29 janvier 2016-29 janvier 2017 : Une année sans nouvelles du journaliste Birama Touré

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29 janvier 2016-29 janvier 2017. Cela fait une année que Birama Touré, journaliste –reporter à l’hebdomadaire « Le Sphinx » a disparu dans des conditions mystérieuses. Où en est l’enquête pour retrouver notre confrère ? Est ce une de ses nombreuses enquêtes à la malienne? Des enquêtes ouvertes juste pour la forme et classées sans suite! Que font concrètement les différentes associations de presse malienne pour retrouver Birama ? Même si aucune hypothèse n’est à exclure, devons nous continuer à nous taire jusqu’à ce qu’on soit le prochain à disparaître ? Allons-nous continuer à travailler dans ces conditions d’insécurité totale? Hélas ! Dans cette affaire, il y a trop d’interrogations et peu de réponses.
La redaction

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  1. Dans un pays où pour des raisons personnelles les intellectuels peuvent défendre des crimes comme DIAGO sous le prétexte fallacieux qu’il y a eu Aguel Hok, chaque communauté devrait être consciente de sa fragilité et chercher à assurer sa survie en sa manière mais hélas. Au MALI et plus généralement en Afrique on a tendance à oublier que le destin communautaire doit primer sur le personnel et c’est ce qui a fait de nos pays les derniers de toutes les bonnes courses de ce monde. Les journalistes Maliens savaient pertinemment que dans un cas comme celui de leur confrère BRUNO, le sort de la victime dépend des réactions de premiers jours. Au lieu de battre le pavé comme ça se fait partout ailleurs, ils ont préférer siroter leur bière en espérant le mieux pour la victime. Maintenant qu’il est plus que probable que le pauvre a été éliminé parce que les crapules ont eu assez de temps pour cela, et que ses bourreaux semblent avoir pris goût, car maintenant c’est DRAME qui est le prochain sur la liste, ils veulent nous sortir des réactions timides non signées.

  2. Je rappelle que Oumar doumbia est pris par la police, il faut lui demander si birama Touré n’est pas parmis ses victimes. Qu’il est le courage de soulager la population au moins, sinon , nous ne pouvons pas comprendre qu’une personne à bamako puisse disparaître pendant tout ce temps sans nouvelle.

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