Les domaines d’intervention ciblés sont la santé maternelle, néonatale et infantile, la santé communautaire, la prévention de la transmission de la mère à l’enfant du VIH PTME), la nutrition, l’eau, l’hygiène et l’assainissement, la Communication pour le changement social et de comportement, la mobilisation communautaire pour la promotion de la santé, le renforcement du système de santé national et le renforcement institutionnel.
Selon M. Fung, Directeur de l’équipe Santé de l’USAID au Mali, ces programmes permettront de consolider les résultats déjà acquis et d’impulser un changement de comportement au sein des communautés, par une mobilisation sociale pertinente. Ils démontrent l’engagement du peuple et du gouvernement américains à poursuivre leur appui au Mali pour l’amélioration de l’état de santé des populations.
Le représentant du Directeur du Bureau pays de Save the Children International, partenaire historique de l’USAID dans la mise en œuvre de ses projets au Mali, rappellera que si son ONG est le leader dans le domaine, c’est un grand nombre d’acteurs qui vont intervenir pendant cinq ans dans le cadre de ces deux programmes intégrés et complémentaires.
Les interventions vont couvrir l’ensemble des districts sanitaires des régions de Kayes, Koulikoro, Sikasso, Mopti et Gao et le District de Bamako, soit plus de 65% de la population malienne, à travers différents partenaires nationaux et internationaux et les ministères en charge de la mise en œuvre du PRODESS III (Programme décennal de développement socio-sanitaire).
Comme l’affirmera le Dr Régina Traoré, représentante du Centre des programmes de communication de l’Université Johns Hopkins (JHU CCP) au Mali, qui est chargé de la mise en œuvre du projet Keneya Jemu Kan, en partenariat avec Futures Group International, Management Science for Health (MSH) et l’ONG nationale ASDAP, l’objectif est «de susciter des améliorations durables dans la santé par l’utilisation accrue de services à impact élevé et l’adoption de comportements sains».
Dans l’idéal, dans cinq ans, ces deux programmes devraient permettre de réduire de 30% en plus la mortalité maternelle, celle des enfants de moins de cinq ans et la prévalence de l’insuffisance pondérale dans la même classe d’âge, entre autres ambitions.
Ramata Diaouré
IL FAUT DOTE LES HOPITAUX DU MALI DE SERVICES CHIRURGICAUX ET DE DIAGNOSTIC ET IMAGERIE MEDICALE DE POINTE DANS CHAQUE CAPITALE REGIONALE !
CAR C EST CE QUI MANQUE AUX HOPITAUX MALIENS
@MALIAN , encore faudrait il que vous ayez des médecins à la hauteur pour utiliser le matériel de pointe que tu souhaites . Pour la chirurgie ,il y a un mois deux enfants siamois guinéens reliés en semble par l’abdomen ont du etre opérés à Paris par un grand professeur et l’intervention a été payée par des donneurs , et il reste encore de l’argent pour une autre opération sérieuse si besoin est ❗ ❗ ❗ ❗
souhaitons simplement que cet argent serve véritablement a soigner les enfants et ne s’envole pas dans les poches de certains 😥 😥 😥 😥
Sikasso je comprends ta colère ,mais il est préférable de soigner des enfants que de vous donner des armes que vos soldats vont revendre à l’ennemi pour se faire du fric 👿 👿
“souhaitons simplement que cet argent serve véritablement a soigner les enfants”
A fin que les soldats français violent des engins en bonne santé, c’est ça ton truc…
Ces pvaccins sont des poisons!!!
Je me demande si il y a un vaccin pour ta perversité de buveur de pastis, espèce de pervers blanc alcalin
, retraite cheminot….
A quand on va commencer a prendre notre indépendance la priorité d’un état ce sont sais enfants au Mali a cause des magouilles de nos hommes politique on est même pas capable de soigner nos enfants sans aide d’extérieur pourtant les hommes politique volent des milliards à leurs propre profit
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