«Durax lex Sed lex» «la loi est dure, c’est la loi» et «nul n’est au dessus de la loi». Si ces principes sont fondés au Mali, le juge Karambé serait bientôt devant le procureur de la République, près le tribunal de Première instance de la Commune IV du district de Bamako.
Des fait graves lui sont reprochés, des accusions graves pèsent sur lui. En effet, un collège d’avocats, agissant au nom et pour le compte du caporal Seyba Lamine Sangaré N° matricule 33103 de l’armée de terre en service à la CTE (Compagnie de transport et d’entretien) domicilié à Kati- Malibougou mais présentement en détention préventive au Camp 1 de la gendarmerie de Bamako suivant mandat de dépôt du 28 février 2014, a déposé plainte contre messieurs Yaya Karambé, juge d’instruction au 2ème cabinet du tribunal de Première instance de la Commune III (Pôle économique et financier), Bamba, sergent-chef de police, Drissa Kamaté, inspecteur de police, Alpha Yaya Sangaré, capitaine de la gendarmerie, tous domiciliés à Bamako et autres car la liste reste ouverte, pour les faits suivants :
– Tentative d’assassinat, violation de domicile, tortures, coups et blessures volontaires, arrestations illégales, enlèvement, séquestration, dommage à la propriété mobilière, voie de faite et complicité.
– Ces faits remontent à la nuit du 28 février 2014, lorsque vers 23 h, le juge Karambé et ses agents, le sergent de police Bamba, l’inspecteur de police, Drissa Kamaté, le capitaine de la gendarmerie, Alpha Yaya Sangaré et autres débarquent chez le caporal Seyba Lamine Sangaré qu’ils trouvèrent absents.
Ils somment son gardien de l’appeler par téléphoner, qui s’exécute, demandant à son patron de venir au motif que son mouton se meurt. Le caporal- qui aime certainement l’élevage sentimental- se précipite et arrive vers 23h 30 mn, accompagné de sa fiancée et les deux sœurs de celle-ci.
Stupeur, sa maison est cernée et investie d’hommes armés en tenue civile. Les cris de ses «2 belles sœurs», qui l’ont précédé dans la maison pendant qu’il garait sa voiture, l’alertent, mais trop tard. Le sergent Bamba surgit derrière lui et lui pointe son arme sur la nuque et l’invite à le suivre dans un coin discret de la maison. Le caporal résiste, une lutte s’engage entre les 2 hommes dont il sort vainqueur et se sauve. Mais c’était sans compter avec la détermination et l’acharnement de ses agresseurs.
De nouveaux cris des 3 femmes au secours lui font revenir sur ses pas. C’est alors que le même sergent lui tire une balle dans la tête qui le fait évanouir. Revenu à lui-même, il constate qu’il baigne dans une mare de sang, son gardien tenu en respect, la porte de sa chambre ouverte ainsi que toutes les portes, ses meubles saccagés, tout cela par le capitaine Alpha Yaya Sangaré et ses hommes sous l’œil vigilant du juge Karambé.
Les constats d’huissier de maître Kadiatou Coulibaly du 2 et 3 avril 2014 attestent les traces de sang du caporal et l’ampleur des dégâts matériels causés à son domicile.
Les avocats du plaignant rapportent que c’est paralysé et dans un état d’inconscience que le caporal Seyba Lamine Sangaré est conduit au domicile du juge Yaya Karambé, où il arrive vers 2 heures du matin à Hamdallaye. Trois véhicules ont constitué le convoi : une Land Cruiser occupée par le caporal et les hommes de main du juge, et qui contenait des piques et des pelles.
– Pour quelle fin ?
Une voiture bleue, par le juge lui-même et un 3ème véhicule qui suivait loin le peloton. Chez le juge d’instruction, pardon l’infirmier, une salle aménagée en dispensaire mais servant de cabinet pour le juge accueille le caporal. Là, il subit les interrogations du magistrat omniprésent, interrogations qui ont porté essentiellement sur ce que contenait son puits et sur tout ce qu’il savait du général Amadou Haya Sanogo et des affaires de ce dernier.
– Malgré les menaces, les tortures, les propositions alléchantes de stage dans un pays étranger, villa, argent ; la réponse du caporal est catégorique, unique et invariable : il n’y a rien dans son puits et il ne sait rien des affaires du général.
Visiblement, le juge dont l’acharnement contre Sanogo ne fait l’ombre d’un doute, tenait coûte que coûte à soutirer du caporal des aveux compromettant le Général.
