mesures immédiates pour éviter une crise de plus, voire de trop, surtout à un moment où la tension sociale a monté de quelques crans suite à l’agression perpétrée sur la personne du Président intérimaire Dioncounda Traoré par les partisans du Capitaine Sanogo.
Paul N’guessan
Va te pendre, car tu portes un nom de ce pays dans ton pseudo; DIALLO.
On a honte vraiment d’ être militaire,oh nos la patrie ou la mort quelle humiliation ,g v mourir que de porter le nom de ce pays,
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