Le Mali démarre la deuxième phase de la transition devant poser les jalons du Mali nouveau. Pour relever ce défi herculéen, le nouveau président de transition souhaite avoir avec lui le principal mouvement de contestation, le M5-RFP. Un souhait qui concorde avec l’exigence de la Cédéao.
L’instabilité politique et institutionnelle serait-elle devenue atavique au Mali ? En moins d’une année, deux coups d’État. Après la chute du régime Ibrahim Boubacar Kéïta, le 18 août 2020, une transition de dix-huit (18) mois avait été installée, mais qui tombe comme un château de cartes juste après neuf (9) mois d’existence. D’une transition dirigée par des civils, comme l’avait exigé la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (Cédéao) après le départ d’IBK, le Mali se retrouve finalement dans une transition dirigée par un militaire, après l’arrestation de Bah N’daw et Moctar Ouane, le 24 mai, puis leur démission, le 26 mai 2021.
Ce que vaut le M5 à la Primature
Déclaré président de Transition, le 28 mai, par la Cour constitutionnelle du Mali, le colonel Assimi Goita nommera dans les prochains jours son Premier ministre, poste auquel Dr Choguel Kokala Maiga, président du Mouvement du 5 juin-Rassemblement des forces patriotiques (M5-RFP), a été proposé. Cette proposition est déversement appréciée. Néanmoins, ne faudrait-il pas croire que la nomination du président du parti Mouvement patriotique pour le renouveau(MPR) pourrait être gage de stabilité dans ce pays ?
Lors du sommet extraordinaire des chefs d’État de la Cédéao, le 30 mai 2021, sur la situation politique au Mali, l’Organisation ouest-africaine, en suspendant le Mali de ses institutions, a exigé la nomination immédiate d’un Premier ministre civil et la formation d’un gouvernement inclusif.
En plus de cette exigence de la Cédéao, faut-il rappeler que depuis le 5 juin, date de création du M5-RFP, ce mouvement hétéroclite cristallise les tensions au Mali en déstabilisant les pouvoirs en place avec toujours des revendications sur la table. La non-prise en compte de ses revendications a entraîné la chute d’IBK et peut être également citée parmi les causes du départ de l’ex-président de transition, Bah N’Daw, et son Premier ministre, Moctar Ouane.
Le M5-RFP avait dix-sept (17) points de revendication, dont le départ du Premier ministre ainsi que la dissolution du Conseil national de transition (CNT) qu’il juge « illégal et illégitime ».Des doléances auxquelles Bah Ndaw n’a pas pu donner satisfaction.
Quelle chance pour la renaissance ?
Au stade actuel des choses, la nomination du président du Comité stratégique du M5 à la tête de la deuxième institution pourrait contribuer au retour de la stabilité et à la poursuite de l’exécution normale du programme de la transition, devant conduire à la tenue des élections en 2022.
En ayant le M5-RFP avec elle, le président de Transition se trouve une caution morale, se sauve la tête et se rassure de pouvoir conduire ce processus à bon port. La stabilité, comme l’a dit le nouveau président, reste l’objectif de la nouvelle équipe. Cette stabilité serait difficile si le M5, qui se voit comme le principal acteur de ce processus, se sent toujours écarté. Il convient également de tenir compte des autres classes sociales et politiques lors des consultations pour la formation de la nouvelle équipe gouvernementale.
Après la mise en place de la nouvelle équipe gouvernementale, il faudrait songer rapidement au remembrement du CNT, afin que le M5 soit convaincu que la « rectification » est bien en cours. Pour réussir cette transition en relevant le défi herculéen de la stabilité, les nouvelles autorités doivent travailler avec les autres classes sociales et politiques.
