Suite à la plainte, pour haute trahison, portée contre son excellence IBK, par le Bloc d’Intervention Populaire et Pacifique pour la Réunification Entière du Mali ( BIPREM), l’association ATTELAGIR FRANCE-MALI s’est dressée en défenseur du Chef de l’Etat. Elle s’insurge et condamne avec la plus grande fermeté ces accusations portées contre le Président de la République du Mali. C’était à la faveur d’un point de presse animé par Amadou Koné Jimmy, Président de l’ATTELAGIR et Makan Traore, le 12 mars 2016 à Hamdallaye.
Non seulement la plainte formulée contre IBK n’est ni fondée ni légale, mais plutôt déstabilisatrice, atteinte à la sureté de l’Etat, constate M. Koné.
Sinon, poursuit, M. Koné, comment penser au moment où le monde entier se mobilise pour le Mali avec la venue des représentants des 15 membres permanant du conseil de sécurité de l’ONU pour que le Mali retrouve sa stabilité et une paix durable et définitive, c’est en ce moment que des ennemis de la paix et de la cohésion sociale, ces vautours qui ont tout mangé autour du Général Amadou Haya Sanogo, ces propagandistes avérés qui pensaient que le Mali était un gâteau à partager, fassent une sortie aussi horrible.
Ils se ventent avoir soutenu Amadou Haya et en suite IBK tout en ignorant que nous sommes plus de 70% de maliens qui avons élu notre Président, ajoute M. Koné.
L’Association ATTELAGIR lance un appel solennel à tous les Maliens, un cri de cœur à l’union sacrée autour du Président de la République, son Excellence IBK dont les progrès qu’il a réalisé, des biens fait énormes et salutaires notamment, réussir à ramener la paix en moins de trois (3) ans tandis que sous d’autres cieux il a fallu 10 ans pour qu’ils retrouvent la paix.
Que tous les maliennes et maliens s’adonnent à leurs tâches:
Que le boulanger cuit son pain; que le cultivateur cultive son champ; mais que le tisserand n’aille pas faire le gendarme, que le pêcheur ne se transforme pas en magistrat…
Pour l’ATTELAGIR, le BIPREM ne demeure qu’une association comme tant d’autres qui ne peuvent pas se substituer en Assemblée Nationale, à la Haute Cour de Justice, au Vérificateur Général. Le BIPREM n’a nullement la capacité d’intenter une action en justice contre le Président de la République. Le BIPREM doit au contraire se soucier d’avoir honte de bafouer la constitution du 25 février 1992 de notre pays, d’avoir humilié tout le peuple malien.
Negus Traoré