Securicom est une société de gardiennage et de protection des personnes et de leurs biens. Elle est implantée dans plusieurs pays d’Afrique et en France. Depuis 2002 elle est présente au Mali. Elle emploie plus de 5000 agents. SECURICOM s’occupe aussi de la surveillance et de la sécurité au niveau de l’aéroport international de Bamako-Sénou, des services stratégiques et des ambassades. Mais depuis quelques semaines, ses travailleurs sont en rogne contre leur direction générale.
Depuis quelques semaines, l’atmosphère est tendue entre les travailleurs de Securicom et leur direction. Pour cause, la mutation et le licenciement jugé «illégal» de certains agents suite à la mise en place, par ceux-ci, d’un comité syndical au sein de la société. Face à cette situation considérée comme une «violation de la législation du travail en matière de mutation et de licenciement des délégués syndicaux», les travailleurs ont observé, la semaine dernière, 72 heures de grève. Avant d’organiser, lundi et mardi derniers, un sit-in devant la direction de Securicom. Cette crise est née de l’interdiction, par la direction, de la mise en place d’un comité syndical au sein de l’entreprise.
Informée de la situation, la Direction régionale du Travail du district de Bamako, dans une lettre en date du 14 mars, a rejeté la décision de licenciement prise par la direction de Securicom et l’a invité à ouvrir, sans délai, le dialogue avec les employés sur les points de revendication qui sont : la reconnaissance du comité syndical et l’annulation des licenciements et des mutations.
Malgré les bons offices de la Direction Régionale du Travail de Bamako et de la centrale syndicale CSTM à laquelle, l’écrasante majorité des travailleurs de Securicom sont affiliés, les patrons de la société persistent. Et la tension reste tendue entre les travailleurs et la direction de Securicom, même si les premiers entendent reprendre le travail.
Rappelons que cette crise vient d’étaler, au grand jour, le vrai visage de Securicom qui était considérée, jusqu’ici, comme l’une des rares sociétés de sécurité où, il fait bon vivre.
A en croire les témoignages, les employés y travaillent comme des forçats, sans droit d’ancienneté, sans augmentation de salaire, sans indemnités d’heures supplémentaires, ni sécurité sociale. C’est cette situation que les travailleurs veulent changer en mettant en place des comités syndicaux.
Le moins que l’on puisse dire, c’est que cette situation, si elle perdure, risque de couter chère, très chère, à cette société considérée comme le leader des sociétés de sécurité et de surveillance au Mali.
Abou Berhé
Je vous prie d’exuser mon langage desobligeant mais soyons honnête mes chers freres et soeurs combien de peronnes cette societe emploie t.elle?
Combien ont ete sauvé de la rue?
combien aujourdhui grace a elle peuvent travailler?
arreter lhypocrisie et lingratitude svp
Cest ca le veritable blem du mali tant que nous resterons comme ca le mali navancera jamais
Hacidiya gnèngoya pourquoi salir le nom de la societe des gens?
parceque ils ont ete choper entrain de voler ?
Parcequ’ils narrett pa de fair des magouy a laeropor??
ki croyez vous quon accuse lorsquils font leur sal cou?
arreter de juger les gens sans conaitre et comprendre le fon des choses
le seul truk cest ko Mali on a pa le droit davoir un peti gagne pain cest tou
un pays qui est comme ca croyez vous sinceremen kil peu evolouer?
des gen se batte jour et nui pour creer leur societe ils se tu o poin de ne meme plu avoir de vi sociale et tou ca pour finir commen? Trahi? Traiter de tou les noms?
Et noublion pa une chose combien dagen ya til a securicom?
et actuelmen combien saliss son nom?faite le calcul vous meme
Tous des putains d fo cu d fils d pute ils ont tous oublier o momen ou leur famille alai chialer pour kon ls prenne o travail ils etai la a nrien foutre et ojourdhui cest eux ki trahiss la societe securicom en salissan son nom yarabi Dieu voi tout le monde ALLAH ka bai sara
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