Fousseni Togola/maliweb.net
Il faut simplement une fermeté immuable! Aucune forme de mounoumana (tergiversations et hésitations) ne peut plus résoudre les problemes du Mali. Tous nos problemes viennent de l’absence dans ce pays (après Modibo KEITA) d’un leader digne, patriotique, soucieux, conscient et intègre …
Le leitmotiv du peuple doit désormais être: BON LEADER OU DEHORS! La démocratie ( de façade) ne peut certainement pas être un prétexte pour des terribles dirigeants…. on a vu les cas de Madagascar, la Centrafrique…les frustrations vont pousser le peuple a piétiner les principes …. pour cas du Mali ce n’est les militaire en réalité qui font les coups d’états, mais toujours les mouvements de contestations et de rejet de la population… (GMT, ATT, IBK)
Avec tout le respect que j’ai pour Malick restons optimiste …ça va aller ..l’expérience de la dialectique malienne est certes douloureuse et très difficile a comprendre…. mais on n’a pas le choix de continuer a tenter…. tous nos problemes viennent de l’absence dans ce pays (après Modibo KEITA) d’un leader digne, patriotique, soucieux, conscient et intègre …
Le leitmotiv du peuple doit désormais être: BON LEADER OU DEHORS! La démocratie ( de façade) ne peut certainement plus être un prétexte ou une garantie pour des terribles dirigeants…. on a vu les cas de Madagascar, de la Centrafrique…les frustrations vont finir par pousser le peuple a piétiner les principes …. pour Les cas du Mali je dirais que ce ne sont pas les militaires en réalité qui font les coups d’états, mais toujours les mouvements de contestations populaires… ( ex., cas GMT, ATT, IBK)… les militaire suivent simplement les signaux de la direction du peuple ..et donc servent relief…
Il faut simplement une fermeté immuable! Aucune forme de mounoumana (tergiversations et hésitations) ne peut plus résoudre les problemes du Mali. Tous nos problemes viennent de l’absence dans ce pays (après Modibo KEITA) d’un leader digne, patriotique, soucieux, conscient et intègre …
Le leitmotiv du peuple doit désormais être: BON LEADER OU DEHORS! La démocratie ( de façade) ne peut certainement pas être un prétexte pour des terribles dirigeants…. on a vu les cas de Madagascar, la Centrafrique…les frustrations vont pousser le peuple a piétiner les principes …. pour cas du Mali ce n’est les militaire en réalité qui font les coups d’états, mais toujours les mouvements de contestations et de rejet de la population… (GMT, ATT, IBK)
Avec tout le respect que j’ai pour Malick restons optimiste …ça va aller ..l’expérience de la dialectique malienne est certes douloureuse et très difficile a comprendre…. mais on n’a pas le choix de continuer a tenter…. tous nos problemes viennent de l’absence dans ce pays (après Modibo KEITA) d’un leader digne, patriotique, soucieux, conscient et intègre …
Le leitmotiv du peuple doit désormais être: BON LEADER OU DEHORS! La démocratie ( de façade) ne peut certainement plus être un prétexte ou une garantie pour des terribles dirigeants…. on a vu les cas de Madagascar, de la Centrafrique…les frustrations vont finir par pousser le peuple a piétiner les principes …. pour Les cas du Mali je dirais que ce ne sont pas les militaires en réalité qui font les coups d’états, mais toujours les mouvements de contestations populaires… ( ex., cas GMT, ATT, IBK)… les militaire suivent simplement les signaux de la direction du peuple ..et donc servent relief…
Imaginons simplement ce que IBK a causé a ce pays comme dégât matériel, moral, social dans ses 7 ans d’exercice !!! Imagine qu’il aurait réaliser comme redressement et reforme s’il avait la carrure et le leadership des gars comme MAGUFULI, Ouattara, Sall etc..
Tres bien dit, Lastus! Merci!
Pourquoi les leaders du M5-RFP, qui sont aussi majoritairement des leaders de partis politiques, ne se regroupent pas en un seul parti/mouvement politique sur la base de leurs 10 ou 17 points de revendications pour conquérir le pouvoir, au lieu de passer par un coup d’État?
