Le changement était le mot d’ordre d’un peuple longtemps resté dans la routine, un peuple trahi par ses propres dirigeants. Ce peuple est bien sûr le peuple malien. Les maliens ont trop souffert dans leur histoire.
D’abord ce fut un régime dictatorial d’un certain Moussa Traoré qu’il a du endurer depuis plus deux décennies avec ses corolaires de l’aristocratie et de favoritisme.
Ensuite ce fut la gestion calamiteuse de l’Etat pendant deux décennies. Ces décennies n’ont brillé que par leur impunité, leur oppression du pauvre, le chômage, la scarification de l’école, la cherté de la vie et la paralysie de l’Etat. Pendant que les uns sont en train de mourir à petit feu, d’autres ont pour couverture des milliards. S’hasarder à vouloir tout citer serait se jeter dans une gymnastique périlleuse.
Pendant tout ce temps, le brave peuple s’il en est un, a supporté pour ne pas dire subi. Mais l’envie du changement se faisait de plus en plus présente.
Ainsi vinrent les événements du 22 mars 2012 que le peuple a salués dans sa grande majorité, croyant que c’était enfin venu le changement tant attendu. Un évènement qui allait tout changer et permettre au pays de repartir sur de nouvelles bases. Mais hélas ! Il fut vite réveillé de son sommeil. Les vieux démons étaient toujours en œuvre.
Enfin ce furent les élections présidentielles. Bien que les conditions ne fussent pas réunies, le peuple malien toujours dans la quête inespérée du changement sortit pour voter comme il ne l’a jamais fait auparavant. Le premier, puis le second tour, les urnes donnaient victoire à Mr Ibrahim Boubacar Keita alors président du RPM aujourd’hui président de la République. C’est vers lui que tous les regards étaient désormais tournés comme porteur de ce changement qui hantait tous les esprits. Le peuple a cru, il a même trop cru. Pour lui, le changement était proche, le changement était là, le changement était IBK.
D’aucuns diront qu’il est trop tôt pour un quelconque jugement, cependant le changement tant promu reste toujours un idéal. Les vautours d’hier font leur apparition sur la scène politique à la grande surprise de tout un peuple, les conditions de vie restent inchangées jusqu’ici, les rebelles continuent de régner en maître absolu dans le septentrion du pays toujours au grand désespoir de ce même peuple. La soif du changement que le peuple a toujours senti et l’idéal tant attendu se transforme peu à peu au supplice de tantale.
Amadingué SAGARA
Soloni pour Maliweb.net
LE PEUPLE MALIEN N’EST PAS ENCORE PRÊT POUR LE CHANGEMENT.
BCP DE GENS PARLE DE CHANGEMENT MAIS NOMBRE NE SAVENT VRAIMENT PAS DE QUOI ILS PARLENT, LE CHANGEMENT EN CLAIR C´EST CHACUN QUI DOIT SE CHANGER ET LA GRANDE QUESTION EST COMMENT, POURQUOI ET JUSQU´OÙ ? LE CHANGEMENT CACUN DOIT EN FAIRE LES FRAIS. SI NS NS CHANGEONS, NS CHANGERONS ALORS NOS SEMBLABLES ET AINSI DE SUITE LA SOCIÉTÉ MALIENNE SERA BIEN MEILLEURE. SI NS VOULONS NS POURRONS, SINON PERISSONS!
De 1960 à aujourd’hui, le Mali n’a eu qu’un seul président : MODIBO KEITA.
Le changement viendra d’abord de la population malienne.
Il faut que la population malienne choisisse des dirigeants intègres ayant une vraie volonté de changement des mœurs.
Exemple : en ce qui concerne la lutte contre la corruption et l’impunité, tout le monde parle de corruption mais personne n’est capable de la combattre chez sois ou dans son lieu de travail.
Au fil des années, la corruption et l’impunité sont devenues la seconde nature des maliens.
Les mauvaises mœurs se sont déjà greffées à la culture malienne.
Soit on les combat totalement sans pitié, soit on reste dans le cercle vicieux de la médiocrité, de la corruption et de l’impunité.
Une lutte ne se fait pas à moitié, soit elle est totale, soit elle est vaine.
De 1960 à aujourd’hui, le Mali n’a eu qu’un seul président : MODIBO KEITA.
Le changement viendra d’abord de la population malienne.
Il faut que la population malienne choisisse des dirigeants intègres ayant une vraie volonté de changement des mœurs.
Exemple : en ce qui concerne la lutte contre la corruption et l’impunité, tout le monde parle de corruption mais personne n’est capable de les combattre chez sois ou dans son lieu de travail.
Au fil des années, la corruption sont devenue la seconde nature des maliens.
Les mauvaises mœurs se sont déjà greffées à la culture malienne.
Soit on les combat totalement sans pitié, soit on reste dans le cercle vicieux de la médiocrité, de la corruption et de l’impunité.
Une lutte ne se fait pas à moitié, soit elle est totale, soit elle est vaine.
