Aucune avancée n’a été enregistrée dans le cadre des négociations entre le Syndicat national de la santé de l’action sociale et de la promotion de la famille et le ministère de la Santé.
C’est du moins l’information reçue du coté du syndicat qui pour une seconde fois récidive en mettant sur la table du gouvernement un autre préavis de grève. Mécontents du sort réservé à leurs revendications, les agents de la santé entendent encore paralyser les services de santé du 25 au 26 juillet. S’y n’y a pas satisfaction, les syndicalistes ont promis qu’ils iront à une grève illimitée jusqu’à l’aboutissement totale de leurs doléances.
Et les mêmes revendications demeurent. Il s’agit de l’ouverture de sessions pour la sélection de nouveaux dossiers des contractuels payés sur les ressources propres des structures socio-sanitaires en vue de leur intégration à la Fonction Publique, le respect de l’esprit d’attribution des ristournes et autres primes de motivation et leur extension à l’ensemble des structures socio-sanitaires génératrices de revenus et le respect de la liberté syndicale, mettre sans délai dans leur droit les syndicalistes lésés et l’arrêt de la discrimination à leur endroit pour fait syndical.
Rappelons que du 7 au 9 juillet dernier les hôpitaux ont été entièrement paralysés par le débrayage des blouses blanches. Toute fois le syndicat dit être ouvert au dialogue.
Ramata Tembely
Bien vrai que l’Etat est une continuité, peuvent-ils remettre à plus tard leur bon droit. Car nous citoyens avons trop souffert pendant cette transition. Vivement la fin de ce gouvernement transitoire…..
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