Cela ouvre la voie a plusieurs inconnues. De cet acte, d’autres hommes politiques pourraient prendre conscience de l’existence des voies alternatives pour accéder au pouvoir sans les élections. Ce qui risque de nous maintenir pendant des années dans une instabilité politique chronique ou basculer complètement dans la dictature.
Ils ne peuvent pas se regrouper en une seule entité parce que chaque leader voudra être chef de cette entité. CE sont tous des assoifés de pouvoir.
L’intelligence politique ne suffit pas…….. Il faut de la probité morale, une bonne vision, des objectifs clairs et des hommes ayant le sens de l’honneur et du devoir élevé….. Pas des pourris comme nos politiciens.
Des hommes et des femmes avec le sens de l’honneur et du devoir eleve, c’est la denree tres rare au Mali d’aujourd’hui, depuis 1991 nous n’avons vu que des voleurs et des delinquents financiers en commencant par les fonctionnaires milliardaires crees par Alpha Omar Konare et depuis ca continue avec un ministre qui depense des millions de CFA en the et sucre pour ses bureaux, un ministre qui achete des chaussettes a USD 38 (38×550= CFA 20,900) la paire pour nos pauvres militaires. Lastus je voudrai etre optimiste et positif mais je ne peux pas!!!
Je conseillerais contre la nommination de toutes les personnes qui ont leurs noms dans un dossier du Verificateur General de la republique. Ce n’est pas une question du M5/RFP. C’est plutot une question d’avoir des femmes et des hommes honnetes qui peuvent faire sortir notre faso de l’impasse. Le M5/RFP n’a aucun mandat du peuple Malien. Nous savons qu’Assimi leur a propose’ le poste de PM mais cela ne doit pas etre un fait accompli. Il faut verifier les dossiers des membres du comite’ strategique du M5/RFP qui ont fait le choix de Choguel. Ils doivent dire ouvertement pourquoi le choix de Choguel! Les choses ne peuvent plus se faire dans l’obscurite’. IL FAUT LA TRANSPARENCE TOTALE DANS LA GESTION DES AFFAIRES DE LA REPUBLIQUE!
EN PLUS DES HOMMES ET DES FEMMES HONNETES POUR COMPOSER LE GOUVERNEMENT, IL FAUT EGALEMENT TENIR COMPTE DE LA REPARTITION DES POSTES MINISTERIELS DE MANIERE EQUITABLE. NOUS NE POUVONS PAS ACCEPTER DE VOIR LA PREMIERE ETHNIE DU MALI AVEC 1 OU 2 POSTES MINISTERIELS ET LES MINORITE’S AVEC LA PART DU LION! IL FAUT EVITER LES FRUSTRATIONS!
LES 10 POINTS DONT ON PARLE NE PEUVENT PAS ETRE APPLIQUE’S. LE GOUVERNEMENT QUI SERA MIS EN PLACE DOIT SE DONNER UN SEUL BUT, A’ SAVOIR L’ORGANISATION D’UNE ELECTION PRESIDENTIELLE ET DES ELECTIONS LEGISLATIVES MUNICIPALES CREDIBLES ET TRANSPARENTES!
𝔹onsoir
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Nous demandons simplment a Choguel Maiga de mettre en application les 10 points du M5-RFP presentes a Ba Ndaw et a Moctar Ouane au palais de Koulouba. C’est tout car c’est un bon programme de travail et sincere por faire de la transition un succes!
La zone de turbulence
A l’issue du sommet d’Accra de ce dimanche 31 mai 2021, le Mali est suspendu des instances de la cedeao mais les sanctions économiques et financières craintes ne sont pas tombées.
La cedeao a privilégié les populations maliennes au régime politique et a joué la carte de la sagesse par une action minimaliste contre notre pays.
« Connais-toi, toi même » disait Socrate, le philosophe grecque de la sagesse, Nana Akufo-Addo, le président ghanéen et ses pairs ouest africains ont vu eux-mêmes le peuple malien.