Excellente question!!! La réponse est entre les mains des maliens. C’est à eux de choisir entre les royaumes et les ténèbres. Il faut d’abord que les maliens acceptent d’aller à l’école, de ne plus se lancer dans la méchanceté gratuite, cultiver le respect entre les citoyens et la reconnaissance du mérite des dignes et valeureux maliens. L’hypocrisie, la malveillance (que d’autre appelle l’égoïsme ce qui n’est pas vrai), la culture du complot et le dénigrement inutile sans fondement de son prochain sont le quotidien. Rien qu’à lire les articles de presse du Mali, on comprend que la plupart est fondée sur l’émotion et non la raison. Humilié son semblable et le complexe face au plus fortuné, baisser sa culotte face à l’argent… tout est possible au Mali. Désolé mais en tant que malien, c’est ma réponse. Les dirigeants sont à l’image du peuple. Il urge qu’on retrouve nos valeurs.
Le problème au Mali ; est que nous sommes un peuple , l exception de tous les autres : très passif, très fataliste
Nos dirigeants , puisque issus de ce même peuple nous connaissent à merveille !
Il n y a personne, aucun organisme, aucune organisation étatique ou civile encore moins une population en alerte
Les politiques qui ne sont que des rapaces dans ce pays; ont la voie libre, font tout ce qu’ils veulent sans aucun contre pouvoir,aucune voie qui porte à la dénonciation
Le Malien reste indifférent rien ne le révolte
Rien ne se donne, tout se conquiert chers compatriotes, il va falloir se réveiller de ce long état léthargique
😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆
POUR AVOIR LE CHANGEMENT … IL FAUT ACCEPTER CHANGER SOI-MÊME D’ABORDS …LE PEUPLE MALIEN … DANS SON ENSEMBLE … EST LE PEUPLE DE TOUTES LES MAUVAISES HABITUDES …
ET CES MAUVAISES HABITUDES SONT DEVENU PARTIE INTÉGRALE DE LA CULTURE … DONC TRÈS DIFFICILE À CHANGER … MAIS PAS IMPOSSIBLE ….
LES DIRIGEANTS … SURTOUT CEUX QUI SONT ELU PAR LE PEUPLE … SONT À L’IMAGE DU PEUPLE …
Moussa Ag,… LES FRÈRES BAMBARA SERONT FIER DE MOI ICI … QUAND JE DIS …BINYEH KALAH GNINI BAKAH … SEN DAH LEN DOH BINYEH KALAH KAN … FÖH NI ALLAH YEH ANW KOUNAH DIAH … 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆
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“”””””””””””””A quand le changement ? Le peuple malien en quête perpétuelle du changement.””””””””””””””””
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MOUSSA AG a toujours raison !
Mais il risque de devenir une cible MOUSSA AG !
……d’abord …pour éviter la “combine”…”les arrangements de cousinage ” , “les arrangements avec les juges ” …il faudrait peut etre supprimer les manguiers ……? ? ? 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 Encore que …..si çà se trouve ,personne , à ce jour à ma connaissance , ne sait si la mauvaise infuence vient du manguier male ( chargé de testostérone )ou du manguier femelle …… 😆 😆 😆 😆 😆
…….ALORS ?
Eventuellement , pour s’éviter l’arrachage de tous les manguiers , mais plutôt arriver à déterminer celui qui convient aux « rassemblements sous bonne influence » , et éviter les « rassemblements sous mauvaise influence » , il faudrait peut etre déterminer le ou les « males » ( dans la cour commune ) …..et le ou les « femelles »……. faire quelques tests , quelques moyennes et hop !
Bon ……..pour déterminer le sexe du manguier ……
Pas compliqué ……. Prendre un jeune homme de 13 ,14 ans , plein de sève …..
Lui dire de serrer le tronc du manguier très fort dans ses bras ……..deux minutes ……
L’interroger IMMEDIATEMENT , avant qu’il ne desserre l’étreinte .
SI C’EST DUR , L’ARBRE EST UN « MALE »
SI C’EST HUMIDE , L’ARBRE EST UN « FEMELLE »
Arretez vos conneries avec la recherche du « pollinisateur » ……çà c’est pour faire travailler les labos …..
DOCTEUR COCO .
😆 😆 😆 😆 😆
MOUSSA AG ……..DOCTEUR COCO donne des pistes …… 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆
wai il faut bien se demandé quand y aura changement?
La meilleure façon de faire bouger ce pays , en déphasage et putréfaction avancée est de le mettre sous tutelle d’une puissance étrangère , et ré-coloniser ce pays ou laisser AQMI et MUJAO rentrer à Bamako!
Un peuple insouciant et complaisant ne mérite que la cravache ou le gourdin , je me demande q’attend des pays comme le BURKINA et la MURETANIE voire même l’ALGERIE pour dépecer ce pays qui n’existe que de nom? 👿 👿 👿 👿 👿 👿 😯 😯
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