Alors, devant la ténacité du soldat, il passe à la vitesse supérieure : prétextant de panser la plaie au niveau de la tête du caporal, plaie causée par balle, il lui fait administrer un produit injectable par un médecin. Dès lors, Seyba perd connaissance, ne sait plu où il en est ni combien de temps il a passé chez le juge Karambé, encore moins ce qu’il a pu raconter à ses tortionnaires. Ce n’est que dans les locaux de la Sécurité d’Etat (SE) qu’il recouvre ses esprits mais complètement paralysé. Là non plus, il ne sait si on l’a interrogé ou pas car son traitement à dessein à a continué.
Quand il commence à revenir à la lucidité, il se trouve dans une cellule de la SE, en compagnie d’autres détenus également torturés, notamment le maréchal des logis Aly Mahamane et le caporal Ahmed Sissoko à qui, le juge confie que Seyba les a dénoncés.
Décidemment, nous sommes dans un Etat de droit : les aveux sous tortures ou les aveux obtenus de quelqu’un en état d’ivresse ou d’inconscience constituent peut-être des pièces à conviction pour nos juges ou peut être ces méthodes sont consacrées par la loi.
Enfin, depuis la nuit de son arrestation, le 28 février 2014 à 23h 30 mn, ce n’est que le 24 juin, soit 4 mois, que le caporal Seyba Lamine Sangaré est conduit au cabinet du juge Karambé qui l’a placé sous mandat.
Les avocats du brave soldat se fondent sur les articles 3, 199, 200, 124, 207, 209, 237, 238, 239, 318, 24 et 25 du Code pénal pour porter plainte contre le juge Yaya Karambé.
A en croire ces spécialistes du droit et eu égard aux articles sus- cités, monsieur Karambé risque gros car il encourt des peines allant de 11 jours, un 1 an, 5 ans d’emprisonnement à perpétuité ou à la peine de mort en passant par une amende de 20.000 FCFA à 500.000 FCFA.
Chez le simple citoyen, profane en droit, les faits ici reprochés à monsieur Karambé et ses «collègues» suscitent inquiétudes, indignations et interrogations :
– L’arrestation d’un simple citoyen comme le caporal Seyba Lamine Sangaré exigeait-elle tous ces moyens déployés par le juge Karambé ?
– Aurait- il épuisé toutes les voies de droit pour déployer de tels moyens ?
– Le caporal Seyba aurait-il refusé de répondre à plus d’une convocation ?
– Le juge d’instruction ne pouvait-il pas déclencher son action aux heures de travail en vigueur au Mali 7h 30mn- 16h 30mn ?
– Pourquoi a-t-il choisi des heures aussi indues comme 23h 30 et 2 heures du matin ?
– Le domicile de monsieur Karambé est-il un cabinet, un cabinet judiciaire ou une maison d’arrêt ?
– Faire 4 mois de détention sans avoir accès à son avocat est-il légal ?
En tout état de cause, au Mali, si «nul n’est au-dessus de la loi», si un juge peut juger un autre juge, le juge Yaya Karambé risque gros dans cette affaire mais c’est le procureur de la Commune IV qui a du pain sur la planche.
Brin COULIBALY
une balle dans la tête et il s’evanouit… on nous prend pour des cons ou bien quoi. djoufara nounou
si les faits à lui reprochés sont averés, il risque gros car IBK tient toujours à la verité dans cette affaire
cher journaleux tu défends très mal seyba c’est vraiment lamentable de jouer à l’avocat du diable
tout simplement minable
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De la calomnies , des mensonges machines avec toutes des pieces , mais malheuresement ,il n’ya pas de pieces d’origines pour le mensonge , donc FRAGILES qui ne tiennent guere.
Certains AVOCATS du Mali comme on les appellent courament ( maitres DJENI KA GNIMI ) sont pres a tout , voir chez eux l’absence de la deonthologie en matiere d’avocature , helas ca fait honte et ca me fait honte et tres honte, certains porteur de ROBE NOIRS de mon pays .
Quand meme vous disposez tous les moyens de defendre vos clients INDEFENDABLES si je ne m’abuse pas , c’est la loi tout court qui le permet mais de grace ne faite pas recourt aux mensonges qui est ephemere , vous voir sans ALIBIS suivant la proliferations des BALIVERNES autres que des mensonges .
sachez que , vous pouvez vivre sans mentir tel est l’apange d’un bon AVOCAT eduque .
Nden kè e ye woulouden yerede! mais je suis pas ton pere geniteur!
Vous etes vraiment journaliste!!!