Ils ont mis Assimi Goita sur le banc de touche de la Cédéao à Accra, tout en œuvrant de ne pas sevrer le peuple malien ni par une fermeture des frontières ni par des restrictions sur des transactions commerciales et financières.
Il n’en fallait pas plus pour les soutiens d’Assimi Goita, de fanfaronner et de frétiller comme des moineaux après une pluie diluvienne.
Ils voient en la décision de l’organisation sous régionale une légitimation de fait du colonel serial putschiste après une légalisation tirée par les cheveux par un arrêt douteux de la cour constitutionnelle de ses forfaitures d’août 2020 et de mai 2021.
Sans vouloir jouer à l’oiseau de mauvais augure, en réalité le bombardement jurisprudentiel du colonel barbu à la tête de l’état malien, érige devant le pays de gros nuages qui risquent de nous faire rentrer dans une zone de turbulence sans précédent.
Décryptage
I. LE RISQUE DE « DJIHADISATION » DU PAYS
Le dialogue avec les djihadistes Amadou Koufa et Iyad Ghali est très tentant suite aux recommandations du dialogue national inclusif sous IBK. IBK même avait un eu un temps, un penchant pour cela.
Le gouvernement Moctar Ouane par l’entremise de son ministre de la réconciliation nationale le colonel Ismaèl Wagué et les « bons offices» du Haut conseil Islamique du Chérif Ousmane Madani Haidara l’avait expérimenté à Farabougou en zone office du Niger, une bourgade longtemps coupée du reste du pays par l’injonction des islamistes.
Ce dialogue à Farabougou a fait beaucoup de concessions aux islamistes qui y font la loi « islamique » stricte dans un pays censé être laïc.
Cette expérience qui consiste à céder à l’idéologie islamiste radicale par le dialogue pour éviter de les combattre, risque de s’étendre si le M5 RFP (encore sous l’emprise de l’imam Dicko qui n’a jamais caché le fait qu’il connaît Iyad Ag Ghali le turbulent djihadiste de kidal) vient au pouvoir avec Choguel Kokala Maiga comme premier ministre et Mahamoud DICKO en Ayatollah Khomeini de la transition militaire.
Le M5 au pouvoir, c’est en réalité Dicko au pouvoir et s’il fait avec Iyad Ag Ghali et Amadou Koufa ce que Wagué et Chérif Haidara ont fait avec les djihadistes de Farabougou, ce serait un terrain glissant vers une lente mais progressive bascule vers l’idéologie islamiste radicale dans le nord et tout le centre du pays et in fine le Mali entier.
Et cela, Mahamoud Dicko n’y serait pas contre, au contraire ce serait avec allégresse pour l’imam polyglotte de voir le Mali s’islamiser à la vitesse des sons des appels des muezzins des mosquées de Djenné, de Djinkereber et de Sidy Yaya.
Ce serait la ligne rouge, pour les partenaires occidentaux engagés dans la lutte antiterroriste dont les aides militaires sont pourtant précieuses à la stabilisation et la sécurisation du pays.
Et si ces partenaires occidentaux plient bagages aux fins de ne pas voir prospérer cet islamisme djihadiste au Mali, ce n’est pas la Russie qui pourrait les remplacer sans donner ses conditions car Vladimir Poutin n’a jamais collaboré non plus avec les islamistes ni en Russie ni en Syrie.
La chine non plus, les Ouïghours peuvent en témoigner.
On serait curieux de savoir comment, ils le feront au Mali si Amadou Koufa et Iyad Ghali devraient avoir une sorte de Kitibas officiels au Mali octroyés ou cautionnés par la transition militaire.
Et le président qui sera élu sur cette base serait sur le fait accompli islamiste et radicale.
Seront nous bientôt une antenne africaine des désidératas du Qatar, d’Al Qaïda ou même de l’état islamique?
