Affaire de libération des présumés terroristes de peau blanche : Grève de faim généralisée à la Prison centrale de Bamako

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Maison d'arrêt de Bamako
Maison d’arrêt de Bamako

Ou va le Mali ? Cette question est revenue à plusieurs reprises sur les réseaux sociaux, entre les lignes des journaux et lors des marches de protestations contre la libération des présumés terroristes, dont la tête de proue Mohamed Ag Wadoussène, en échange de l’otage français Serge Lazarevic.  Ces coups de gueule semblent tombés dans l’oreille d’un sourd. Car, selon des sources bien introduites dans le milieu carcéral malien, après ce lot de prisonniers relaxés sans jugement, les autorités maliennes auraient récidivé dans leur forfait, par la libération sans jugement de tous les autres détenus Tamachek, Arabes, Maures… Tous simplement, les présumés terroristes de peau blanche. Une situation qui a fait monter la moutarde au nez des autres détenus, présumés terroristes, mais de peau noir : Bellah, Sonraï, Peulh… Lesquels ont observé une grève de faim, depuis plusieurs jours maintenant. Au motif de bénéficier des mêmes largesses que leurs collègues touaregs, présumés terroristes.

Aux dires de nos sources, après trois jours de grève de faim de ces désœuvrés présumés islamistes, afin que cette affaire ne soit pas étalée sur la place publique, des responsables de la DNAPES (Direction Nationale de l’Administration Pénitentiaire) ont accouru vers la Maison Centrale d’Arrêt de Bamako pour supplier les frondeurs prisonniers à mettre un peu d’eau dans leur vin, en attendant la passation de services entre l’ancien ministre Me Mohamed Aly Bathily et Mahamadou Diarra à la tête du département de la Justice. Une démarche qui n’a pas eu une issue heureuse, selon nos sources. Car, frustrés par les motifs de leur arrestation (certains estiment qu’ils ont été confondus à des islamistes, tout simplement par ce qu’ils se trouvaient en mauvais endroit lors de leur arrestation) et profondément blessés par cette action de discrimination par leurs propres autorités à leur encontre, ces prisonniers sont déterminés à mourir de faim, ou être libérés.

Les surveillants de prison dépassés par la tournure de ces événements n’ont pas voulu témoigné à nos micros. Cependant, il sied de faire par communiqué officiel, l’état des lieux des prisonniers Jihadistes en détention à la Maison Centrale d’Arrêt de Bamako.  Dans la même dynamique s’atteler à donner des explications sur les raisons réelles des récentes libérations,  notamment des touaregs armés, présumés terroristes.

Affaire à suivre

Nana Cissé

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5 COMMENTAIRES

  1. Does anyone have any delatis about Dong Dong’s death? Had she been ill? It would be nice to know if she had any medical issues, just like our doctors ask for our family medical histories. Bai Yun does look a lot like her mother! And her father, Pan Pan is still alive, although I think he is a year younger than Dong Dong.

  2. 😆 😆 😆 , vous avez le droit et j’etais le boss du blomba je m’enfoutrais et vous llaisserai mourrir…. comme cela il y aura de la place pour d’autres. Bandes de pervers, voleurs, criminels, assassins, pedophiles etc….. Le pays en fait un sacrifice et un grand pour aider notre partenaire la France, c’est tout. Si vous nous parlez de peua blanche et noire 😆 😆 😆 , especes de racistes en plus :mrgreen: .
    Vous allez rester la ou vous etes et vous passerez devant le juge et serez condamner en consequences de vos actes. C’est dommage que le Mali n’applique plus la Peine Capitale ( la Peine de Mort) alors cette derniere existe toujours dans notre code penal. 👿 . Bientot Nous allons organiser une marche pour l’application de la Peine Capitale (la Peine de Mort pour ceux qui le comprend pas :mrgreen: ) et forcer l’etat a son APPLICATION STRICTE. 😈 👿 .

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