À Moro Mara et à Luis Camara de FUNÈS:
Il est clair que Mara, IBK, Oumar Mariko, Amion Guindo, Bouaré, Younousse Ahmed Dicko, Mountaga Tall, Blaise Mogotigui Sangaré, Cheick Modibo Diarra, sont entre autres politiciens et opportunistes qui ont, soit applaudi les voyous et délinquants du Kati, soit collaboré avec eux quand ils ont eu le toupet de s’attaquer à la constitution du 25 février 1992 et des institutions qui y sont issues conformément à la loi en vigueur au Mali.
Cette attaque contre la république et son système politique démocratique a été faite le 22 mars 2012 et n’a pas, à ce jour, été punie.
Ces opportunistes politiciens ou associatifs ont certainement oublié que c’est la révolution populaire de janvier et mars 1991 qui nous a permis d’avoir le multipartisme intégral au Mali et de mettre sur place un régime politique pluraliste et un état de droit garantissant les libertés fondamentales du peuple malien parmi lesquelles la liberté d’expression, d’opinion et la liberté de presse qui y va avec.
À cette époque, ni IBK, ni Mara, ni leur ministre de la connerie numérique n’étaient présents au Mali, et n’ont jamais rien fait pour l’éclosion des libertés au Mali.
Nous l’avons fait sans eux au prix de nos martyrs couchés dignement à Niar.ela et d’autres cimetières du pays, qu’ils reposent en paix car tant que nous sommes vivants leurs sacrifices ultimes ne seraient jamais vains.
I PROMISE THEM!
Le SADI, l’UDD, puis le RPM et le parti YELEMA, respectivement les partis ou anciens partis d’Oumar Mariko, d’Younouss Ahmed Dicko, d’IBK et de Moussa Mara (c’est à dire ceux-la mêmes qui ont applaudi ou aidé les délinquants de Kati quand ils attaquaient la république et notre constitution) ont été créés parce que la constitution du 25 février 1992 le permettait.
Et ça c’est l’œuvre de nos martyrs de mars 1991.
Les maliens s’expriment librement dans les radios, les télévisions, dans la presse écrite et en ligne parce que la liberté de la presse et la liberté d’opinion sont des droits constitutionnels des maliens depuis le 25 février 1992 quoique la presse privée existe depuis 1990 au Mali.
Nous n’avons pas compris et nous ne comprenons pas que, ceux-la mêmes qui ont bénéficié de notre système démocratique pour devenir politiciens, se mettent à le bafouer au profit d’un charlatan de Kati.
Le régime ATT et le régime Alpha, n’étaient pas des saints (loin s’en faut) mais ils étaient issus des élections conformément à la loi fondamentale au Mali.
S’ils ont enfreint à cette loi, c’est à la justice du pays de sévir et non une garnison militaire remplie de soldats analphabètes et abrutis qui ne connaissent rien du fonctionnement d’un État et qui sont même incapables de diriger une armée.
LA PREUVE:
Moins de 10 jours après leurs folie du 22 mars 2012, ils ont livré nos trois régions du nord aux voyous armés du nord.
ATT a été naïf et laxiste dans la gestion de l’armée et de la crise du nord, mais de janvier 2012 au 22 mars 2012, il n’a ni perdu Kidal, ni Tombouctou, ni Gao.
C’est bien Sanogo et sa soldatesque ivrogne qui les ont perdues et en moins de 10 jours s’il vous plait.
ATT a subi la défaite de Menaka, Andarraboukane, Léré, Aguelhoc, Tessalit, mais il n’a jamais perdu une grande ville face aux voyous armés du Mnla.
Moussa Mara et IBK, ceux-la mêmes qui copinaient avec les délinquants de Kati ou critiquaient les accords d’Alger de 2006 sur tous les toits, ont perdu en une matinée du 21 mai 2014, la grande ville de Kidal face aux voyous armés du Mnla.
ET IL N’ONT JAMAIS RECONNU CELA CAR VOULANT METTRE LA FAUTE SUR L’ARMÉE ALORS QU’ILS SONT RESPECTIVEMENT CHEF DU GOUVERNEMENT (donc patron du ministre de la défense) ET CHEF SUPRÊME DES ARMÉES AU MALI.
Ils ont supplié le président Mauritanien Ould Abdel Aziz, celui-la même qui hébergeait les membres du Mnla sous ATT, pour avoir un cessez-le-feu avec ce même Mnla en mai 2014.
Ils ont prié Dieu et le Mnla pour reprendre les négociations à Alger en juin 2014, alors que ce sont eux qui se plaingnaient des accords d’Alger de 2006 et fanfaronnaient en 2013 et 2014 que toute autre négociation sur la crise du nord de notre pays se tiendra au Mali désormais.