II. LE RISQUE DE REPRISE DE COMBATS AVEC LES GROUPES ARMÉS SÉPARATISTES
La coordination des mouvements de l’Azawad, CMA, qui a signé avec le gouvernement IBK en juin 2015, les accords de paix d’Alger est à l’affût et suit avec attention les événements politiques à bamako.
La présence de Moussa Ag Attayer dans le gouvernement de Moctar Ouane et l’assurance donnée par N’Bah Daw d’appliquer à la lettre l’accord d’Alger les avaient rassurés pendant les 9 premiers mois de la transition.
Avec le M5 RFP dont la majorité plaide pour une relecture de l’accord d’Alger conformément aux recommandations du dialogue national inclusif, le risque est grand pour rejeter plusieurs points saillants de cet accord particulièrement anti constitutionnel.
Il serait difficile de tenir en laisse, les fantassins de la CMA si jamais on venait à mettre en cause l’autonomisation des régions nord dont ils jouissent déjà largement de fait avec une quasi absence de l’état malien mais avec des financements du Mali.
Si les troupes françaises devraient rentrer comme l’a déjà avertit le président Macron en cas d’islamisation du pays, quelle serait la capacité réelle de l’armée malienne face la révolte de la CMA suite à une éventuelle relecture de l’accord d’Alger?
Que pourra apporter réellement la Russie face à cette nouvelle donne sécuritaire de katiba islamiste officialisé d’Iyad Ag Ghali d’un côté et des combattants de la CMA de l’autre?
La complexification par le dialogue guette la situation sécuritaire au Mali et rabattra les cartes, il faut que Choguel Maiga et le M5 RFP soit clairvoyants et vigilants pour ne céder ni à la facilité, ni au laxisme, encore moins au populisme.
Le Mali est un pays laïc et doit le rester.
Nul dialogue ne présage ni ne prescience la paix s’il n’est pas fondé sur un précepte clair de bannir le terrorisme et l’obscurantisme dans notre pays.
IV LE RISQUE DU 3ÈME COUP DE FORCE D’ASSIMI
Si Dicko et sa tentation du dialogue avec Amadou Koufa et Iyad Ag Ghali, parviennent à isoler le Mali, ce serait au tour d’Issa Kaou Djim d’actionner son plan de faire élire Assimi Goita comme président de la république en l’incitant à se présenter comme candidat aux élections qui seraient organisées par une administration territoriale sous ordre CNSP et une cour constitutionnelle acquise à sa cause.
Il n’y a jamais 2 sans 3 et Assimi ne se priverait jamais de faire du Moussa Dadis Camara ou du Robert Guei.
Comme il n’a pas été inquiété en faisant deux coups, il ne se priverait certainement pas de céder aux sirènes des laudateurs pour briguer la magistrature suprême du pays même en étant président de la transition en tordant allègrement le coup à la charte de cette même transition.
Il leur suffit juste de réunir le financement nécessaire par l’argent public qu’ils contrôlent et de payer les consciences comme il en est coutume dans ce pays et ça passerait comme lettre à la poste.
Mais serait-il toléré par la classe politique et les maliens?
Ou ferait-il nous basculer dans une nouvelle crise post électorale qui sera le début un autre long cycle de crises dans le pays?
Le temps est meilleur juge et l’histoire nous édifiera.
En espérant que les autorités transitoires du Mali se mettront du bon côté de l’histoire pour amener ce pays vers de lendemains meilleurs.
Après la lecture de cet excellemment article de presse, je suis convaincu que c’est bien le Président Bah N’Dao qui a tenté un putsch et s’est retrouvé “l’arroseur arrosé” parce qu’il “a oublié que ce sont principalement ces deux Colonels de la Garde nationale, Sadio Camara et Modibo Koné, qui ont pris l’immense risque de faire un coup d’État le 18 août 2020 puis l’ont fait : « Roi »
Sincèrement
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