Ces menteurs professionnels d’IBK et de Mara auraient-ils oublié qu’Alger n’est pas sur le territoire malien?
Mais les esprits les plus tordus vont me dire:
“Eh Kassin, IBK est au pouvoir depuis 11 mois et il a trouvé le Mali sans armée”.
Comme disent les ados: LOL, (Mort de rire ou MDR)
C’EST FAUX ET ARCHI FAUX!
De 1991 à 2014,IBK au minimum a fait:
-1 an ambassadeur du Mali en Côte d’Ivoire (chassé par Houphët Boigny en personne).
-1 an conseiller d’Alpha Oumar Konaré à Koulouba
-1 an ministre des affaires étrangères du Mali
-6 ans (1994 à 2000) premier ministre du Mali
-5 ans (2002-2007) président de l’assemblée nationale du Mali.
-5 ans (2007-2012) député à l’assemblée nationale du Mali
-11 mois (presque 1 an) président de la république du Mali.
CELA FAIT 19 et 11 mois sur 24 ans que IBK est dans les hautes sphères du pouvoir au Mali.
Donc il est comptable et du régime de l’Alpha Oumar Konaré et du régime d’ATT à 100%.
Si l’armée malienne a été négligée ou détruite durant ces deux régimes précédents, IBK a indéniablement sa part de responsabilité la dedans et elle est énorme.
COMME SI CELA NE SUFFISAIT PAS:
En 11 mois de gestion de l’État depuis septembre 2013, il a fait pire que ces 22 dernières années en matière de gestion calamiteuse des finances publiques au Mali.
Il n’a aujourd’hui ni la confiance des partenaires financiers et techniques du Mali (FMI, banque mondiale, Union Européenne), ni la confiance des partenaires sociaux du Mali, l’UNTM a déjà annoncé une grève générale dans le pays.
MAIS QUAND NOUS DÉNONÇONS SES DÉRIVES ET SES FRASQUES AU POUVOIR IL NOUS ENVOIE UNE HORDE DE DÉLINQUANTS INTERNET POUR NOUS INSULTER JOUR ET NUIT.
Quand il a vu que cela ne marche pas et ne nous fait pas reculer, il veut par l’intermédiaire de son ministre CAMARA, de la CONNERIE NUMÉRIQUE, alias LUIS CAMARA DE FUNÈS (pour reprendre les termes de mon frère Moussa Ag, Soldat Raté de MW) pour essayer de museler la presse et la liberté d’expression au Mali.
LOL!
Mais ce guignol de Luis Camara De FUNÈS, ne sait pas comment nous avons fait la révolution de mars 1991 mais nous sommes hâtes de lui montrer comment on a fait partir le régime immobile et sanguinaire de Moussa Traoré et de ses valets sous les BRDM et par dessus bord les balles réelles sur la route de Koulouba (s’il vous plait).
Wa salam!
Brin COULIBALY,
Brin COULIBALY, avocat et journaliste à la fois s’est surpassé dans son article. Il est devenu SUPER ENQUETEUR en supervisant dans le détail l’enquête judiciaire du juge Karambé.
Sans aucun doute, selon son récit, l’avocat-journaliste a été, tout le long de l’investigation, un témoin oculaire de toute l’affaire…..KABAKO
ATTENTION !!! Brin. Tu “risque gros” à raconter de telle bêtise.
Vous n’avait meme pas honte de publier ce torchon avec ses contradictions et incoherences. Et a quel but?
Pour Me Karembé, comme le disait mon grand père (paix à son âme)”Don bè ngnana ô chi man cia”:si ces faits gravissimes sont avérés, ce n’est même pas la justice humaine qui se chargera du cas-Karembé, mais celle de dieu! Il ne serait d’ailleurs pas le seul coupable dans cette affaire grave de torture car les “contre-putschistes” avaient aussi des soutiens parmi les hommes politiques (SBM-Soumi…) qu’il faudrait interpeller puisque c’est bien ces derniers qui sont d’ailleurs à la base du soulèvement des militaires! 😉
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TOUJOURS DIEU … TOUJOURS DIEU … TOUJOURS DIEU….!!!!!
Donc … je dis …. QUE DIEU BÉNISSE LE GÉNÉRAL 4 GRIS GRIS ET LE MALI ….!!!! 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆
Moussa Ag,.. Des imbéciles qui se croyaient Dieu … et maintenant les super cons qui les ont encouragé pensent que Dieu est pour eux seulement …. 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆
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